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31/12/2013

VOEUX 2014

                                                      

 

voeux chouette.1.jpgChers Adhérents et Amis,

BONNE ANNEE A TOUS !

Notre premier voeux pour 2014 :

Multiplier nos actions de vigilance citoyenne, au service de LA SECURITE, avec toutes les bonnes volontés qui voudront rejoindre notre association.

Notre croissance exige une large information par divers moyens : affiches, brochures, vidéo, film, rencontres etc.

Nous avons besoin du concours du plus grand nombre d'entre vous pour réaliser ce projet.

Alors,

A BIENTOT

Le bureau d'arc4  : Chantal Gordana Sandro

chouettes3.jpg

16/12/2013

Ils disent "DEMOCRATIE" ?

 Cette phrase figure au fronton de la nouvelle maison de la citoyenneté.

 citoyenneté.1.jpg


A ce titre, elle devait être exempte d'ambiguïté, de contradictions et de contre vérités …

 Or, ce n'est pas le cas !

 Bien sûr, nous voulons croire qu'il s'agit là d'une maladresse sémantique et non d'une intention de travestir un peu plus une démocratie citoyenne qui reste ambiguë et dont l'utilité serait de justifier le positionnement politique particulier de celui qui l'utilise.

 AVERTISSEMENT :

 Même si on n'est pas l'auteur d'une définition, on est responsable de l'utilisation qu'on en fait puisqu'on la crédite en l'utilisant...

 Alors chez amis, méfiez-vous des définitions faites pour vous séduire et plus encore, des slogans politiques, ces « prêts à penser » qui paralysent votre réflexion critique et votre auto-détermination, au profit de celui qui en fait usage.

 Cette analyse constitue un exercice destiné à renforcer votre vigilance et votre pertinence.

 Elle est tout aussi utile à ceux qui ont conseillé d'apposer cette définition au fronton du « temple » de la citoyenneté ;-) Puissent-ils considérer l'utilité de cette critique comme une occasion, à l'avenir, d'être plus rigoureux et tirer ainsi avantage de cette critique qui se veut avant toute chose constructive.

 Il faut nécessairement avant d'aborder un sujet, commencer par le définir. Alors, cédons donc à cette tradition procédurale.

 Définition d'une définition :

 «  Définir, c'est entourer d'un mur de mots un terrain vague d'idées » Cette remarque concerne évidemment et surtout le rôle du citoyen, défini en bonne place sur la maison de la citoyenneté.

 Une définition problématique pour ne pas dire problématisante par ses confusions permanentes.

 En moins de 6 lignes, ce texte au fronton de la maison de la citoyenneté suscite 5 remarques de fond essentielles, pour remettre en place une signification plus cohérente de ce que devrait être la démocratie, qui parait en la circonstance, manifestement dévoyée.

 Il n'entre pas dans mes propos d'entrer dans un débat politique stérile où la revendication égotique prend le pas avec l’émotion sur la raison, qui étrangement reste absente dans ce type de débat.

 Équivoque des termes et certitudes politiques

 Nous pensons avec des mots, encore faut-il qu'ils soient sémantiquement rigoureux pour lever toute ambiguïté génératrice, in fine, de conflits.

 Bien sûr, la définition de la démocratie de « la maison de la citoyenneté » sert au delà de ses imprécisions, de support à une réflexion sur la nature de cette pseudo démocratie, curieusement alléguée comme un modèle destiné à emporter l'adhésion de ceux qui en prennent connaissance, mais trompé par l'imprécision des termes qui la caractérisent.
Dès lors, chacun fait l'économie d'une réflexion critique et l'adopte ex-abrupto, pour son contenu superficiellement esthétique. Il y projette donc ses convictions personnelles et considère cette définition comme un modèle idéal de la démocratie !

 Il est par ailleurs pas inutile, compte tenu du sujet délicat traité, de rappeler aux attributeurs compulsionnels d'étiquettes que je suis strictement apolitique, ce qui ne contredit pas les impacts politiques possibles, sans intention particulière de servir un parti ou à un autre.

 Rappel de la définition dont il est question, affichée en gros sur la façade de la maison de la citoyenneté à La Courneuve.

