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13/08/2014

A quoi sert la vigilance si nous ne réagissons pas à la dégradation de notre société ?

La France souffre ...
Cette vidéo qui suit est moralement insupportable et pourtant elle est le quotidien de notre existence !


INSULTE A LA FRANCE.jpg

 

UNE VIDEO CHOC --->  https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=xX1sTTk1MeY 

Des questions de plus en plus préoccupantes ...

On se demande ce que nos représentants ont vraiment dans la tête ?
Sont-ils sourds et aveugles à la dégradation de notre société ?
On peut sans être instruits ou intelligents, être néanmoins sage et cette sagesse commence par comprendre, par nos échecs, quelles sont les limites de notre pouvoir. Dans ce cas, la démission devient un acte honorable, car la société n'a pas à payer le poids des incapacités de certains de nos politiques.

Abdication des "pouvoirs" publics.
Nous ne cessons de vous inciter à la vigilance, car nous vivons dans une ville de moins en moins sécurisée. Les exactions, les méfaits et mêmes les crimes se perpétuent dans une accoutumance très inquiétante. Cette banalisation a-réactionnelle, prouve notre abdication générale qui part du plus haut de notre organisation politique, jusqu'au niveau communal. Il n'est donc pas étonnant que face à ce manque d'autorité, la loi soit bafouée partout et que les voyous et les trafiquants assurent leurs propres lois, celles de la jungle, en volant ou en rançonnant les plus faibles selon leurs besoins, sans être inquiétés par une police débordée, soit par manque de moyens ou de capacités, sans oublier une « justice » laxiste ou démissionnaire qui appréhende de juger et de condamner !

Impuissance, complaisance ou complicité ?
Les politiques semblent s'accommoder fort bien du bordel ambiant, car il n'y a rien de plus aisé que de manipuler une société angoissée et divisée par les partis politiques. Tous, nous constatons la montée en puissance de notre insécurité aggravée par une quasi impunité des voyous !

Qui est responsable ?
Tout compte fait, ce sont moins les voyous qui sont responsables de la décadence de notre société, que ceux qui se prétendent nos représentants et qui les laissent faire par négligence, incapacité ou plus sûrement par " lâcheté " !
Pour eux, le pouvoir va sans les responsabilités y afférent. C'est une sorte de privilège et particulièrement celui de s'exclure des conséquences de leurs échecs sociaux !

Pas de crises pour les voyous
Les voyous profitent fort opportunément de la destruction de notre culture, de nos lois, du laxisme de la justice aggravé par Mme Taubira ... 

Dans ce contexte inquiétant, ARC4 fait de son mieux pour lutter contre l'insécurité et y réussit plutôt bien, sans qu'aucune aide ou subvention ne lui soit accordée. Le plus scandaleux est de constater que pour obtenir une paix sociale illusoire, la plupart des subventions alimentent des associations communautaristes, qui accentuent leurs particularismes identitaires, quand on ne subventionnent pas des organisations politiques de sensibilité politique identique à celle des dirigeants communaux.
Quant aux communautés d'origine étrangère, celles-ci, obsessionnellement, imposent par des manifestations le respect de leur culture, évidemment au détriment de la notre, trop différente, qu'ils répudient en prônant les valeurs de leurs traditions, sous peine de se faire accuser de racisme. 

Des politiques débordés ...
Quand nos dirigeants prendront-ils enfin conscience qu'ils cèdent non plus à la légitimité des lois mais uniquement au pouvoir de nuisance d'un lobbies, d'une communauté, etc. ou pire d'un groupe d'activistes particulièrement bellicistes.
Le drame c'est de croire que la paix sociale s'obtient par l'abdication, alors que l'on ne fait ultérieurement que renforcer le désordre et les menaces de ces manifestants, tout simplement parce qu'ils sont gratifiés par les concessions du "pouvoir" .

Le mépris de la culture française  
    
Si les immigrés ne veulent pas de notre culture, c'est donc aux français de se soumettre et à se faire, comme ils disent, coloniser à leur tour. Tous les scandales qui se multiplient préfigurent des conflits sociaux très inquiétants où se seront les chefs de bandes ou de tribus qui domineront dans des zones de non droits en expansion constante.

Complaisance, compromis, laxisme...
La vidéo ci-dessous démontre le bien fondé de nos préoccupations et de l'urgence de réagir en premier lieu contre les représentants de nos institutions toujours prêts à collaborer avec la communauté dominante. Leur mot d'ordre est : " Surtout pas de vagues", pas de provocations donc adoptons un profil bas, au besoin en ne faisant pas notre travail, car ne pas se faire inquiéter par une hiérarchie frileuse ou des pouvoirs publics, est plus important que d'être accusé de ne pas faire son travail, facilement justifié par un classique manque de moyens.  

