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10/07/2016

Voilà ou nous mènent des années de laxisme en France et à La Courneuve !

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Une France toujours en "État d'urgence" avec tous les privilèges y afférant pour des dirigeants en quête d’autorité ...  

Une surpopulation d'immigrés incontrôlés et, d'autre part, la police et les simili polices communales, renforcées par l'armée pour d'éventuels contrôles, sans effets significativement tangibles sur le terrorisme et sur la délinquance quotidienne !

Imposer un état d'urgence, comme en période de guerre, bafoue du même coup ce qu'il reste de liberté chez nos concitoyens : interventions dans tous les secteurs et chez tous les particuliers, espionnage tous azimuts, interdiction des réunions de personnes ou de manifestations publiques, occupation par l'armée des principaux sites touristiques, des transports, des écoles, des lieux de culte ou encore commerciaux,  Etc.

VERS LE POUVOIR ABSOLU
N'est-ce pas le rêve d'une classe dirigeante de tout contrôler, de posséder le maximum de pouvoir sur les citoyens ?
Eh bien, c'est le "cadeau" des terroristes au gouvernement Français, en décrétant un état d'urgence ô combien subjectif et pourquoi pas sa prolongation ... Les infamies ne sont possibles que par les justifications d'un pouvoir inconsistant en perte de vitesse... Question: qui protège qui et de quoi ?       

L'exemple de La Courneuve 

Une France en permanence insécurisée, des brigades de police surarmées, spécialisées en différents clans.

Zoom sur les différents acteurs et leurs "jeux de rôle", sur la scène communale. 

LA MULTIPLICATION DES POLICES qui paradoxalement renforce le climat d'insécurité
Plus un Etat ou une commune est faible, plus on multiplie les forces de police. Elles confortent le manque d'autorité et la faiblesse, par exemple d'une Mairie, voire d'un gouvernement. En effet quand l'autorité fait défaut, l'autoritarisme et son arbitraire ne manquent pas de se manifester souvent avec violence.      

LA POLICE NATIONALE
 
Officielle, et sous équipée, ses effectifs diminuent paradoxalement dans des lieux plus que problématiques en banlieue. Les policiers sont souvent "bridés" par leur hiérarchie, pour éviter d'intervenir dans les zones de non droits, qui pourraient être assimilées à de la provocation par les malfrats locaux. Une police qui n'appréhende approximativement que 20 % des auteurs d'exactions, de gravité variable, et qui se dit en confidence, écœurée par le laxisme du Tribunal de Justice de Bobigny, objet de fréquentes critiques, qui classe sans suite pour des motifs divers. Les auteurs de graves infractions à nos lois, quand ils sont condamnés jusqu'à des peines de trois ans de prison, sont exemptés d'incarcération et bénéficient de peines dites aménageables.

On ne peut guère favoriser plus, la promotion de la délinquance !   

Notre Police Nationale se fait progressivement délester de certaines de ses attributions par son Ministère de tutelle, afin de faire des "économies". Cette technique est efficace, car les communes commettent l'erreur grave de compenser, sur leur budget, les insuffisances d'effectifs de la police nationale, en créant des "simili polices" fort couteuses pour les impôts
locaux !

UNE POLICE MUNICIPALE 
Elle est destinée comme nous l'avons dit précédemment, à compenser les insuffisances de la Police Nationale. 
La Courneuve affligée quotidiennement par l'irrespect de nos lois et l'insécurité, dispose présentement, par mimétisme avec Drancy, d'une police municipale que certains n'hésitent pas à appeler "la milice du maire" et qui coûtera plus de 500 000 € par an aux courneuviens. Une police municipale qui a déjà fait par ailleurs, preuve de son inefficacité, comme à Drancy où les cambriolages ont augmenté de plus de 30 % ! Les erreurs des autres ne profitent guère aux esprits obstinés. 

L'ASVP 
De La Courneuve, est encore une simili police à rôle très restreint, c'est à dire uniquement destinée à la verbalisation des stationnements. Elle est totalement injoignable téléphoniquement par les courneuviens qui s'en plaignent constamment. 
Elle semble agir où elle veut, quand elle veut et verbalise dit-on, à la tête du contrevenant ou selon l'humeur du moment. Les courneuviens se plaignent aussi qu'elle n'est jamais là où on a besoin d'elle, notamment quand des voitures barrent les sorties de garages ou quand elles sont en stationnements gênants, voire dangereux, sur la RN2, les 3 jours de souk aux nuisances extrêmes. 

LES MEDIATEURS 
Vêtus d'une casaque rouge très voyante, ils déambulent nonchalamment dans le souk ou arpentent les trottoirs. Ils sont l'objet d'une curiosité générale, car apparemment personne ne sait :

1) A quoi ils servent ?
2) Quelles sont leurs fonctions ?
3) Et s'ils ont une quelconque utilité, quelles sont leurs véritables contributions voire leurs résultats ? ...     

