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18/02/2015

LE FINANCEMENT DES ASSOCIATIONS

Pour y voir clair sur le financement des associations courneuviennes (1)

Les associations quel beau terme : il évoque la mise en commun des moyens, la solidarité,  mais il évoque également, le communautarisme, la ségrégation, la corruption, etc.

Mais comment passe-t-on de l'un  à l'autre ?

L'argent et le pouvoir sont les premières sources de corruption et les associations n'échappent certainement pas à la règle.  

Précautions préalables pour la création d'associations subventionnées  

1) Il faut d'abord prendre en considération les raisons de la constitution de ces associations et surtout leurs buts. Un rapide coup d'oeil sur la nature de ces associations courneuviennes n'a pas manqué de nous surprendre.  (nous y reviendrons par le détail dans une prochaine intervention) 

2) Vérifier l'efficacité des association par rapport aux buts poursuivis et là,  il y a un gros problème à La Courneuve, car les subventions sont apparemment faites à fonds perdus, sans vérifications ultérieures de leur bon emploi !

3) Veiller à la probité de ces associations subventionnées par la ville pour qu'elles ne soient pas en fait, des courroies de transmission du pouvoir en place et des réserves de votes pour les élections futures ! 

4) Vérifier que les subventions publiques ne servent pas l'intérêt de personnes particulières, près du pouvoir en place, mais à l'intérêt général des Courneuviens . 

Problème ARC4 

Dans ce préambule sur les associations, les membres d'ARC4 ont réussi pleinement dans leur lutte contre l'insécurité, dans le renforcement des liens de solidarité entre les Courneuviens et pour la défense de leur milieu de vie. Malgré ses succès ARC4 se demande, au seuil de sa 4 ème année d'existence, donc après avoir fait ses preuves avec succès,  si elle obtiendra une subvention de la Mairie.
ARC4 ne soutient personne politiquement, son objet est uniquement la résolution des problèmes au mieux de l'intérêt général. 

ARC4 est indépendante de tous les partis politiques, elle est évidemment critique sur certains des choix sur la politique de la ville, tout en proposant d'autres solutions, elles aussi évidemment discutables.  Encore faut-il avoir un interlocuteur comme dans une réelle démocratie. Or ce n'est pas le cas. 

Alors, une association apolitique a-t-elle encore sa place à La Courneuve ?  
Peut elle survivre dans le cadre d'une démocratie ou va-t-elle être contrainte d'entrer, elle aussi, dans la lutte politique, idéologique,  pour être enfin entendue ? 

Le refus du dialogue démocratique ouvre la voie au sectarisme et à la défense d'intérêts particuliers, communautaristes, où le plus fort, comme dans la jungle, s'impose.

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Jean Baptiste LEON

Rédacteur en chef des Enquêtes du contribuable

 

 

 

Exclusif : le financement des associations qui combattent vos idées

Depuis 1997, Contribuables Associés passe à la loupe le financement public du monde associatif.
Un travail de fourmi, que vous ne verrez nulle part ailleurs, et qui nous permet de porter au grand jour ce que bon nombre de politiques et de responsables associatifs voudraient voir taire afin de continuer leurs petits arrangements entre amis.

Nombre d'associations sont devenues le bras séculier du secteur public, une émanation des collectivités qui les financent, d'autant plus aisément que nos élus cèdent, sans trop résister, à la tentation de cajoler les associations pour acheter la paix sociale et fidéliser leur électorat...


Dans ce numéro spécial, vous découvrirez qu'une part importante des associations vit largement et souvent uniquement de subventions publiques.

 

subventions.pngChaque année, elles sont 550 000 à être arrosées par l'Etat et les collectivités locales et touchent au total plus de 40 milliards d'euros par an.
Les associations subventionnées sont un véritable fardeau pour le contribuable, d'autant qu'elles sont devenues une fonction publique bis avec leur contingent d'agents publics mis à disposition.
Un vrai racket pour les contribuables à découvrir ici !

tableau ronds.pngLa rédaction des Enquêtes du contribuable s'est également penchée sur ces associations qui manipulent les Français : Femen, RESF (Réseau éducation sans frontières), Fédération Léo Lagrange, Ligue de l'enseignement et toutes ces structures associatives politisées et donneuses de leçons qui nous pompent l'air à grand renfort d'argent public.

