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30/09/2015

Si vous étiez un réfugié, voici les aides auxquelles vous auriez droit !

Voici encore ce qu’on vous cache

Comment nos « gouvernants » attirent massivement des immigrés qui offrent aux spéculateurs financiers et aux grands patrons une nouvelle classe d’esclaves économiques, financés à vils prix et destinés surtout à peser par la concurrence sur les salaires des Français !

Le plus grave, c’est que ce sont les Français qui sont paradoxalement contraints de financer par leurs impôts le soutien d’immigrés qui accentuent la crise qu’ils subissent de plein fouet. Chômage, logements, assistances tous azimuts forts couteux, sont de nouvelles charges qu’ils supportent, culpabilisés par des manipulations médiatiques scandaleuses, comme s’ils étaient non seulement responsables de la crise en France, mais aussi de celles qui sévissent dans tous les pays hors Europe.  

Fort peu reconnaissants, les immigrés arrivent en suscitant notre pitié, pour finir par exiger de céder à leurs revendications par des pressions et manifestations sociales comminatoires ...  

 RF   

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Réfugiés syriens : pas d’enfants, pas de femmes, pas de vieillards, que des jeunes fuyards qui ont abandonné les plus faibles !

Si vous étiez un réfugié, voici les aides auxquelles vous auriez droit ! 
Interdit de vomir ...

Manuel Valls a annoncé qu’il va emprunter 613 millions d’euros d’ici 2017 pour accueillir 24 000 réfugiés. 25 500 euros par personne ! 
Comme on ne sait pas si ces chiffres sont exacts, s’ils sont définitifs, et ce que veut dire exactement « d’ici 2017 », il est difficile d’évaluer le coût mensuel, mais les aides auxquels les réfugiés peuvent prétendre nous mettent sur la voie :

Pour l'hébergement
Tant que le réfugié ou le migrant (il n’est pas facile de faire la différence puisque beaucoup ont de faux papiers, ou pas de papiers du tout, et il existe des sous catégories pour n’oublier personne : protection « temporaire », « subsidiaire »…) ne bénéficie pas d’un hébergement d’urgence, il peut demander une «allocation temporaire d’attente» (ATA) : 343,50 euros par mois, si vos ressources sont inférieures au RSA, versés par Pôle emploi le temps de la procédure de demande d’asile, et en cas de réexamen de la demande.

Outre l’ATA, ceux qui ne sont pas hébergés bénéficient d’un « accompagnent administratif et social » offert par les « plate-formes d’accueil » pour les demandeurs d’asile ou PADA, (il y en a 34 en France) !

Si le migrant est hébergé dans un Centre d’accueil de demandeurs d’asile (CADA), il peut toucher, à la place de l’ATA, l’«allocation mensuelle de subsistance» (AMS): 91 euros par mois par personne avec un maximum de 718 euros par mois, pour une famille avec 6 enfants. Coût total estimé à 350 millions d’euros par an.

Pour l'accès aux soins
Prise en charge totale des frais de santé
Tout demandeur d’asile en cours de procédure a accès au régime général d’assurance maladie, ou «couverture de base».
Ils sont dispensés de la condition de résidence en France depuis plus de 3 mois pour en bénéficier.
S’ils veulent une couverture complémentaire, (CMU-C) il leur suffit de le demander quand ils s’inscrivent à la CMU de base.
Ainsi, leurs frais de santé sont totalement pris en charge (un mois après l’enregistrement du dossier)

Pour le logement
Les APL (aides au logement) sont disponibles quand les demandeurs d’asile sont « reconnus réfugiés » par l’Ofpra et qu’ils reçoivent une carte de résident, renouvelable tous les 10 ans.

Pour les droits sociaux
Celui qui est « reconnu réfugié » par l’Ofpra reçoit le RSA, les prestations familiales, la CMU, les APL, etc., comme tous les français.

Pour l'accès au marché du travail
Les demandeurs d’asile peuvent déposer une demande d’autorisation de travail lorsque l’Ofpra n’a pas rendu sa décision dans le délai de trois mois dans le cadre (loi du 29 juillet 2015 relative à la réforme du droit d’asile).
Les réfugiés, dès lors qu’ils ont leur récépissé, peuvent accéder au marché du travail comme tout Français.

Pour le droit à l’éducation
Les demandeurs d’asile sont soumis à l’obligation scolaire dès lors que leurs enfants ont entre 6 et 16 ans.
Comme les réfugiés viennent généralement seuls – et ce mystère est encore à élucider, le ministère de l’éducation a estimé qu’il faudra accueillir entre 8000 et 10.000 sur deux ans.

Pour les aides locales
- Gratuité des transports en commun,
- Gratuité de la cantine pour les enfants,
- Accès aux épiceries sociales, pour ceux qui habitent dans la commune ou l’agglomération.


Ainsi, on islamise votre pays, et c’est vous qui payez !

 

Reproduction autorisée avec la mention suivante : ©Christian Larnet pour Dreuz.info.

Source : le Figaro  Tags: droits de migrants

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