 «  CITOYEN, -ENNE : ADJ ; ( DU MOT CITE )

 PERSONNE MEMBRE D'UN ÉTAT DÉMOCRATIQUE QUI N'EST PAS
INVESTI D'UNE RESPONSABILITÉ OFFICIELLE ET QUI JOUIT DES DROITS CIVILS ET POLITIQUES GARANTIS PAR CET ÉTAT »  

 Erreur grammaticale initiale : Dans cette phrase les mots citoyen et citoyenne sont des noms, alors qu'ils sont identifiés comme des adjectifs. La phrase qui suit confirme cette remarque en précisant « personne membre d'un État » …. La forme adjective est possible mais inappropriée ici.
Quant à l’étymologie, elle ne vient pas de « cité » mais du latin civis, celui qui a le droit de citer et non pas un « objet » utile qu’au moment des élections. Une confusion de plus entre citoyen et fonction.

 Premier élément de la définition de la démocratie :

«  … Personne membre d'un État démocratique » 

 En regard des faits, il s’agit bien là d'une mystification. Nous ne sommes pas dans un État démocratique au sens propre du terme, puisque nos concitoyens, entre deux élections, n'ont aucun pouvoir d'agir sur leurs représentants au cas où ils ne respecteraient pas leurs engagements politiques, ni éventuellement de les répudier, pour incompétence, négligence ou encore pour insuffisance manifeste dans leurs fonctions

 La démocratie réelle en France ne dure que quelques secondes, le temps du dépôt dans l'urne du bulletin de vote. Ensuite, le parti électoralement dominant règne quasi dictatorialement sur les autres partis minoritaires, condamnés à faire de la figuration et légitimer ce qu'il convient d'appeler une parodie de démocratie.

Les citoyens sont encore plus mal lotis, ils sont réduit à un troupeau bêlant, quémandant justice, sans aucun pouvoir exécutif, ni possibilité de réformer l'appareil politique qu'une parti d'entre-eux ont élu !

 Cette fausse démocratie et ses représentants politiques est même faussement représentative, puisque toutes les autres sensibilités politiques n'ont aucun pouvoir. Alors, doit-on s'étonner si 40 à 65 % des électeurs désespérés, pour ne pas dire écœurés, se réfugient de plus en plus dans l'abstentionnisme. Le fait que certains élus à la tête de communes ou de départements ou de communautés de communes, règnent de manière autocratique, explique sans doute la méfiance, voire l'hostilité grandissante de nos concitoyens pour une particratie dominante archaïque, fort peu démocratique, qui gouverne en maintenant nos concitoyens en flattant leur immaturité, propice aux manipulations.

 Les citoyens financent et l'administration dirige, jusqu'à la conscience des  électeurs par des slogans caricaturaux.
 
Inutile de penser... le parti pense pour vous. L'administration actuelle remplace la noblesse d'antan en préservant néanmoins tous ses privilèges.Seules les étiquettes changent pas la mentalité.

 Nos concitoyens se sentent ainsi les otages d'un système politique pervers qui pendant 5 ou 6 ans les mettra sous tutelle du parti conjoncturellement dominant. Ils se sentent continûment floués dans leurs attentes et sont condamnés à réélire, au moment des élections, le parti qu’il avait précédemment répudié.

 Cette démocrasouille et ses jeux de rôle, en usage dans la comédie, dispensatrice d'illusions condamne encore, le temps d'une amnésie sociale estimée à 5 ans, à reconduire au pouvoir ceux qu'ils avaient précédemment condamnés.

 Ils vont ainsi, abusés, de gauche à droite et inversement, comme de Charybde en Scylla, avec une impuissance qui les confine à un dégoût grandissant, pour une privilégiature qui s'affranchit allègrement, par les avantages statutaires de leurs fonctions, de la crise dont ils sont pourtant les coparticipants, donc des coresponsables.

 Ces avantages pécuniaires et les glorioles préfabriquées dont ils bénéficient les affligent d'une cécité conscientielle, d'autant plus grave qu'ils ne sont plus capables de percevoir les dégâts sociaux dus à leurs inconséquences ou leurs incompétences, dans ce système politique terriblement injuste qui aggrave le fossé entre les plus riches et les plus pauvres.