Retrouvez le classement exclusif des 10 associations qui ont reçu le plus d'argent de la part des ministères en 2013. On y retrouve, sans surprise, nombre de faux-nez de l'administration créés à l'initiative de l'Etat.

main.pngSOS Racisme : touche pas à mon pognon !
Document exclusif ! Sans adhérents, sans soutien populaire, l'association antiraciste a tout de même réclamé plus de 300 000 euros à une agence de l'Etat en 2013.

 

femme.pngClientélisme, quand tu nous tiens.
Du Nord au Sud, les élus sont atteints de subventionnite aiguë : il est si tentant de cajoler les associations pour acheter la paix sociale et s'assurer une base électorale solide.

 

13/02/2015

COMME DANS TOUS LES CONFLITS IL EXISTE DES "COLLABOS"

Comme dans tous conflits, il existe des collabos qui se mettent au service de l' adversaire, y compris au sein du gouvernement. Dans ce conflit avec les musulmans, c'est encore le cas. 
Une bien sinistre tradition !

Voyez ci-dessous par quel genre de personnages nous sommes représentés dans notre pays !

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11 JANVIER : AVANT OU APRÈS,
QUELLES DIFFÉRENCES ?

Il paraît qu’il y aura « un AVANT et un APRÈS 11 janvier 2015 » (M.Valls).
Voyons ! Le crime qui a provoqué le sursaut de la France s’est passé les 7 et 9 janvier.
Le 11 n’est qu’un épiphénomène consécutif.
Mais voyons quand même.

Avant, le 5 août 2014, il y a moins de 6 mois, B. Cazeneuve disait « Ce n’est pas un délit de prôner le djihad« . S’il le répétait aujourd’hui il tomberait sous le coup de la loi (si elle est votée !) et encourrait jusqu’à 7 ans de prison, comme les directeurs de magasins Carrefour et la FNAC qui vendaient des livres faisant la promotion du djihad.

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Avant, Vincent Peillon, pour notre bonheur enfin disparu des écrans médiatiques, avait asséné à l’université de Neuchâtel, en Suisse, l’ineptie suivante montrant qu’il n’a jamais lu le coran ou le moindre hadith : « le catholicisme est incompatible avec la liberté, contrairement à l’islam« .
S’il se convertit un jour par lâcheté et opportunisme avec tous les universitaires, comme le prévoit Houellebecq, il apprendra qu’islam signifie « soumission » et que renier l’islam est passible de la peine de mort. Ce n’est pas le cas dans la chrétienté qu’il est permis de critiquer et de quitter.

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Avant, le 16 décembre, le journaliste socialiste (un pléonasme) de L’Obs Bruno Roger-Petit a écrit : « Oui, il y aura un jour, avant la fin de ce siècle, un président de la République française dont le prénom sera Mohamed, ou Ahmed, ou Norredine, c’est une perspective formidable« . Félicitons-le d’abord de donner raison à Houellebecq, et conseillons-lui de quitter L’Obs, journal de la bobocratie friquée, pour Charlie Hebdo, journal critiquable mais où l’on prend des risques en caricaturant l’islam au lieu de lui lécher les babouches.

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Avant, il y a le grand délateur, Edwy Plenel, qui a dit « c’est une immense chance pour la France d’être le premier pays musulman d’Europe« . Lui aussi lèche toujours l’islam dans le sens du poil et devrait faire un stage d’apprentissage du courage à Charlie ou à Valeurs Actuelles, un hebdo encore plus courageux que Charlie, et surtout beaucoup mieux écrit, gardé jour et nuit par la police.

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Avant, revenons pour terminer « l’avant » à Cazeneuve, ministre des Cultes qui, tout aussi ignorant de l’histoire de France que Peillon l’est de l’islam, a déclaré : « Évoquer les racines chrétiennes de la France, c’est faire une lecture historique frelatée… qui a rendu la France peu à peu nauséeuse » .