Voilà dans quel système pervers s'abime notre société, celui du laxisme de la lâcheté et surtout de l'irresponsabilité à tous les niveaux de son organisation !

L'histoire tourne en boucle et se répète, sauf si nous réagissons ! 

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Zone contenant les pièces jointes

Prévisualiser la vidéo YouTube VIDEO CHOC 2014 : La France souffre .!

 

 

 

03/08/2014

LES CAMPAGNES NE SONT PLUS A L'ABRI !

De nouveaux problèmes de vols dans les campagnes et toujours de mauvaises solutions des pouvoirs publics ...

Le gouvernement se donne l'illusion de faire son devoir et les voleurs profitent de leur incompétence ou de leur laxisme !

Quand aux victimes, qu'elles fassent encore et toujours preuve de patience ou de tolérance !

RF 

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Face à l'impuissance des pouvoirs publics: Exaspérés ils sortent les fusils !

Les campagnes ne sont plus à l'abri:

eleveur. agriculteur.jpg

L'été, la saison des voleurs de fruits et de bétail...

La saison est propice aux vols dans les campagnes. Des filières organisées dérobent des tonnes de fruits à peine récoltés ou des animaux d'élevage, la nuit, dans les prés éloignés des fermes.

Le Figaro.fr

Depuis quelques années, les agriculteurs tentent de mobiliser les pouvoirs publics contre l'explostion du nombre de vols sur les exploitations. S'ils ont enfin été entendus en mai dernier par les ministres de l‘Agriculture et de l'Intérieur, il faudra du temps pour que les mesures prises dans la foulée soient efficaces.
Entre avril et mai derniers, le nombre de vols en milieu rural a, de nouveau, battu des records. Pendant ces deux mois, les agriculteurs ont déclaré plus de 2.150 «vols simples*» sur leurs exploitations, selon les chiffres de l'Office national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP). Sur un des graphiques de l'ONDRP, présenté par Terre-net , on constate que ces vols sont plus nombreux en été.

À la Fédération Nationale des Syndicats d'Exploitants Agricoles (FNSEA), syndicat majoritaire de la profession, Arnaud Lemoins explique que, s'il y a effectivement plus de phénomènes de pillage l'été, le niveau de valeur perdue est à peu près étalé sur l'année. «En hiver, ce sont les vols de matériels très chers qui prédominent, l'été ce sont ceux plus réguliers d'animaux, de légumes et de fruits.»
Un phénomène estival qui n'a plus rien à voir avec les petits vols d'il y a quelques années. «Avant, le glanage était relativement limité, c'était le fait de quelques individus. Maintenant, les quantités de fruits dérobées sont gigantesques.» Selon Arnaud Lemoine, avant d'être ramassés, abricots, melons ou tomates sont parfois stockés l'été quelques heures au fond du champ, loin de toute surveillance. Des tonnes de fruits et légumes s'envolent ainsi désormais chaque année. Contrairement aux machines agricoles, écoulées sur le marché de l'Est, ils sont le plus souvent revendus sur des étals maraichères françaises. «Ce ne sont pas du tout les mêmes filières qui agissent. Mais dans les deux cas, ce sont des réseaux extrêmement organisés.»

Adieu veaux, vaches, cochons...

L'autre principale source de vol l'été: celui du bétail. Un phénomène assez récent qui est, pour la FNSEA, «le gros point faible» dans l'actuelle tentative de lutte contre les délits en milieu agricole. «Jusqu'ici, personne n'a jamais été coincé pour un vol d'animaux», explique Arnaud Lemoine. «Les choses se passent la nuit et rarement deux fois au même endroit. De plus, l'été, les animaux sont souvent à des kilomètres de la ferme, impossible de voir ou d'entendre quoi que ce soit. Il suffit d'un camion et on emmène sans souci une ou plusieurs dizaines de bêtes...» Preuve de l'expertise des voleurs: les animaux sont parfois retrouvés tués et dépecés sur place. «Il ne reste alors plus que la peau et les os, toute la viande est emmenée» détaille Arnaud Lemoine. De ces animaux et cette viande, personne ne sait pour le moment ce qu'il en advient.
* L'intitulé «vols simples en exploitations agricoles» prend en compte: les vols sans effraction de matériel agricole (hors véhicules), les vols de biens autres que le matériel (récoltes, bétail…). Sont exclus de cette classification: les vols de tracteurs et de carburant, où qu'ils se trouvent, les cambriolages dans les habitations ou bâtiments professionnels sur l'exploitation.