LES AGENTS DE SECURITE DU SOUK  
Munis d'un brassard rouge, ils semblent là pour sécuriser, eux aussi, les personnes inquiètes de faire leurs courses dans une foule bigarrée étrangère, aux us et coutumes ressenties comme des agressions. 
Le souk est bien le lieu privilégié d'affrontement des cultures... Peut-être les médiateurs très discrets dans leurs interventions, essaient-ils d'établir des liens inter-relationnels que personne ne perçoit pour le moment ?

UNE INJUSTICE STATUTAIRE INADMISSIBLE " PRIVE PUBLIQUE  " 

NB : Il est fort regrettable que des administratifs ne soient pas soumis au même rendement que des privés, à l'évaluation de leurs résultats. Qu'ils travaillent ou pas, ils ont la garantie d'emploi, assortie d'avantages non négligeables... Curieuse République et étonnante injustice !

Pourquoi les administratifs ne sont-ils pas évalués eux aussi sur des critères d'efficacité ? Qu'ils travaillent ou pas, la sécurité d'emploi est acquise et les salaires ne sont pas affectés. Alors, pourquoi se fatigueraient-ils et prendraient-ils des risques pour faire correctement leur travail ?   

LES COURNEUVIENS 
Tous ces agents plus ou moins officiels sus-énumérés, sont si peu efficaces contre l'insécurité qu'une association ARC4 de citoyens vigilants s'est constituée, scandaleusement sans aucune subvention de la mairie. Déjà, depuis plus de 4 ans et demi, elle assure enfin une sécurité sans faille et retisse les liens de solidarité entre les courneuviens sérieusement affectés Une union qui se fait au-delà des sensibilités politiques particulières. 
Le marquage, l'encartage politique distinctif, traditionnellement divisent notre société qui a finalement perdu son unité culturelle, en s'éclatant en sectes communautaires qui augurent de futurs conflits sociaux pour la conquête de territoires, de pouvoir et de représentativité, qui ont déjà commencé dans le 93. 

ARC4 préfigure dans ses fondements actualisés, les linéaments d'une société enfin démocratique et responsable où nos concitoyens pourront partager, avec leurs représentants (répudiables en cas de carences ou de malversations) un pouvoir exécutif entre deux élections. L'erreur c'est que notre gouvernement concentre sur la tête d'un maire le maximum de pouvoir, hors de ses capacités. Il faut être logique, si un maire dispose de tous les pouvoirs, il est responsable de tous les problèmes qui nous affectent. Plus de  75 % des abstentionnistes de La Courneuve condamnent unanimement tous les partis politiques en affirmant qu'ils ne leur font plus confiance. Les faits démontrent qu'ils ont raison et il y a fort à craindre que cette condamnation passe sous un prétexte futile, à l'insurrection générale, aux conséquences imprévisibles.   

LE CONSEIL MUNICIPAL 
C'est une véritable falsification officielle de la démocratie, qui curieusement empêtrée dans les usages ne choque pas, par ignorance, grand monde. Ce dévoiement démocratique est si habituel qu'il parait normal.   
Les courneuviens obnubilés par leurs ennuis quotidiens qui ne manquent certes pas, dans notre ville sinistrée à de nombreux égards, ne perçoivent même pas qu'ils sont dirigés par un système autocratique qui les bâillonnent entre deux élections et qui les privent de tout pouvoir décisionnel engageant leur avenir.   

Quand le pouvoir politique est impuissant à agir sur les évènements, il est condamné à en falsifier les termes qui les décrivent. 
Ainsi, le pouvoir local fait usage de plus en plus du terme de "Démocratie Participative" qui consiste à faire parler en petits comités des courneuviens, aisément contrôlables, pour appliquer par ailleurs ce que le maire finalement décide. La Démocratie réellement Participative consiste au contraire, au partage du pouvoir ce qui n'est absolument pas le cas. Le partage des taches est bien assuré: les citoyens "jacassent" et s'offrent l'illusion d'être utiles, mais le Maire seul décide.  
Il est étonnant que le signifiant de démocratie participative soit vidé de son sens pour tromper les naïfs qui ont besoin de croire et d'espérer, en dépit d'une réalité outrageusement maquillée par le "pouvoir" politique.

Les courneuviens sont certes trompés, mais également les différents partis politiques du conseil municipal qui font de la figuration démocratique, puisqu'ils justifient un pouvoir politique faussement démocratique, outrageusement dictatorial dans sa procédure. 


LES COMITES DE QUARTIER
 
Nombre de nos concitoyens voulant se rendre utiles se sont laissés séduire par des représentants communaux. Ils se réunissent dans "des comités de quartier" sous une double tutelle d'un administratif et d'un responsable politique. La liberté est loin d'y trouver son compte. 
Largement manipulés, les rares participants se donnent l'illusion d'une quelconque utilité, alors qu’ils ne servent, in fine, que de prétexte démocratique à un pouvoir qui reste fondamentalement autocrate ! 
Les membres de ces comités de quartiers pourraient aller à la confesse avec le même résultat. 