Si la tradition chrétienne de la France qui a porté la liberté de penser, l’égalité des femmes avec les hommes, des pauvres avec les riches et la fraternité avec l’injonction divine de s’aimer les uns les autres lui donne la nausée, pourquoi ne quitte-t-il pas la France pour l’Arabie, Singapour ou les Iles Vierges ? Ce n’est pas nous qui le forçons à rester.
Un type qui a déclaré que « si je n’avais pas été ministre j’aurais été manifester à Barbès » à hurler avec les islamo-fascistes « Mort aux Juifs » a-t-il sa place en France ? Qu’il aille donc profiter de ses rentes de haut fonctionnaire sous les cocotiers.
Le conseiller financier de Hollande détenteur de comptes « légaux » aux Iles Caïman lui donnera des adresses, il s’y connaît en offshore.
Et si les Iles Caïman c’est un peu voyant, son associé n°1, Xi Shu, lui donnera de bonnes adresses aux Iles Vierges ou bien le n°2, Jacques Rougeaux, le conseillera pour se domicilier fiscalement à Hong Kong ou Singapour.
C’est qu’il en a de bons copains, Hollande, je ne parle pas de Macron de chez Rothschild ou de Laurence Boone de la banque Merrill Lynch, ses deux autres proches conseillers financiers, mais de Jean-Jacques Augier qui a racheté à Pierre Bergé le journal des pédérastes, Têtu.

Ça, c’était avant, mais après ? Après, il y a ceux à qui profite le drame.

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Mix et Remix: À qui profite le drame ?

Contrairement à ce que l’on tente de nous faire croire, la plupart des Français qui ont manifesté le 11 janvier ne l’ont pas fait pour Charlie-Hebdo, bien que la presse dûment sermonnée n’ait montré que des gens portant le badge « Je suis Charlie« , mais contre l’islam meurtrier, comme il l’a toujours été depuis quatorze siècles, assassinant en France des journalistes, des policiers et des Juifs .

Après, les Français ne veulent pas que leurs rues, leurs villes, la France deviennent le champ de bataille où l’islam radical s’affrontera aux chrétiens, aux juifs et aux musulmans qui ne seront pas sunnites fondamentalistes.

Parce que, quoi qu’ils en disent, à l’exception du pape François qui reconnaît l’existence d’un djihadisme musulman planétaire et parle d’une « troisième guerre mondiale livrée par morceaux« , une autre façon de parler de la guerre « multipolaire » ou « hors limites » que j’ai mentionnée dans un précédent article, et à l’autre exception du président égyptien Al-Sisi pour qui placer la frontière entre musulmans modérés et fondamentalistes est une erreur parce qu’il faut la placer entre l’islam religieux et l’islam idéologique, politique et militaire, le djihad, cinquième pilier de l’islam, et l’islamisme SONT aussi l’islam.

Et cet islam-là, qui s’est manifesté bruyamment et violemment ces dernies jours dans tous les pays musulmans du Maroc à l’Afghanistan, en passant par les banlieues, les écoles  françaises et par le Niger « allié » où dix chrétiens ont été massacrés et une cinquantaine d’églises brûlées pour Charlie, cet islam-là a désigné la France comme son ennemie et espère bien lui faire payer cher son engagement contre l’islam, car c’est ainsi qu’ils le voient, du Mali à l’Irak où Chirac avait eu l’intelligence de ne pas nous impliquer en supplétifs de Bush, ce que l’ignorant Fabius a fait.

Après, notre élite qui ayant « fait » deux ou trois grandes écoles se croit cultivée et compétente et pense avoir obtenu un brevet d’intelligence (ce qui n’a rien à voir avec l’instruction), va-t-elle maintenant comprendre qu’il ne suffit pas de dire que nos djihadistes « français » sont des « terroristes », mais qu’il faut les reconnaître comme nos ennemis, guerriers d’un islam qui veut venger – il ne s’en cache pas – ses échecs militaires historiques à Poitiers, Vienne et Cordoue ?

L’avenir nous le dira, mais je n’y crois guère. Le naturel reviendra vite au galop chez tous les politicards du royaume de France.

