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24/03/2015

Rappel à la loi !

Quand nos lois communes ne sont plus respectées, la société devient  un conglomérat hétérogène de tribus communautaires, ne s'autodéterminant qu'en référence à leur culture originelle, dans une société patchworkdisée muticonflictuelle ...

La désespérance sociale !

désespoir social.jpg

 Rappel à la loi !

Quand la Mairie décide de mettre en sens unique une rue,  cette décision est juridiquement licite ... 

 Mais quand on invite  les cyclistes à circuler à contre-sens, il y a non seulement un problème juridique, mais en plus, cette décision fait courir aux cyclistes des risques d'accidents dont certains peuvent être très graves ! 

Il est en effet inquiétant que cette autorisation de circuler à contre sens, d'un sens interdit, ne soit signalée  que par un petit vélo peint en blanc sur la route, au début de la rue Garibaldi, sans aucune voie de matérialisation !  
Autant dire que ce petit logotype, à cet emplacement au sol, n'est pas perceptible par les automobilistes.  Les contrevenants qui remontent le sens interdit disent pour toute excuse :
« nous n'avons pas vu les panneaux d'interdiction" ?
Ou encore:
« ils sont trop haut, hors du champ de vision ». Ce qui est sur ce point juste !  


Alors, quand on ne perçoit pas des doubles panneaux de part et d'autre du début de la rue Garibaldi, comment les automobilistes pourraient-ils percevoir un petit cycliste peint au sol au début de cette rue ?

D'autres automobilistes, quand on les avertit à temps, dont certains sont des récidivistes, disent qu'ils s'en foutent et passent en force en nous injuriant au passage !

Dans un contexte aussi problématique, la municipalité pérennise les conflits entre les riverains de la rue Garibaldi et ceux qui violent le sens unique. On fait prendre aussi et surtout des risques aux cyclistes qui risquent leur vie et le Maire, lui aussi, de ce fait, statutairement, encourt des poursuites pénales pour mis en danger de la vie d’autrui.

Nous payons scandaleusement de plus en plus d'impôts locaux et malgré tout, nos représentants sont incapables d'apporter la sécurité aux Courneuviens. Faut-il être engagés politiquement pour se faire entendre ? 

Il est encore scandaleux que ce soit des Courneuviens notamment de l'association ARC4 qui pallient les insuffisances des "pouvoirs" publics.

Ainsi des représentants d'ARC4 ont décidé, ce DIMANCHE 29 MARS de dissuader tous ceux qui remontent le sens interdit, qui violent le code de la route et qui font courir aux habitants les inconséquences d'un comportement qui les expose à des accidents gravissimes !

Ceux qui veulent participer à cette prévention urgente seront les bienvenus !


NB: notre société est divisée sciemment en partis politiques, par communautés, par leurs religions, etc.

De leur coté, les citoyens ARC4 sont strictement apolitiques dans leur association et à ce titre, ils espèrent que nombres d'autres associations, soucieuses également de leur indépendance tout en gardant leur identité, s’assembleront à un vaste mouvement confédératif dont le but essentiel sera, outre la recherche de notre sécurité commune, de donner enfin un pouvoir exécutif à nos concitoyens, totalement confisqué par les partis politiques dont le sectarisme ne cesse de s'exprimer à l'encontre de ceux qu'ils n'ont pas encore réussi  à soumettre à leur idéologie. 

Le citoyen est par la constitution française, dépositaire de tous les pouvoirs et il est temps qu'il en prenne conscience. 

Nous sommes constamment victimes d'une inversion du principe de subordination : ce sont nos représentants politiques qui sont à notre service et non l'inverse ! 
Il convenait de le dire : voilà c'est fait !      

 Pour ARC4  


RF  

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Amende sens interdit

 amende sens interdit.jpg

Lorsqu'un conducteur s'engage dans une voie à sens unique, il commet une infraction routière. Cette infraction est alors sanctionnée par une amende pour sens interdit.

Amende et sens interdit

L'interdiction de rouler en sens interdit est définie à l'article R412-28 du Code de la route. Ainsi, un panneau de sens interdit oblige la circulation dans un seul sens, pour tous véhicules. Un conducteur qui s'engage dans une voie avec un panneau de sens interdit commet donc une infraction, qu'il circule en véhicule motorisé ou non.  Un cycliste pourra donc être sanctionné par une amende pour sens interdit au même titre qu'un motard ou qu'un automobiliste.

