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06/08/2015

LIMITATION DU DROIT D’EXPRESSION ET D’OPINION !

Toutes les lois sont liberticides ...

Plus la population d'un pays augmente par natalité et immigration, plus les contraintes interrelationnelles de ses habitants augmentent et, plus on légifère
pour réglementer, plus le cadre de nos libertés se réduit ! 

- L'égalité n'existe pas ! 
- La fraternité est un leurre !
- La liberté une utopie ! 

Aux nombre des contraintes légales habituelles, s'ajoutent les lois coercitives sur la discrimination.  

Les différents types de discrimination  

DISCRIMINATION.jpg

 Elles nous mènent par leur généralisation; à l'aliénation totale de notre droit d'expression et plus encore, notre droit d'exprimer nos opinions ! 

 La liste suivante est malheureusement loin d’être terminée...  

 - Discrimination raciale  

- Discrimination sexuelle  

- Discrimination fondée sur la situation de famille  

- Discrimination fondée sur l’appartenance à une ethnie, une race ou une nation  

- Discrimination fondée sur l’orientation sexuelle 

- Discrimination en raison de la grossesse 

- Discrimination fondée sur les mœurs  

- Discrimination en raison de l’état de santé  

- Discrimination fondée sur l'âge  

- Discrimination en raison de l’activité syndicale  

- Discrimination en raison de l'opinion politique 

- Discrimination fondée sur l’exercice du droit de grève 

- Discrimination fondée sur les caractéristiques génétiques  

- Discrimination physique

  Et plus encore ...

http://cgtlindefrance.fr/images/pdf/chsct/chsct_08D_types%20de%20discrimination.pdf   ---> Détails 


Des lois anti-discriminatives ubuesques :

 - Les sports et tous les classements sont discriminatifs et les statistiques sont de nature discriminative. Doivent-elles donc être interdites ?

- La perception est discriminative, 
- L'intelligence est tout aussi discriminative, 
- Tous les choix sont discriminatifs, 
- Les caractéristiques de la personnalité, de l'identité, sont discriminatives 
- L'énoncé de préférences, l’expression de nos goûts sont encore et toujours discriminatifs, 
- Tous les partis politiques sont très discriminatifs sur le plan des jugements de valeurs. 
- Le classement intellectuel lors des examens est discriminatif,      
- Faire des préférences est discriminatif, 
- L'amour est, on ne peut plus discriminatif et d'une manière générale tous nos sentiments le sont.

- Etc. 

C'est dire que la lutte contre les discriminations est une grossière plaisanterie, légalisée par des oligophrènes  ou des pervers qui ne rêvent qu'au retour des buchers en place publique, pour imposer l'ordre par des contraintes mentales toujours plus importantes par des tribunaux inquisitoriaux type LICRA, MRAP, CRAN, SOS RACISME qui entendent contrôler notre conscience par la menace de procès . 

Réflexion sur le fond
 
"L'enfer c'est les autres "
 constatait Sartre ! C'est un constat réaliste, à ceci près que l'auteur de "Huis clos " mettait l'accent sur la qualité des relations humaines, alors que présentement nous dénonçons les conséquences d'une expansion démographique continue. 
Il est évident qu'un homme vivant seul dans un biotope quelconque préserve une liberté quasi totale et que les problèmes viennent inévitablement avec le peuplement. 
Oui : Les lois qui faciliteraient le "bien vivre ensemble", peuvent par leur nombre croissant devenir un enfer pour ceux qui devront les respecter.
 

Le but de notre politique est de régenter vos vies par l’économie, avec pour exigence le "toujours plus" pour les uns au détriment des autres.  
Les lois interviennent donc pour la préservation d'une paix sans cesse compromise, alors que la solution réside dans un contrôle de la natalité dont l'expansion mondiale exige le transfert de populations d'immigrés, un nouvel esclavagisme moderne des indigents qui accentue la crise économique et par voie de conséquence les conditions du maintien fragile de la paix sur terre. La cause de cette fragilité
économique résulte de l'étranglement spéculatif de nos sociétés par la haute finance bancaire mondiale.  

Les ressources de la terre ne sont pas inépuisables et si la démographie continue sa progression inquiétante, alors "l'enfer viendra des autres" et de leur lutte pour survivre sur un territoire incapable de subvenir aux besoins des populations. 

Interrogez-vous ! Si nos politiques continuent par nos prestations sociales à encourager la natalité et à nous entasser dans des bâtiments type clapiers, au détriment de nos derniers espaces verts pourtant vitaux pour notre équilibre, c'est que ces politiques sont soit ignorants ou plus surement pervers, car ils trouvent toujours plus de profit à multiplier nos problèmes qu'à les résoudre ! 

