06/03/2018
Au nom d'une démocratie, dont ils ignorent tout !...
Le devoir pour tout citoyen est de défendre le droit d'expression et d'opinion d'où qu'il vienne ...
RF
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Le fait de dénoncer les violences par des images, de l'Etat islamiste, est présentement interdit : un délit passible de 3 ans d'emprisonnement et 75 000 euros d'amende ! Donc taisez-vous et devenez par votre silence complice des terroristes pour leurs meurtres...
Par contre les très nombreux appels aux meurtres, à la discrimination, à la violence, à la pédophilie, aux ségrégations les plus injustes, comme l'infériorisation de la condition féminine, qui figure dans le Coran ne sont pas interdits.
Plus grave, les islamistes crient haut et fort que l'islam est totalement incompatible avec la laïcité puisque les lois d'Allah priment sur celles des hommes !
Et que fait "notre" gouvernement "collabos" ? Evidemment, il collabore et accepte lâchement la multiplication des mosquées sur notre territoire, alors que dans les pays musulmans ils détruisent nos églises et massacrent les prêtres.
Nos gouvernants de droite comme de gauche ont un point commun: ils sont obsédés de museler les Français en leur interdisant le droit d'expression et d'opinion, pourtant une condition sine qua non d'une démocratie.
Le pouvoir politique navigue entre la démocrature et l'autocratisme qui s'apparente de plus en plus à une dictature. Le pouvoir "c'est moi disait le Roi", idem pour nos nouveaux dictateurs qui s'érigent en directeur de conscience de notre société, alors qu'ils sont incapables de gérer notre économie sans creuser des déficits. Ils ne sont pas rentables, ils vivent au détriment d'une société comme des parasites sur un organisme social malade...
Dans une méritocratie, compte tenu de leurs piètres résultats, ils se feraient répudier par la vindicte populaire et ils pointeraient au chômage. Or, c'est le contraire, le chômage n'existe pas chez eux et ce sont leurs électeurs qui font exclusivement les frais de leurs échecs ... La France est endettée sur des générations et ce sont des énarques spécialisés en gestion qui sont les responsables de cette ruine.
Les électeurs se fient trop aux étiquettes et non à la qualité réelle des produits périmés de L'ENA !
Si la loi était juste, il faudrait traduire en justice nos "gouvernants" qui après avoir été élus, exercent un pouvoir autocratique, sur la plèbe, la "populace" qui ne dispose d'aucun contre pouvoir exécutif et de contrôle sur leurs représentants, entre deux élections.
Il faut condamner cette démocrature falsificatrice qui viole de manière permanente la démocratie, dont il faut rappeler qu'elle est " le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple " Abraham Lincoln.
Ce qui n'a absolument rien à voir avec notre démocrature usurpatrice du pouvoir.
Quand un gouvernement est nul en économie, pour se maintenir au pouvoir, il n'a d'autres choix que de créer des divisions sociales, de limiter le droit de critique, d'expression et plus encore, le droit d'opinion des contestataires, qui menaceraient le pouvoir de ces incapacitaires pontifiants, trônant au gouvernement et dans nos Mairies.
D'autre part, comment faire confiance en une "Justice," simple courroie de transmission de la volonté politique des autocrates, qui ne pensent qu'à préserver le pouvoir des conséquences de leurs propres échecs !
RF
NB : Nous ne défendons pas Marine Le Pen, mais l'injustice dont elle est souvent l'objet, qui ne peut que promouvoir son parti !
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Marine Le Pen mise en examen pour la publication de photos d'exactions de
l'Etat islamique sur Twitter !
La présidente du Front national a été mise en examen pour "diffusion d'images violentes",
un délit passible de 3 ans d'emprisonnement et 75 000 euros d'amende.
Marine Le Pen a été mise en examen, jeudi 1er mars, par un juge de Nanterre pour la diffusion,
en décembre 2015, de photos d'exactions du groupe Etat islamique sur Twitter, a indiqué le parquet
de Nanterre.
Le bureau de l'Assemblée nationale avait approuvé la levée de l'immunité parlementaire de la députée frontiste en novembre dernier. "La liberté d'expression et de dénonciation, qui est consubstantielle au rôle de député, est morte
avec cette décision de basse politique politicienne", avait alors réagi Marine Le Pen.
En janvier, le député apparenté FN du Gard Gilbert Collard avait été mis en examen pour le même motif.
"C'est une manipulation politique et une instrumentalisation du parquet", avait commenté le député du Gard.
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