Après, il y a aussi le grand appel au respect de la liberté d’expression et d’opinion aussitôt contredit par Valls (inculper Dieudonné) et les associations relais du ministère de l’Intérieur qui continuent à harceler Zemmour, Houellebecq et Tesson. Puis dans les discussions pour, toujours sous couvert de liberté, dire ce qui « définit les limites du langage et de la pensée, décide du digne, de l’indigne et du tabou » (Éric Branca, V.A.).

Après, en même temps, et sans le moindre scrupule moral, l’Elysée mobilisait à son seul profit l’émotion légitime qui submergeait le pays, rameutait sous sa coupe l’opposition de droite tétanisée sous prétexte « d’unité nationale » et tous, de Bayrou à Sarkozy sont tombés dans le panneau, Marine Le Pen n’y ayant échappé que grâce à Hollande qui lui a interdit de participer à l’unité nationale républicaine où elle avait pourtant sa place.

Après, va-t-on enfin s’interroger sur ce qui se passe dans les mosquées françaises où des imams appellent en arabe au djihad et poussent de jeunes garçons désœuvrés à aller égorger les infidèles en Syrie et les filles à les rejoindre pour être les filles à soldats de l’islam ?

Après, va-t-on prendre conscience et arrêter de dire que « l’islam est compatible avec la République » alors que les plus hautes autorités religieuses de l’islam disent qu’il y a incompatibilité entre l’islam et l’a démocratie, entre l’islam et la laïcité, entre l’islam et la liberté, entre l’islam et l’égalité hommes-femmes, entre l’islam et les non-musulmans, entre l’islam et l’homosexualité, entre l’islam et la monogamie, entre l’islam et l’éducation des filles, entre l’islam et la liberté d’expression… parce que le prophète en a décidé ainsi ?

L’islam tel qu’il est actuellement est une théocratie à la fois religieuse, politique, sociale et militaire, il est forcément incompatible avec une République laïque, issue de la philosophie des Lumières et de la Révolution, il n’y a pas besoin d’avoir deux neurones pour le comprendre.

Recevant il y a quelques jours David Cameron, Barack Obama a souligné l’incapacité de la France à assimiler les musulmans, même ceux « de France ». La raison en est claire : nos élites, recrutées non en fonction de leur capacité à réfléchir, mais en fonction de leurs diplômes et de leur capacité à reproduire le système en psalmodiant « les sourates de la culture officielle » (Camille Pascal), dans un pays où les musulmans modérés font alliance avec le Parti socialise pour faire barrage au Front National.
Cela « rappelle avec cruauté que le suffrage universel peut, un jour, comme dans l’Allemagne de 1933, voter contre la démocratie » (Camille Pascal, V.A. du 22-01)

Maurice D.

Quand la " justice " se laisse instrumentaliser dans une guerre de religions.

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- Quand la " justice" cède à la pression d'une religion en refusant de prendre en considération les faits historiques incontestables ! 

- Quand la "justice" laisse travestir par un établissement d'enseignement public des faits historiques pour satisfaire l'idéologie du moment, en se rendant au passage complice de révisionnisme historique.


Question
: Un Prof d'histoire peut-il exercer honnêtement son métier, sans subir les poursuites de tribunaux inquisitoriaux comme le MRAP et la Ligue des Droits de l’Homme, qui servent de gouvernail à un "pouvoir" politique trop servile et à un établissement d'enseignement, qui perd sa neutralité pour soutenir la religion musulmane ?

Pour rester au niveau des faits, les religions juive et musulmane ont réussi à corrompre la laïcité, nos politiques et la justice, en se rendant intouchables :
Toute critique sur l'hégémonie religieuse expose son auteur à être poursuivi pour "racisme"  antimusulman ou anti juif ! 

Plus grave, l'enseignant ci dessous n'a exprimé dans son cours qu'une réalité historique !     

Si nos concitoyens manquent de vigilance, la théocratie deviendra, à terme, plus que probable dans notre pays où nos représentants politiques, préoccupés prioritairement par leur carriérisme, sont incapables de défendre la neutralité laïque dans notre pays où disparaissent rapidement toutes notre libertés, dont la plus précieuse : notre liberté d'opinion !

Il est temps que les politiques s'occupent de la gestion de notre pays et non de diriger la conscience de nos concitoyens par des pressions comminatoires, contraires à la dignité humaine ! 