 Cette nomenklatura politique fait tout et avec énergie, pour se maintenir au pouvoir avec tous les avantages personnels qu'ils tirent de leur élection. Qui oserait encore croire qu'ils sont plus au service de la société que de leur personne en quête de revalorisation sociale, de sécurité et de gratifications financières non négligeables, auxquelles s'ajoutent les privilèges de leurs fonctions, voiture, collaborateurs serviteurs, etc.
Décidément, c'est une tradition respectée: la crise c'est uniquement pour la plèbe.
Sur cette galère politique, les élus sont sur le pont et nos concitoyens, aux rames en fond de cale.
Les élus donnent la cadence et les citoyens fournissent l'effort en les rendant, au passage, responsables de leurs échecs économiques et sociaux, locaux ou nationaux.

 Ce dirigisme foncièrement anti-démocratique contribue à ruiner notre société, à accentuer les divisions politiques en dressant les citoyens les uns contre les autres, à seule fin de justifier leur rôle de chef de tribus... Ceux ci, condamnent sectairement, par principe, tous partis opposés à leur marquage politique et pontifient au sommet d'un système dirigiste pyramidal, contraire à une démocratie collégiale réformatrice, plus soucieuse des attentes d'une diversité de concitoyens.

 La cause de la perversion de notre démocratie réside essentiellement :

Dans l'inversion du principe de subordination,

 En effet, nos élus oublient que ce sont les citoyens, qui sont détenteurs du pouvoir malheureusement usurpé par nos représentants politiques.

 Ce sont les citoyens qui financent leurs représentants par leurs impôts de plus en plus lourds et ce sont encore eux, qui les élisent. Ils mériteraient à ce titre beaucoup plus de considération puisqu'ils seraient, par la Constitution, les commanditaires des représentants de l'administration politique. Leurs représentants ne seraient donc que des exécuteurs de la volonté des citoyens !
Or, scandaleusement, c'est l'inverse qui est constaté.

 Retour à une signification cohérente de la démocratie

 Notre propre définition de la démocratie part de l'étymologie originelle : du terme grec "Démokratia" de "Demos" peuple et "Kratos" pouvoir. La démocratie est donc succinctement, mais précisément, le gouvernement du peuple par le peuple. La souveraineté nationale appartient donc au peuple qui l'exerce par ses représentants et par voie référendaire . Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s'en attribuer l'exercice exclusif .

 Comment se fait-il que les « représentants » du peuple dirige autocratiquement nos concitoyens entre les élections quinquennales, sans les consulter. N'y a t-il pas là usurpation du pouvoir des citoyens?
Dépossession des droits et dépossession du pouvoir n'ont rien avoir avec la démocratie.
La France a abandonné sa souveraineté à une Europe technocratique dirigée par des entités non élu qui dirigent dans l’anonymat, fuyant la responsabilité de leurs échecs sous la tutelle du dirigisme spéculatif d'un mondialisme affairiste insatiable qui crée des crises internationales au gré de leurs convoitises...

L’idée selon laquelle la politique est le domaine réservé d’hommes politiques, plus ou moins professionnels, d’experts, de politologues, de « technocrates »… doit être combattue.
Il est urgent et impératif que le citoyen qui dort au fond de chacun de nous se réveille enfin pour se réapproprier la politique et défendre la forme de société dans laquelle il souhaite vivre.

 Deuxième partie de la définition

 « ... qui n'est pas investi d’une responsabilité officielle » 

 Oh que si ! ….Pourquoi cette dépréciation de la valeur de nos concitoyens ?

 La responsabilité officielle des citoyens, c'est d'élire leurs représentants politiques et de les financer grassement de leurs impôts. Rien de plus officiel !

 Cette responsabilité devrait s'étendre au contrôle et à la vérification de l'engagement de leurs politiques, conformément à leur programme lors de leur élection, sur lequel ils ont été élus.

 Cette responsabilité démocratique devrait s'étendre également à la possibilité d'intervenir en cours de mandat sur des élus incapables ou négligents, portant par leurs carences préjudice à la totalité de la collectivité dont ils ont la charge.

