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29/01/2013

ARC4 chez Radio-Courtoisie

Chez RADIO COURTOISIE

le 30 janvier à 20 h

Animateur Martial Bild

 
M. et Mme Féjan, représentant ARC4, exliqueront les moyens très efficaces mis en oeuvre pour mettre un terme à l'insécurité de notre société avec son cortège de vols, d'agressions, de meurtres, de viols, de trafics d'armes etc., ils démontreront que la gangrène insécuritaire n'est pas une fatalité et que les citoyens peuvent y mettre enfin un terme !


 
 
 

23:16 Publié dans ACTUALITE | Lien permanent | Commentaires (2)

20/01/2013

ACTE CITOYEN OU "OMERTA"

 

Rappel à la loi :
 Des personnes intéressées par le concept "voisins vigilants" craignent d'avoir a donner des informations aux autorités de police ou de justice, dans le cas où elles auraient été témoins d'actes délictueux tels : cambriolages, agressions, nuisances diverses... Ces personnes redoutent qu'il leur soit reproché un acte de "délation"

Or, si reproche il devait y avoir, cela serait pour le fait précisément de ne pas avoir agit en citoyen solidaire et responsable en cas de connaissance d'actes répréhensibles.

Le code pénal est très précis à ce sujet.

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LES PETITS CHATS ET L’INSTITUTRICE

Cette métaphore nous renvoie à notre problématique sociale.

Faut-il dénoncer ou laisser faire ?

Une institutrice s’est montrée offusquée à l’idée de pouvoir faire connaître aux autorités en droit et devoir d’agir, que des personnes  avaient développé une activité illégale : travail non déclaré, avec des clandestins surexploités, esclavagés, vivant dans des conditions déplorables. Elle refusait d’agir en citoyenne responsable, au prétexte que, dans son établissement scolaire, des enfants avaient pour parents certains de ces travailleurs illégaux. Elle disait que si ce réseau était démantelé, les personnes expulsées, les enfants le seraient également et en souffriraient.

Cette attitude m’a rappelé une histoire vécue quelques années auparavant :

Dans un immeuble voisin, quelques chats abandonnés avaient élus domicile et se reproduisaient de telle sorte qu’en peu de temps une petite colonie se développait sur les lieux.  Certains locataires les nourrissaient en disant « pauvres petits errants » mais ne prenaient aucune décision adaptée pour enrayer ce phénomène. D’autres locataires se plaignaient, sans rien faire d’autre.

La propriétaire de l’immeuble, lassée des plaintes de ses locataires, donna la responsabilité à un couple, sur place, de régler le problème au plus vite. Ces personnes, investies d’un « pouvoir d’autorité » ont alors agit d’une manière ignoble. Elles ont fait périr les jeunes chats en les enfermant sans eau ni nourriture et leur agonie a duré plusieurs jours.

Des voisins intrigués par les cris étouffés mais qu’ils ne pouvaient localisés précisément ont pris la décision d’alerter la police. Des policiers se sont déplacés sur les lieux et ont fini par découvrir le lieux d’infamie. Là, les langues se sont déliées et les auteurs de cette cruauté ont été désignés.

Au delà de notre peine et de notre colère, quelle ne fut pas notre surprise de constater que ce couple avait  un superbe chat angora, choyé, dorloté manifestement.

Comment pouvaient-ils être capables d’aimer « leur chat » et se faire les bourreaux de tant d’autres ?

Comment prétendre protéger un être en se faisant complice de la maltraitance de tant d’autres ?

Comment peut-on se donner bonne conscience en privilégiant une vie tout en sachant que le « laisser faire » permet à des exploiteurs d’étendre leurs basses œuvres en toute impunité ?

Rester dans son confort mental amène trop souvent à se faire complice des auteurs d’actions les plus répréhensibles.
Cette institutrice, probablement animée des meilleurs sentiments, ne se rend peut-être pas compte que le courage civique est une qualité que nous pouvons tous développé, dans un but véritablement humanitaire.
Les autorités en charge de faire respecter les lois ne peuvent pas, seules, connaitre tous les foyers délictueux. Elles ont besoin de la coopération bienveillante de tous si nous voulons une société moins barbare.