NB:  Il faut faire la part des choses, nous soutenons l'indignation de ce professeur, mais certainement pas son jugement final qualifiant la France d'antisémite. Il sort manifestement d'une ornière pour finalement retomber dans une autre et sur ce point nous ne pouvons le suivre !

RF.

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Mercredi 28 janvier 2015

 

Madame le ministre,
autorisez-vous vos enseignants à qualifier Mahomet d’assassin ? 

Par Louis Chagnon

J’ai enseigné l’histoire et la géographie au collège Georges Pompidou de Courbevoie en septembre 2003, puis le 1er octobre j’ai quitté l’Éducation nationale pour intégrer le ministère de la Défense à ma demande.

Quelques jours auparavant, j’avais donné des cours sur l’histoire du monde musulman, dans lesquels j’avais révélé à mes élèves que Mahomet avait été un voleur, pour avoir pillé les caravanes de la Mecque, et un assassin, en faisant égorger 600 à 900 juifs en un jour, en référence au massacre de la tribu juive des Qurayzah en mai 627.

Après mon départ de l’Éducation nationale, j’ai appris qu’un collectif de parents d’élèves s’était constitué contre moi pour demander ma suspension de l’Éducation Nationale, en raison de mon cours sur le monde musulman en classe de 5ème.

Une pétition avait été remise au principal du collège où on m’accusait de racisme antimusulman et d’avoir dit que « Mahomet va se transformer en voleur et en assassin (…) il va imposer sa religion par la terreur, (…) il fait exécuter 600 à 900 juifs par jour ». Plusieurs articles avaient déjà paru sur l’affaire dans les journaux le Parisien, Métro et sur Internet, sans que je sois au courant !

En fait, la pétition en question était signée par sept personnes dont deux seulement étaient des parents de mes élèves de 5ème. Ce collectif de musulmans était dirigé par Monsieur Kamel Zmit, médecin anesthésiste et sa femme Madame Nora Zmit responsable du service des permis de construire à la mairie de Courbevoie qui étaient les parents d’une élève de 6ème   Yasmine Zmit dont je n’avais jamais été le professeur.

Lorsque j’ai pu avoir accès aux feuilles de cours, plusieurs mois plus tard, au rectorat de Versailles, j’ai vu que quelqu’un avait ajouté à la main les mots « par jour » sur la feuille de l’élève Ramy El-Hoss dont le parent avait signé la pétition, la falsification (attestée plus tard par une analyse graphologique et scientifique) avait pour but de me discréditer en tant que professeur d’histoire.

L’Éducation nationale loin de me soutenir m’a poursuivi et a imposé la censure musulmane sur l’école laïque de la République française :

Le 5 novembre 2003, le rectorat de Versailles, sur la pression du collectif de parents musulmans, a ordonné la suppression des pages concernant le cours, qui ont donc été arrachées des cahiers par les élèves eux-mêmes. Mon cours, rigoureusement exact du point de vue historique, a donc subi une censure religieuse musulmane et cette censure a été exécutée par les fonctionnaires de la République !

Enfin, le 17 novembre, une lettre de Daniel Bancel, recteur de l’Académie de Versailles, proche de l’ancien ministre socialiste Lionel Jospin, m’informait qu’une procédure disciplinaire était engagée contre moi, à la suite d’un rapport fait par un Inspecteur pédagogique qui ne m’avait jamais vu ni parlé.

L’inspecteur pédagogique Paul Stouder estimait dans ce rapport que comme tous les nomades, les tribus arabes pratiquaient la razzia et qu’on ne pouvait pas qualifier cette pratique de vol. Pire encore, il affirmait que dans l’Islam, la lutte contre les marchands de la Mecque avait été la première forme de la guerre sainte, ce qui la rendait légitime.

Ainsi, pour cet inspecteur, fonctionnaire de l’État français, les meurtres musulmans sont légitimes quand ils sont exécutés dans le cadre du Djihad ! Il passait sous silence le massacre de la troisième tribu juive de Médine et m’accusait aussi de « racisme antimusulman ».

Je suis donc passé devant un conseil de discipline et à ma stupéfaction le rectorat a argué de la phrase tronquée et falsifiée du collectif d’activistes musulmans, sans apporter aucun document original qui m’aurait permis de mettre en évidence cette escroquerie.