---> Sanctions pour un sens interdit

Une amende suite à un sens interdit est une contravention de 4e classe, qui correspond à une amende forfaitaire de 135 €, pouvant être minorée à 90 € ou majorée à 375 €.

Le conducteur est donc tenu au paiement de cette amende.

En plus de l'amende, la circulation en sens interdit expose à d'autres sanctions :

  • - Un retrait de 4 points sur le permis de conduire ;
  • - Une suspension du permis de conduire pour une durée maximale de 3 ans,  avec une possibilité de suspension limitée à la conduite en dehors de  l'activité professionnelle.

Ce dimanche encore, de très nombreuses infractions ont eu lieu traditionnellement, au coin de la rue Garibaldi et, de toute la matinée, aucun policier, aucun ASVP n'étaient là pour verbaliser les contrevenants dont beaucoup étaient des récidivistes. 

La violation des lois est si habituelle que cela devient normal pour les contrevenants et les voyous de n’en tenir aucun compte !

Tous ceux qui sont payés pour le maintien de l'ordre social, la plupart du temps, se défilent ou comme nous l'avons constaté passent devant des véhicules en infraction gênante en faisant semblant de ne pas les voir. Pire, quand le constat est fait, l'agent cherche avec insistance le conducteur pour éviter de le verbaliser et risquer un conflit. Résultat : multiplications des délits et c'est ainsi que le bordel social s'aggrave.

Stationnement en double ou en triple files de la rue Garibaldi à la rue Jean Vernet face au magasin Sakthi qui s'approprie le trottoir pour entreposer ses marchandises. Le même problème se poursuit 30 m plus haut avec un nouveau magasin de produit "exotiques ". S'ajoute à ce niveau, le stationnement de voitures en permanence sur le trottoir !   

 

A suivre …

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DESASTRE POLITIQUE

Réflexion ARC4 

 Assez de baratin politique et de magouilles, car les abstentions vont continuer d'augmenter dans de larges proportions !

Tous les électeurs ne sont pas idiots !

Le charcutage électoral est scandaleux, car le FN qui est le premier parti en voix n'obtient dans le dernier graphique que 8 sièges.

Nous ne soutenons aucun parti, ce que nous dénonçons c'est cette mécanique électorale aussi fallacieuse que scandaleuse !

Connaissant la mauvaise foi et le sectarisme des encartés politiques, il nous parait utile de préciser que,  bien sûr,  s'il s'était agi du parti communiste, notre protestation eut été la même ! 

La vigilance ARC4 porte sur toutes les magouilles d'où qu'elles viennent, sans aucun a priori en faveur des uns ou des autres ....

Ce qui nourrit notre réflexion,  c'est d'abord notre réflexion critique préoccupée d'objectivité, c'est le respect d'une justice équitable, le respect de nos lois,  et la sécurité pour tous, dans un esprit de solidarité indiscriminatif !

 A vous de faire votre propre opinion !

RF

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En pourcentage le FN est second, en nombre de voix,  il est le premier !

DEPARTEMENTALES 1 TOUR.jpgchiffres provisoires 1.jpgELEC TOTAL SIEGES.jpg

La corruption n’a plus de limites dans le 93 !

A qui se fier, si la "police", elle aussi, trafique sur le marché de la drogue et rivalise avec des dealers de banlieues qu'elle rançonne ?

La seule parade: une vigilance citoyenne tous azimuts, y compris sur la "police"
qui à son tour se gangstérise, influencée par des feuilletons débiles à la TV sur des policiers corrompus par la cupidité et l’appât de gain faciles !

RF

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Seine-Saint-Denis 

Cinq policiers de la BAC suspectés de corruption et arrêtés !

(avec Stéphane Sellami.) | 23 Mars 2015, 16h16 | MAJ : 24 Mars 2015, 06h57

 POLICIERS BAC.jpg

 

ILLUSTRATION. Des policiers de la BAC de Stains (Seine-Saint-Denis) auraient même tenté d'intimider leur commissaire.AFP / Fred Dufour

Soupçonnés d'avoir participé à un trafic de drogue et volé des dealers, de s'être livrés à des violences et des menaces, cinq policiers de la brigade anticriminalité (
BAC) de Stains (Seine-Saint-Denis) ont été interpellés ce lundi.

Ces fonctionnaires — dont deux gradés — sont aussi suspectés d'avoir intimidé leur supérieur hiérarchique.