Le but des politiques n'est certes pas de faciliter la vie de chacun, mais d’imaginer sans cesse comment nous tirer toujours plus d'argent sous des prétextes les plus divers ou autrement dit, "comment plumer la poule sans la faire hurler" .         

En définitive, la seule chose que la loi puisse prétendre interdire, c'est le droit d'expression et d'opinion et comme ces interdictions sont anticonstitutionnelles, on interdit donc de nommer certains sujets sur lesquels portent nos discriminations et nos jugements.  
Encore une discrimination de plus et si nous les laissons faire, toute critique de nos politiques deviendra un délit ! 

Le rêve des politiques n'est-il pas de faire taire toutes critiques qui leur seraient
faites ?   

La seule chose qu’il faut retenir, c’est que le pouvoir en place s’accommode très mal des opinions de ceux qui les ont élus et dont le devoir express est de la « fermer » entre deux élections !

RF

16/05/2015

Non-assistance à lois en danger !

LOIS CODE PENAL.jpg
Les lois, les décrets, les arrêtés forment un filet aux mailles de plus en plus petites qui enserrent progressivement nos libertés sociales !

Seul au milieu d’un désert, vous n’avez de compte à rendre à personne, votre liberté comportementale est donc totale !
Si la liberté des uns s’arrêtent où celle des autres commence, il est évident que plus les individus composant une société sont nombreux, plus les restrictions comportementales s’imposent.
Ces restrictions atteindront même, comme présentement dans la société française, notre sacro-sainte liberté d’expression et d’opinion, encadrée juridiquement par des lois scélérates édictées évidement par la nomenklatura dominante.

Quand la loi tue la loi !

Le codex des lois dans notre pays est pléthorique et ses milliers de pages aux contenus trop souvent contradictoires, frisent pour certaines le délire.
FRENESIE LEGISLATIVE.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La «  légiféromanie »  est une pathologie spécifiquement bien française.
Elle donne aux dirigeants l’illusion de gouverner, alors qu’ils sont incapables par ailleurs de faire respecter leurs lois !
Les montants des pénalités juridiques en cas d’exactions sont d’autant plus élevés qu’ils ne sont dans les faits jamais appliqués ! Idem pour les peines de prisons exemptées pour celles de moins de 2 ans et aménageables pour celles à partir de 5 ans ! Une aubaine pour les multirécidivistes qui ne risquent pratiquement rien, eus égards aux énormes profits que leur procurent: vols, cambriolages, drogues, deals et trafics illicites de toute nature.
Les motifs de transgressions des lois sont si nombreux que pratiquement à tout moment, sans bien nous en rendre compte, nous sommes en faute.

Comme nous l’avouait un responsable administratif face à nos plaintes : «  que pouvons-nous faire ? » «  Nous sommes débordés et nous comptons surtout sur le « pas vu pas pris » pour nous éviter un monceau de paperasseries inutiles, puisque les prévenus seront quasi immédiatement relâchés, même ceux, très nombreux qui ont récidivé plus d’une dizaine de fois et qui remettent cela, nullement impressionnés par la comédie juridique à laquelle ils participent par habitude, sans appréhension notoire.

 TROP DE LOIS.jpg

 

 

 

 

 

Le pouvoir politique, juridique et policier n’existe pratiquement plus, car toutes ces institutions ne savent plus se faire craindre, donc respecter. 
La tolérance abusivement si vantée, s’est naturellement transformée en laxisme total !

L’attitude démissionnaire et constante de nos représentants administratifs est un fait avéré et s’il existait idéalement encore une « justice », ce sont ces personnes qu’il faudrait impérativement sanctionner, pour manquement à leurs devoirs dans la prévention et la répression, qui les rendent implicitement complices de tous ceux qui violent nos lois !

Le pouvoir dans notre société appartient réellement à ceux qui détiennent un pouvoir de nuisance sur nos institutions et cela, les délinquants et les voyous l’ont bien compris, par l’exercice de l’intimidation et de menaces jusque dans le cadre des tribunaux.
Pourtant, chacun comprend qu’une société qui ne parvient pas à faire respecter ses lois n’est guère viable, que l’anarchie consacre dans une jungle sociale le pouvoir dominant des malfrats, qui eux, savent s’imposer par la force contrairement à la police et à une justice démissionnaire.

Les lois sont donc nécessaires au maintien d’un ordre social.  Elles consacrent les usages familiaux, sociaux, professionnels de nos concitoyens, sans qu’ils en soient consultés pour autant.
Jusqu’à ce point de notre analyse, nos constats et nos premières conclusions semblent cohérentes, mais toutes sous entendent que les lois doivent être appliquées et scrupuleusement respectées; ce qui n’est absolument pas le cas dans notre société.