 Sur ce deuxième point, il y a aussi spoliation du pouvoir des citoyens, littéralement bâillonnés entre deux élections.
Notre démocratie actuelle s'apparente au choix, soit à une monarchie constitutionnelle, soit à une dictature, toutes deux confiscatoires de notre pouvoir. Elle est de surcroît génératrice d'abus portant sur la restriction du champ de nos libertés : d’expression ou d'opinion, de plus en plus limité.
Cela ne suffisant pas, notre « démocratie dite représentative » utilise des moyens de pressions judiciaires sur des contestataires, jugés comme des déviants, en les livrant aux tribunaux ou pour le moins, en les menaçant de procès ruineux, technique qui n'envie rien aux lettres de cachets propre au régime monarchique.

 De manière habituelle, nos concitoyens sont littéralement bâillonnés entre deux élections et doivent impérativement se soumettre au pouvoir en place.

 Cette définition contestée, au fronton de la maison de la citoyenneté, va jusqu'à nier la responsabilité officielle de ces électeurs !...

 Troisième partie de la définition

 «  Qui jouissent des droits civiles »

 Cette partie de la définition frise par cette affirmation la provocation. Le terme « jouir » masque la spoliation de notre pouvoir, l’outrecuidance et la condescendance de son auteur par les termes employés. Ceux-ci laissent à penser que nos concitoyens devraient se satisfaire de cette jouissance de pouvoir imaginaire. A l'évidence, cette concession contredit le fondement même de la démocratie définie dans « les droits de l'homme et du citoyen ».

 « Le pouvoir appartient au peuple ou à ses représentants ». Il est donc temps que les citoyens prennent enfin le pouvoir qui leur a été confisqué par ses représentants, privilégiant leurs intérêts personnels plutôt que ceux du peuple qu'ils sont censés servir conformément à notre Constitution !

 Quatrième partie de la définition

 « ...des droits civils et politiques garantis par cet état » 

Après la dépossession par nos représentants politiques de tous nos droits, que reste-t-il à garantir par l'Etat ? Rien ou pas grand chose .. Cette garantie est donc facile à tenir puisque tous nos droits, ce sont nos représentants qui en disposent et que nous n’avons aucun droit effectif, de leur demander des comptes entre deux élections.
Les attributions sont précises : liberté totale pour nos élus et aliénation permanente pour leurs électeurs dépossédés de tout contrôle et de pouvoir exécutif ?

 Conclusion provisoire ...

 Nos « représentants » politiques, toutes tendances confondues, profitent d'une « démocratie » fallacieuse dite représentative pour s'ériger en privilégiature, jouissant d’avantages particuliers au détriment de ceux qui ont eu l'imprudence de leur faire confiance, ballottés au gré des événements dans l'alternance politique illusoire. En effet ce n'est pas en changeant de cabine sur le Titanic lorsqu'il coule, qu'on changera la destinée tragique de ses passagers...

 C'est donc le système de cette démocratie participative qu'il conviendrait d'urgence de réformer, pour une démocratie plus directe, responsabilisant tous nos concitoyens dans le choix de vie et des moyens pour y parvenir.

 Cette réflexion sur la définition de la démocratie ne vise personne en particulier, mais tous de manière générale, car mêmes les victimes d'un système inique, ont une responsabilité dans ce qu'ils estiment être leur déchéance programmée, au service de la pieuvre mondialiste, dont nos représentants politiques ne sont, à un autre niveau, que des marionnettes.

 Une évidence flagrante.

 Il est pourtant clair que le moyen : l'argent, est devenu le but de la société consacrant ainsi une perversion majeure qui nous fait sombrer dans l'Avoir, sans autre considération pour l'Etre  et ses valeurs existentielles, affranchies d'un étalon du bonheur, corrélé au produit national brut.

 Nos représentants politiques sont-ils seulement au courant de la galère sur laquelle ils  nous embarquent, sans moteur ni gouvernail et surtout sans conscience ?

 Rien n'est moins sûr et c'est cela le plus inquiétant !...

 RF

 

 

12/12/2013

Encore des AGRESSIONS !

 

Pratiquement tous les jours, la presse se fait l'écho d'agressions dans les transports !