C'est la Direction territoriale de la sécurité de proximité de Seine-Saint-Denis qui a saisi le procureur il y a plusieurs mois lorsque des comportements suspects ont été signalés au sein de la BAC de Stains. L'information judiciaire a été ouverte le 22 mai 2014 pour, entre autres, «vol et violences aggravés, association de malfaiteurs en vue de se livrer au trafic de stupéfiants». Les faits reprochés remontent au moins jusqu'en 2013.
Les cinq suspects ont été interpellés, certains sur leur lieu de travail, par l'Inspection générale de la police nationale (IGPN). La «police des polices» enquêtait sur les agissements des suspects et de toute la BAC de cette localité, qui comprend un peu plus d'une dizaine de fonctionnaires. 
L'IGPN a agi dans le cadre de l'information judiciaire ouverte à Bobigny pour des faits de «corruption active» qui reposent «sur des indices graves et concordants» en l'état de l'enquête. Les policiers de la BAC sont soupçonnés de vols en réunion et d'extorsion de fonds dans le cadre d'affaires de stupéfiants notamment, ou lors de la saisie de scellés. Ils peuvent être maintenus en garde à vue pendant 96 heures, avant leur éventuelle mise en examen.

Racket, fausses perquisitions et violences
Dans le détail, les policiers sont soupçonnés d'avoir «ciblé des personnes» se livrant au trafic de drogue dans cette banlieue du nord de la région parisienne, pour les voler. Ces présumés «ripoux» auraient extorqué des fonds à leurs victimes et se seraient servis dans les scellés. Ils se seraient également livrés à des «perquisitions à la mexicaine», qui n'avaient jamais été ordonnées par la justice, «en simulant un cadre légal» pour se servir chez leur victime.
Outre les délits particulièrement graves visés par le juge d'instruction, les investigations portent également sur des soupçons de «modification d'une scène de crime» et de consultation illégale d'un fichier informatique.

CAZENEUVE : "des faits extrêmement graves"

"Les faits dont ils sont suspectés sont extrêmement graves et contreviennent aux principes de probité et d'exemplarité (...) des fonctionnaires de la police nationale", a déclaré le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve à propos des agents impliqués dans l'affaire qui secoue la BAC de Stains (Seine Saint Denis).
"Si ces faits sont avérés" le ministre "prendra des sanctions disciplinaires d'une grande sévérité, comme à chaque fois que les lois et les règles déontologiques sont enfreintes" a-t-il affirmé.

Dans une procédure distincte de celle qui leur vaut une garde à vue, les cinq policiers sont aussi soupçonnés de «menaces à l’encontre d’une personne dépositaire de l’autorité». Selon les informations de M6, l'ancienne commissaire qui supervisait la BAC de Stains aurait constaté «des dysfonctionnements majeurs» au sein de son service. A ce moment, elle aurait fait l'objet de menaces anonymes, les pneus de sa voiture auraient été crevés et un fonctionnaire du commissariat serait allé jusqu'à consulter un fichier de police pour trouver son adresse personnelle… Depuis, la commissaire a été mutée dans un autre hôtel de police dans le sud-ouest de la France.

Les policiers soupçonnés avaient été détachés de la BAC et affectés dans d'autres services placés sous une surveillance hiérarchique plus étroite que ces unités de terrain.

 

Des précédents retentissants

. Octobre 2014.  Deux policiers de la BAC départementale du "9-3" avaient été mis en examen et écroués pour leur participation supposée à un trafic de voitures volées. Les deux policiers, âgés de 36 et 40 ans, s'étaient vu reprocher des faux et usage de faux - infraction criminelle lorsqu'elle est commise par un dépositaire de l'autorité publique punie d'un maximum de 15 ans de prison - corruption passive, et association de malfaiteurs en bande organisée. Ils sont soupçonnés de s'être servis de leur fonction pour remettre en circulation des voitures volées.

. Octobre 2012.  Au sein de la BAC nord de Marseille, plusieurs policiers ont été convaincus par l'IGPN d'avoir récupéré des cigarettes et stupéfiants lors de contrôles. Des révocations et suspensions ont été prononcées dans cette affaire en décembre 2013. Les "ripoux" présumés, âgés de 34 et 52 ans, avaient été mis en examen en octobre 2012.

 

http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/stains-quatre-policiers-de-la-bac-en-garde-a-vue-23-03-2015-4629993.php#xtor=EREC-109----2438393@1