2ème info...

Razzias dans les campagnes : les agriculteurs en ont assez d’être les victimes de bandes organisées !

 Les exploitants agricoles font face à une multiplication des vols organisés. Ils nuisent aux agriculteurs, qui voient parfois le travail de plusieurs années détruit, mais également aux consommateurs, qui sont souvent trompés sur le prix ou la qualité.

« Stop ! » : les agriculteurs en ont assez d’être les victimes de bandes organisées. Face à la généralisation des vols de matériels, de câblages, d’animaux, de fruits et légumes qui disparaissent par camions entiers, la FNSEA (Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles) crie son exaspération. « On n’a plus affaire à du simple chapardage, mais à des exactions très organisées, qui supposent de disposer de camions et de palettes. On a dépassé le stade du vol artisanal pour passer à l’heure des réseaux », explique Dominique Barrau, secrétaire général de la centrale paysanne. Cultures de vergers pillées, réservoirs de tracteurs siphonnés, câbles d’irrigation arrachés, animaux dépecés sur place, dont on ne retrouve que les viscères... De plus en plus fréquents, ces vols et dégradations ont « un coût important » pour les exploitants. Le premier syndicat agricole demande « de toute urgence à Manuel Wallz, le ministre de l’Intérieur, de mettre en œuvre les moyens nécessaires pour faire avancer les enquêtes en cours et assurer une surveillance renforcée des exploitations avec le concours de la police et de la gendarmerie. »

Une situation qui empire

La FNSEA réclame « la mobilisation des préfets » afin de régler un problème qui s’est « considérablement aggravé et propagé à la plupart des départements ». Malgré toutes les précautions prises, la situation ne cesse d’empirer. « Ce sont souvent des années de travail détruites au profit d’une économie parallèle, qui en plus de nuire aux agriculteurs, dupe les consommateurs et les pouvoirs publics », s’insurge encore la FNSEA.

Pour Dominique Barrau, la crise économique n’est qu’en partie responsable du phénomène. En effet, les vols concernent des produits alimentaires tels que les fruits et légumes ou la viande, qui font l’objet d’un commerce très rentable. En juillet, dans la région de Douai, « La Voix du Nord » rapportait la disparition de 150 kilos d’ail... sur l’exploitation d’Emmanuel Verrons, qui déplorait que les plants aient été arrachés «  n’importe comment. Ils saccagent en laissant des têtes dans le sol et perdent les tiges, l’ail n’étant même pas encore à maturité. » C’était la cinquième fois depuis le début de l’année qu’Emmanuel Verrons avait à déplorer ce genre d’événement. Plus petits, les vols précédents portaient sur des volumes de 50 kilos. Entre cinq et six euros le kilo, le montant du butin s’avère non négligeable. Dans le Vaucluse, la chambre d’agriculture déplorait en juin le vol de 2 tonnes d’ail et de 3 tonnes de blé. Selon « Le Figaro », plus d’une dizaine de tonnes de pêches et de nectarines ont été dérobées au début de l’été dans les Pyrénées-Orientales. « Ce qui se passe dans les fermes arrive aussi ailleurs comme sur les chantiers de travaux publics », souligne Dominique Barrau.

«   C’est la raison pour laquelle nous estimons nécessaire que le ministère de l’Intérieur envisage une action globale, de vrais moyens et le retour des brigades de gendarmerie locales, qui fréquentaient la campagne il y a encore dix ans  », ajoute-t-il. Un sujet de rentrée pour la centrale syndicale.

Écrit par
Marie-Josée COUGARD
Journaliste 

11/06/2014

La pauvreté et la misère n'ont rien à voir avec la violence !!!

Un scoop !

xavier raufer.png

Xavier Raufer criminologue

Les voyous de la Seine Saint Denis n'ont plus d'excuses !...


Voici la preuve dans la vidéo ci-dessous :

Et surtout, restez vigilants et ne vous laissez pas endormir à nouveau par nos politiques qui trafiquent l'information, pour mieux nous manipuler et exploiter notre naïveté ...

Certaines personnes méfiantes nous confiaient : " voulez-vous savoir quand un homme politique ment ?
C'est simple , c'est quand il ouvre la bouche ! " 
Le mensonge est un défaut chez les honnêtes gens et une qualité chez les politiques ! En effet, comment pourraient-ils convaincre sans mentir, puisqu'ils sont les acteurs de ce qu'ils dénoncent ?

VIDEO---> http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&...