J’ai bien été obligé de constater que le rectorat était complice de ces individus. J’ai écopé d’un blâme pour « formulation simpliste » et « attitude de provocation ou maladresse ». Pour autant, le conseil de discipline n’a pas retenu l’accusation de racisme de l’inspecteur pédagogique et a reconnu la véracité historique des faits enseignés. La conclusion s’impose d’elle même : le fait d’affirmer que quelqu’un qui a égorgé plusieurs centaines de juifs est un assassin, est donc pour le rectorat de Versailles, une « provocation ou une maladresse ».

Même si cette sanction est minime, je ne l’ai jamais acceptée. J’ai donc entamé une procédure en 2004 auprès du Tribunal administratif pour contester le blâme.

L’administration de l’Éducation nationale n’a pas été la seule à me poursuivre car le collectif musulman avait également saisi le MRAP et la Ligue des Droits de l’Homme. Ceci a donné lieu à une campagne médiatique qui me présentait comme un «islamophobe », un « raciste antimusulman ».

La plainte de la LDH a finalement été rejetée par le Parquet de Nanterre et le MRAP, devant le Tribunal Correctionnel de Nanterre où il avait réussi à me faire traîner en mars 2004, a finalement renoncé à me poursuivre, en arguant que le blâme du conseil de discipline m’avait sanctionné « à la hauteur de la gravité des faits », induisant ainsi que j’avais été sanctionné pour « racisme » par le conseil de discipline et Kamel Zmit ajoutant que le blâme avait été voté à l’unanimité.

Tout ceci était parfaitement faux et j’ai donc poursuivi pour diffamation tous ceux qui m’avaient attaqué, à savoir Kamel Zmit, Jean-Claude Dulieu, responsable de la communication externe du MRAP et Mouloud Aounit, secrétaire général du MRAP. Celui-ci déclarera à la télévision le 13 janvier 2005 que le délit de blasphème devait être réintroduit en droit français ! Tout enseignement critique de l’islam serait ainsi légalement interdit et passible de poursuites pénales.

En première instance début 2005, la diffamation a bien été reconnue mais les prévenus, Mouloud Aounit, Jean-Claude Dulieu et Kamel Zmit ont été relaxés « au bénéfice de la bonne foi » (alors que le Tribunal avait entre les mains l’expertise graphologique du cahier d’élève falsifié !)

Je devais également verser à Kamel Zmit 500 € de dommages et intérêts sous prétexte qu’il avait été stigmatisé dans la presse comme islamiste, ce qui est une aberration juridique (la loi n’autorise pas le versement de dommages et intérêts au diffamateur par le diffamé). En appel, en septembre 2005, le tribunal n’a pas voulu retenir la diffamation mais a supprimé les dommages et intérêts que je devais à Kamel Zmit. En cassation, le jugement a été confirmé. Je n’ai donc pas pu les faire condamner.

J’ai également porté plainte pour faux et usage de faux, sur la base de la feuille de cours falsifiée mais le tribunal n’a pas donné suite.

Par contre, en 2008, le Tribunal administratif a cassé le blâme au motif que mes propos étant historiquement exacts, il n’y avait pas de faute professionnelle ce qui est la logique même. Cette décision est pour moi un acte qui confirme la liberté pédagogique du professeur dont tous les collègues peuvent arguer.

Il n’en reste pas moins qu’en France, qualifier d’assassin quelqu’un qui a fait égorger 600 à 900 juifs est devenu « raciste ».

Je considère donc la France comme étant devenu un État officiellement antisémite puisqu’un fonctionnaire français peut être sanctionné, s’il qualifie d’assassin quelqu’un qui a fait égorger des centaines de juifs.

Maintenant la question reste toujours posée aux professeurs d’histoire : Est-il possible de transmettre la vérité historique sur le monde musulman aujourd’hui en France ?

 Louis CHAGNON

 J’ai raconté l’intégralité de mon histoire dans le livre : « L’école française et l’islam, l’histoire d’un professeur d’histoire victime du terrorisme intellectuel », publié aux éditions Godefroy de Bouillon.