Avant de prévoir de nouvelles lignes et de tirer des plans sur la comète pour l'urbanisation future du "grand Paris" avec des projets soporifiques, en pleine crise économique, encore faudrait-il que les dits projets ne tendent pas à occulter la préoccupation essentielle de nos concitoyens pour leur sécurité ! 
Quand comprendront-ils la nécessité de répondre au besoin impératif de sécurité des usagers des transports publics et par extension, de tous les habitants de nos villes ?

Volés, agressés violés, cambriolés, chez eux, ils le sont encore dans les transports en commun. Même les conducteurs avouent qu'ils vont travailler la "peur au ventre».

Y-a-t-il encore en France un seul petit endroit où l’on puisse encore être un peu tranquille ? 
Incapable de régler les problèmes d'insécurité, nos politiques tentent de combler, par des apports de matériel et de transport nouveaux, l'angoisse existentielle des usagers, dont 93 % disent dans une enquête très récente, que cela va encore s'aggraver !

Quand les politiques manifestement frappés de surdité sociale répondront-ils enfin à l'attente primordiale de leurs électeurs : leur besoin de sécurité !!!
Enfin, comment une famille peut-elle être heureuse dans un tissu social qui devient une véritable jungle, où sévissent en toutes impunité : voyous, malfrats, escrocs, dealers, trafiquants, de drogues, d'armes etc.  

Attention: les déceptions s'expriment dans des manifestations de rue, mais aussi et surtout dans les urnes au moment des élections !
En conclusion :
il y en a marre de ces litanies politiques incessantes de condamnations sans sanction !

Ce n'est plus de l'incompétence, de la lâcheté, mais à ce niveau, il s'agit bien de complicité !

En effet, ne rien faire, c'est forcément consentir, pire encore... encourager ...


RF

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Mardi 10 décembre 2013

Des jeunes incendient un bus de la RATP dans la cité Pablo-Picasso à Nanterre.

Source: La Défense.92

Encore des faits !

Un bus de la ligne 159 qui effectuait la liaison entre La Défense et Nanterre-Cité du vieux Pont a été incendié par un groupe de jeunes dans la nuit du mardi 31 juillet au mercredi 31 août 2012. L’affaire démarre vers 20h, quand la police interpelle un homme, Kamel Hakkar, recherché pour exécuter une peine de prison pour vol aggravé. Les policiers sont alors pris à partie par un groupe de jeunes gens, qui leur lancent des projectiles. Plus tard dans la soirée peu avant 00h le bus qui traversait la cité Pablo-Picasso est intercepté quelques mètres avant l’arrêt « Les Fontenelles » sur le carrefour de l’avenue Pablo-Picasso et de la rue des Fontenelles par des jeunes qui le « caillassent ». Les jeunes font descendre les passagers du bus ainsi que le chauffeur avant d’asperger le véhicule d’essence et d’y mettre le feu. L’incendie n’a pas fait de blessé et il n’y a pas eu d’interpellation.

Ce bus de la ligne 159, un Citelis 12 de Iribus était flambant neuf puisqu’il avait été livré en décembre 2011.

La RATP a décidé de dévier temporairement la ligne afin qu’elle évite ce quartier chaud de la ville de Nanterre.

Dans un communiqué le maire de Nanterre, Patrick Jarry (maire communiste ndlr Gérard Brazon) a condamné avec « la plus grande fermeté » cet incendie volontaire.  » Cet acte de violence exercé à l’encontre d’un service public pénalise avant tout les habitants du quartier, dont beaucoup vivent déjà durement les effets de la crise économique et sociale » déclare le maire.

La cité Pablo Picasso n'est pas réputée pour être une cité de rêves. Bien au contraire. Patrik Jarry, nouveau Président de l'EPADESA, (gestion de la Défense) joue les faux cul). Tout comme Joëlle Ceccaldi-Raynaud (UMP) ancienne Présidente. Tous deux savent ce qu'est Nanterre et cette Cité. Mais pas de vague. Ce qui n'a pas interdit le Maire de Puteaux la ville voisine de mettre des grilles partout au point ou ce sont les habitants de sa ville qui se sentent enfermés désormais. (ndlr Gérard Brazon)


 

 

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