Après l’énoncé explicatif sur l’utilité du respect de nos lois, venons-en pour conclure à la cause primordiale qui en empêche l’exécution :
la lâcheté de ceux qui prétendent à tous les niveaux représenter nos institutions et qui se défaussent de leurs responsabilités les uns sur les autres !


Les microbes, tout comme les parasites sociaux prolifèrent dans des organismes faibles, incapables de maintenir globalement leur intégrité vitale par un principe constant d'ordre et d'harmonie.

 

RF   

09/04/2015

LA CONSTRUCTION TRES CONTROVERSEE DU MARCHE DE LA COURNEUVE

Tous les goûts sont dans la nature dit-on, et les plus mauvais y sont majoritaires ! 

Après la statue monumentale mortuaire en plein milieu des 4 routes qui ne dépareillerait pas l'entrée commémorative d'un camp de concentration, les bâtiments arlequins parachèvent le spectacle de désolation courneuvienne. 

Force est de s'interroger sur la nature des goûts et le niveau de culture de nos décideurs qui excellent manifestement dans l'outrance et la provocation !

L'art, n'en déplaise à l'architecte et au peintre en bâtiment, c'est d'abord de l'esthétique et de l’harmonie... 

La source d'inspiration de la construction du "marché" des 4 routes de la Courneuve 

Nous avons cherché quelle pouvait être la source d'inspiration pour la construction du marché ?

Nous l’avons finalement trouvée ! ...

C'est troublant, l'urbanisme du marché de la Courneuve s'inspire à l'évidence des poubelles de caniveaux ! Faire chanter les poubelles, c'est bien, mais taguer, "style bariolage intensif" des bâtiments et oser parler d'art urbain, c'est un peu fort !  


Votre avis ?

poubelles décorées.jpgpoubelles déco2.jpg 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le modèle d'architecture du marché : s'agit-il de plagiat ?  ;-)

plan d'ensemble marché.1.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Plan d'ensemble des bâtiments jusqu'à 7 étages, surmontant le marché et toujours pas de parking pour les usagers du marché !

gros plan batiments marché.jpg

 

Gros plan sur les bâtiments « arlequin » et leur maquillage outrancier

 arlequin.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le ridicule d'Arlequin, caractérise aussi le marché de La Courneuve!

UN CHOIX TRES CONTROVERSE !

Pour ceux qui souhaitent approfondir et comprendre : décryptage de la réunion publique sur la construction  du nouveau marché.

Question liminaire : La démocratie locale est-elle une utopie auto entretenue par la politique, et la démocratie "participative" est-elle aussi une falsification manifeste d'un pouvoir autocratique ? Dans les faits, tout porte à le croire ...

Quand un Maire prend une décision de construction urbaine pour sa ville, elle ne fait jamais l’unanimité

Rien d'étonnant : la population sur le plan de l'opinion se divise grosso modo en  4 groupes distincts. 

1) Les proches du Maire, familial et plus encore professionnel, sont inconditionnellement pour.

2) Une autre partie composée de l'opposition politique est systématiquement contre.    

3) Une autre partie de la société "se fout littéralement" des décisions du Maire, quelles qu'elles soient.

4) La dernière partie de la population n'a aucune connaissance des décisions du Maire.  

Comment réunir dans une telle situation les conditions d'un consensus optimal. La complexité d'intérêts disparates est telle que le Maire finit bien souvent,  trop souvent, par imposer de manière autocratique ses propres décisions, avec le soutien logistique de son appareil politique. 

Les réunions publiques d'informations préalables destinées à informer les Courneuviens, dans le cas qui nous préoccupe ici, ne sont que de l'enfumage destiné à donner bonne conscience aux décisionnaires communaux. 

 En fait, ces rares consultations citoyennes sont imprécises, confuses,  pour atténuer d'éventuelles réactions trop violentes de l'opinion publique.  Ce n'est que lorsque la décision est prise qu'on informe enfin les Courneuviens du projet final. 

Face aux critiques inévitables, le Maire évoque un catalogue d'arguments préétabli qui finalement ne convainc pas grand monde. Face à une critique persistante, le maire acculé exprime alors un argument qu'il croit décisif mais qui aggrave finalement sa décision : "cela fait plus de 4 ans que des "spécialistes travaillent sur ce projet, ou autrement dit implicitement, il n'est pas question d'en changer quoi que ce soit ! 
La désagréable impression qui ressort de cette réunion, c'est encore une fois, celle d'être floués et d'être finalement invités pour inaugurer les chrysanthèmes, pour valider une décision antérieurement prise en petit comité.  