Entre l’acte citoyen et l’omerta : quelle option retiendrez-vous ?

 Chantal Féjan

08/01/2013

Avis de ARC4 sur " l'emeute de jeunes " contre des policiers !

 

Lundi 7 janvier 2013

Nuit chaude à Avignon: des dizaines de jeunes affrontent les policiers !

Les préludes d'une guerre civile ? RF
Les policiers ont du faire usage de Flash-ball pour se dégager. Le DL/archives.

Les policiers ont du faire usage de Flash-ball pour se dégager. Le DL/archives.

Nuit chaude dans le quartier de Coupo-Santo, le long de la Rocade Charles-de-Gaulle à Avignon.

Ce dimanche, vers 3h, plusieurs individus ont jeté des projectiles sur la route avant de bloquer une voiture pour y taper dessus avec des gourdins. Pendant que d’autres ont bombardé de pierres les policiers à leur arrivée sur place.

Les forces de l’ordre ont dû faire usage de Flash-Ball quand certains des émeutiers ont voulu les charger. Au plus fort des affrontements, plusieurs dizaines de jeunes ont fait face aux forces de l’ordre. 

Vauclusematin.com

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Commentaires ARC4  du 9/01/2013
 
L'URGENCE : RETiSSER LE LIEN SOCIAL ... 
 
Voilà ce qui arrive quand il existe un divorce entre la police, la population et le pouvoir local : les voyous de tous acabits en profitent ! 
 
Quand donc les pouvoirs publics comprendront-ils que rien ne peut se faire efficacement en matière de sécurité, sans la participation active des citoyens.
Cette co-responsablilité participative: citoyens, police, justice, est la clef du succès ! 
Cette auto protection vigilante citoyenne, préconisée par ARC4, sans participation active concertée, programmée et synergique avec la Police et  la Mairie, serait une faute gravissime qui mettrait à terme en cause directement la sécurité de tous les courneuviens.
L'association ARC4 répond donc pleinement à cette lacune . Elle ne cesse de plaider pour cette coordination qui reste pour le moment trop virtuelle.
Néanmoins, la solidarité citoyenne se renforce de jours en jours par de nombreuses adhésions. Les résultats qu'obtiennent les membres d' ARC4 pour la sécurité, passent de loin nos espérances les plus exigeantes, puisque qu'aucun de nos adhérents n'a été cambriolé ni agressé depuis la constitution de notre association, alors que les agressions et les cambriolages, sans oublier la détérioration de véhicules étaient quotidiens.
La force essentielle de notre association, c'est d'une part son non marquage politique. Toutes les sensibilités politiques de nos concitoyens peuvent donc collaborer dans un but commun, celui d'assurer la sécurité de chacun, par une vigilance accrue sur des faits de nature à troubler l'ordre social et la tranquillité de nos concitoyens.
Le groupe ARC4 renforce donc le lien social, altéré par ailleurs par les dissensions politiques qui divisent les citoyens, les opposent pour le plus grand bonheur des voyous et des malfrats qui n'en demandaient pas tant, pour l'exécution de leurs basses œuvres.
 
L'association ARC4 prouve donc son efficacité en dépit de ses manques de moyens. Elle prouve également qu'on peut préventivement, éviter dans une très large mesure, tous types d'exactions qui pourrissent la vie des citoyens. Le but, c'est d'urgence de faire en sorte que les zones de sécurité gagnent rapidement sur celles où règnent encore l'insécurité.  
La police, la justice, la mairie sont financées par nos impôts pour être au service des citoyens, mais ces institutions ne peuvent être efficaces, qu'avec le soutien de tous les concitoyens .
 
Pour parfaire l'efficacité et l'équité de ARC4, l'exercice de la vigilance est son premier impératif, mais il ne va pas sans le fait de dénoncer nommément ceux qui contreviennent aux lois en vigueur, sans oublier ceux qui, à leur poste de responsabilité, ne font pas leur travail ou tergiversent, en pensant que les choses se résoudront d'elles-mêmes !
A ce niveau, ne pas dénoncer publiquement, équivaudrait à se rendre complice de ceux qui manqueraient à leurs obligations professionnelles.
 
RF. 
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18:33 Publié dans ACTUALITE | Lien permanent | Commentaires (2)