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13/07/2015

LE MAIRE : CIBLE DES MECONTENTEMENTS DES COURNEUVIENS

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Gilles POUX a pris ses fonctions en 1996 !

De plus en plus de Courneuviens dénoncent un bilan gestionnaire et social calamiteux de notre ville.

Quand le Maire vit au dessus de nos moyens…

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Dette communale croissante :40 267 000 £ pour 2013 !

« En attendant, les problèmes récurrents ne sont toujours pas réglés : immigration incontrôlée, insécurité, saleté de la ville, montée du chômage et de la pauvreté.
Or, il apparait que la plupart des maires du 93 sont de très mauvais gestionnaires. Ils ont tendance à gaspiller l’argent en même temps que leur ville s’enlaidit »… et de dégrade économiquement et socialement.

Que faire ?
Quand les Courneuviens subissent quotidiennement de sérieux problèmes, leur première réaction logique, c'est évidemment d'en rechercher les raisons et surtout de déterminer ceux qui sont à l'origine de leurs ennuis.
Trop souvent l'erreur habituelle, c'est de mettre en cause uniquement les voyous ou les contrevenants à nos règles, alors que finalement ce sont ceux qui sont chargés de les faire respecter et payés pour le faire dans l'administration d'une ville qui devraient être les premiers mis en cause.


Qui est donc responsable de la dégradation de notre société ?
Les voyous ? Le Maire qui laisse faire ? Ou encore les Courneuviens qui ne réagissent pas au laxisme administratif ?
Le Maire dans ses fonctions régaliennes dispose, par la constitution, d’un maximum de pouvoirs mais cela ne va pas sans toutes les responsabilités qui vont avec !
Certains Maires pèchent par excès et d’autres comme le Maire de La Courneuve par insuffisance. On peut excuser à la rigueur ceux qui en font trop, car au moins ils agissent, alors que ceux qui ne font rien ou pas grand-chose usurpent une fonction qu’ils n’exercent pas et laissent la population seule face à ses problèmes qu’elle ne peut résoudre faute de disposer d’aucun pouvoir exécutif…

Une adhésion conditionnelle
Pour ARC4 il convient de soutenir un Maire qui agit dans la concertation générale avec ses administrés, mais certes pas celui qui cumule les erreurs de jugement ou fait le mort face aux plaintes itératives des Courneuviens.

Une démocratie dévoyée par l’idéologie politique
La démocratie consiste-t-elle à voter pour un Maire autocrate au pouvoir absolu pendant 5 ans avec pour corollaire l’impuissance de pouvoir exécutif des électeurs entre deux élections. Il est temps de mettre fin à cette caricature grossière des fondements même de la démocratie.
Refusant tout engagement politique par définition sectaire et ségrégationniste, ARC4 comprend le jugement de plus de 90% des Français qui disent ne plus faire confiance aux partis politiques qui pérennisent la division de notre société pour mieux en tirer parti.

Dans le contexte actuel, que reste-t-il entre deux élections à nos concitoyens pour se défendre?
Nous n’avons que la critique et nos propositions pour tenter d’infléchir par le dialogue l’obstination idéologique d’encartés politiques au pouvoir, pour tenter d’améliorer la situation générale de notre ville, de sinistre réputation.

La diversité des Courneuviens exige à la fois discernement et fermeté qui font profondément défaut à la direction actuelle de la commune.

ARC4 ne fait que transmettre au mieux les revendications des Courneuviens qui font apparemment l’unanimité sur la plainte d’un Maire jugé laxiste, quand il n’est pas taxé par les plus véhéments, d’incapacité notoire !
C’est désolant quand l‘autorité d’un Maire n’est pas reconnue par ses administrés, confrontés toujours et toujours aux mêmes problèmes…
Dans ces conditions, comment un Maire peut-il être écouté s’il n’est même plus respecté par ses administrés, voire contesté, jusqu’à certaines personnes de son administration, y compris des adjoints socialistes, eux-mêmes critiqués ouvertement par tracts par un quarteron de communistes du conseil municipal.

Sortons de l’incohérence
Cherchez donc de la cohérence dans ce panier de crabes communal et étonnez-vous si nous vivons très mal dans un tel « bordel » ambiant.
Les citoyens confient pour 5 ans le pouvoir à des représentants politiques. Ils n’en sont donc pas propriétaires et il est temps de leur rappeler par une résilience ferme et déterminée de nos concitoyens face à certaines décisions ineptes qu’ils prennent hors de toute consultation citoyenne. (Prochain article sur la dictature communale)

Une gestion communale pour petit QI
La gestion communale d’un Maire est très facile, puisqu’il suffit, pour équilibrer un budget d’augmenter les impôts locaux, alors pourquoi faire des économies dont il est curieusement très rarement question pour la détermination d’un budget et pour cause ?
Comment les Français se sont-ils laissés coller sans réagie plus de 2000 milliards d’euros sur le dos par des gouvernements successifs totalement incapables de gérer notre pays ?
328 698 de dette publique par habitant soit en moyenne 65 396 de dette par ménage !
Les « dirigeants » ne savent pas gérer un budget et ne savent que faire des dettes en rendant responsables les autres de leur incurie financière.

Un rappel utile
Nous rappelons qu’ARC4 depuis plus de 4 ans a réglé le problème de l’insécurité notamment des cambriolages, sans aucun moyen autres que la maigre contribution de ses membres.
ARC4 va réviser sa stratégie sociale, car notre association n’a plus l’intention de suppléer aux insuffisances sécuritaires d’une administration qui ne fait pas son travail, alors que ceux-ci sont payés largement de nos impôts pour le faire et ne font pas !
Nous espérions une coopération honnête et réciproque avec la mairie, or nous héritons d’un « sleeping partner » communautariste aux décisions aléatoires !

La passivité de la commune
Un dernier point : la plupart des Courneuviens reprochent au Maire son inaction, voire son laxisme contre toutes les infractions commises dans la ville, à l’exemple d’un nouveau permis de construire illégal, récemment communiqué au Maire qui apparemment, après l’avoir constaté de visu, n’aurait rien fait !

La révolte de ceux qui subissent                                 
Quand le pouvoir communal s’habitue à la pagaille, les Courneuviens se mobilisent de plus en plus contre la quasi démission des responsables communaux qui ne « s’agitent » qu’au moment des élections pour jouir pendant 5 ans de privilèges excessifs, sans contrepartie d’efficacité dans leur fonction.

Une normalité pathologique
Les exactions continuelles dans notre ville finissent par engendrer par l’habitude une pseudo normalité de fait, qui laisse entendre que c’est normal et qu’il conviendrait de s’y faire !

Voila comment se pourrit rapidement le climat social d’une ville en proie à une insécurité grandissante et à une carence démocratique permanente !
Pour tous nos concitoyens le pouvoir démocratique n’existe plus entre deux élections et leurs élus se comportent, faute d’un contrepouvoir citoyen effectif, comme des dictateurs.
Malheureusement ce n’est pas la démocratie directe Suisse qui inspire nos dirigeants mais la théocratie fanatique musulmane…

RF

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Une brochette de représentants qui ne représentent plus qu’eux-mêmes.