Nous sommes encore une fois très loin d'une réelle démocratie participative !

Sur les "spécialistes" qui participent au projet  

Comme nous ne savons rien sur les capacités de l'architecte et du talent du peintre et de leurs réalisations antérieures, nous ne pouvons tenir compte que de leur manière de se comporter dans cette réunion et des arguments qu’ils avancent pour défendre leur projet. Nous ne savons pas, pour ce qui nous concerne, comment ces "spécialistes" ont été recrutés : par concours, par affinités amicales ou encore politiques ?

1) Il est étonnant, qu’un architecte, pour se créditer, mêle abusivement l'art et la science. Ou autrement dit, la rigueur scientifique au subjectivisme de l’esthétisme. Dès lors, on peut tout oser sans astreinte de prouver... Quant aux motivations d'un architecte, elles sont compréhensibles, plus on bétonne, plus il est satisfait.
Les architectes par leur métier sont condamnés à faire disparaitre les derniers espaces verts en ville. Ce qui ne correspond  certainement pas à l'attente des Courneuviens qui vont devoir survivre dans un univers de plus en plus concentrationnaire, fait de clapiers empilés sur 7 étages, dont les habitants ne verront pour toute nature, que deux ou trois pots de fleurs sur leurs fenêtres ou sur de rares balcons. 
L’obsession du Maire à bétonner tous azimuts est évidement une source de profit inépuisable pour des architectes. Ce bétonnage incessant répond évidemment à la demande pressante de plus en plus d'immigrés, dans le cadre inextensible des limites de La Courneuve, déjà gravement sinistrée par un chômage en expansion et dont la dette communale ne cesse de s'accroitre !        

2) Le peintre de son côté fut moins loquace : mi tachiste, mi fauviste, c'est dans ce cas un adepte de la peinture dissociative. Ne pouvant faire son choix sur une couleur ou deux pour La construction du Marché, il a décidé de toutes les utiliser sans aucun souci d'harmonie.  

En effet, l'impression de disharmonie outrancière qui se dégage de la perception de ce groupe de bâtiments légotisés de 7 étages, écrase l’ancien marché, dont ne subsistera que son écusson originel, suite à la supplication anxieuse de deux ou trois personnes !      

L'art est aussi le produit social d'un niveau culturel. Ainsi l'art dans le 16ème diffère de celui de La Courneuve avec sa statue mortuaire au milieu des 4 routes et ses bâtiments arlequins multicolores, clownesques et décadents du nouveau marché.  

Ce texte peut être ressenti comme une critique ad hominem à l'encontre du Maire, or cette critique qui n'engage pas que notre opinion a encore une fois pour but d'appeler le Maire à faire preuve de plus de concertation avec les Courneuviens, car les 75% et 70% des abstentionnistes des dernières élections à La Courneuve, finiront par se radicaliser dans l'opposition qui se renforce chaque jour en raison des fautes de la direction municipale !    

Il est possible que des "spécialistes" abusent de la crédulité du Maire, car nombre d'artistes ou d'architectes finissent, faute de talent, dans l'outrance et la provocation, désespérés par un manque de reconnaissance professionnelle et sociale.  Faute d'exister par leurs qualités intrinsèques et leur talent, le scandale et la provocation représentent le dernier moyen pour qu'on parle d’eux.

Picasso, dans sa période bleue, peintre ordinaire, plagiant l'art nègre, et l'influence cubiste de son époque n'inventa rien dans la peinture.
Il imposa par son  « baratin » de camelot sa "peinture dissociative" qui fit sa fortune. Il avouait à son meilleur ami Papini: " j'ai exploité au mieux la connerie des gens de mon époque "  

Notre architecte avouait curieusement qu'il admirait inconditionnellement Picasso et qu'il le considérait comme un "génie"! 

Méfions-nous, car Picasso a fait des émules chez les "barbouilleurs"  ;-)

Pour conclure, la prudence s'impose car quand on fait une erreur dans le choix de l'esthétisme d'une construction, cette erreur se perpétue sur plusieurs générations. Elle s'impose en permanence à ceux qui vivent à proximité et à leurs descendants ...

Cela ne mérite-t-il pas une réflexion approfondie, une concertation avec l'ensemble des Courneuviens qui payent de leurs impôts des constructions sur lesquelles ils n'ont aucun pouvoir de décision ?  

Le drame, nous le répétons, c'est que le Maire, par son manque de concertation, se coupe de plus en plus de la grande majorité de nos concitoyens et les dernières élections justifient, on ne peut plus, le bien fondé de nos analyses !  

 

RF