LA LAICITE VIOLEE  
Un candidat à l'élection présidentielle essaie de promouvoir la création d'un délit d'entrave à la laïcité. Bien que cette décision semble judicieuse, force est de s'interroger sur ces prises de conscience à proximité des élections "attrapes-couillons", aux éternelles promesses, jamais suivies d'applications. Le candidat poursuit : la laïcité, peut faire valoir l'offre d'une « garantie de la liberté de religion » mais exige en retour « le respect des principes fondamentaux de la République, qui priment sur tous les principes religieux ».      

Tout cela semble logique, mais pas pour notre Maire laïc de la Courneuve qui s'emploie à la construction d'une mosquée géante près de la Mairie sur plus de 3500 m² de terrain, alors que nous manquons de logement et surtout d'espaces verts. 
Le Maire qui favorise l'obscurantisme religieux est un scandale de plus qui va faire date, car beaucoup de courneuviens l'ignorent encore ! Le Maire devrait au moins lire le Coran avant de promouvoir l'Islam. L'ignorance ne tient pas lieu d'excuse, car si un courneuvien commet une bévue, c'est lui et sa famille qui en subissent le contre coup. Par contre, un Maire qui commet par ignorance ou par manque de concertation, une grave erreur, ce sont tous les courneuviens qui subissent directement le contrecoup de cette construction et cela cette fois de manière permanente !         

Le Maire voit-il seulement ce que devient La Courneuve ? Une ville occupée par 120 nationalités différentes, qui imposent toutes le respect de leur propre culture au détriment de la nôtre. Une ville, avant dernière sur le plan de la pauvreté sur 36 000 communes, ce qui met en cause bien évidement nos dirigeants. Une ville sérieusement endettée qui vit en permanence dans un climat d'insécurité !

LA BASCULE IDENTAIRE  
Quand l'immigration déferle de manière continue sur notre ville et que l'Etat Civil ne signale pratiquement que des naissances de personnes d'origine étrangère, il a lieu de s'inquiéter, il n'y a pas discrimination mais un constat objectif des faits. Que nous restera-t-il, si nous perdons notre identité et que nous devenons des étrangers dans notre propre ville, Des expériences de laboratoires démontrent qu'en état de surpopulation, les rats les plus faibles ou en minorité, ne se reproduisent pratiquement plus au profit des dominants.     


AVERTISSEMENT FINAL...
Si par hasard vous êtes satisfaits de votre vie à la Courneuve, cette analyse vous paraitra excessive, surtout si vous faites partie des personnes favorisées dans l'entourage du pouvoir local.

Pour les autres personnes, c'est à dire environ 70 % des courneuviens se sentant sous tutelle idéologique, privés de toutes possibilités d'actions pour améliorer leur propre sort et par extension celui de leur ville, qu'ils sachent que nos critiques ne sont pas ad hominem, elles ne visent pas nommément des personnes, mais des fonctions administratives qui pêchent sérieusement pas leurs lacunes ou leurs insuffisances. 

Ces critiques sont non nihilistes, mais constructives. Elles appellent toutes au dialogue avec nos fonctionnaires pour optimiser dans la concertation leur efficacité, alors que pour le moment ils gardent la tête dans le sac : aveugles et sourds aux problèmes pourtant criants et persistants des courneuviens, au risque de l'exaspération, voire de la révolte d'une population qui ne peut supporter sa soumission* permanente !       

Le Maire cherche-il le divorce avec la population de la ville ou une réelle conciliation à l'amiable à l'image d'une réelle démocratie ?

RF


* L'enquête sur le souk courneuvien, vendeurs, clients et riverains, confirme en tous points la justification de nos craintes et de notre problématique commune ! 

07/07/2016

Les maires arriveront-ils enfin à entendre et à comprendre les plaintes de nos concitoyens ?

Christian de Portzamparc, l'architecte qui planche sur le Grand Paris, s'exprime en ces mots à l'adresse de certains maires bétonneurs !

" Si on se met à construire des logements n'importe où dès qu'on trouve un peu de terrain disponible, on est sûr d'y créer les ghettos de demain ! "

Le maire de la Courneuve ferait bien de s'en inspirer car gouverner, c'est prévoir !
Il est réconfortant que de plus en plus de nos concitoyens constatent et comprennent que le seul espoir qui peut survivre dans notre ville sinistrée ne peut venir que de nos concitoyens, enfin réunis au delà des divisions que nous imposent les partis pilotés par des carriéristes qui ne veillent qu'à la préservation de leurs privilèges ! Les politiciens ne comptent que des têtes sans se préoccuper de ce qu'il y a dedans. Si ce sont réellement les citoyens qui disposent de tous les pouvoirs, conformément à la constitution, ils sont donc légalement en droit de répudier pour insuffisances ou incapacités leurs pseudos représentants politiques, sectaires, qui après avoir surendetté nos concitoyens, entendent limiter, voire contrôler leur libre expression et le droit d'opinion, pour se maintenir au pouvoir. ! 
Le Maire de La Courneuve, entend cacher derrière des murs de béton, la misère des courneuviens, dans une ville au record de pauvreté en France. Une ville à la triste réputation et qui fait honte à ses habitants qui sont, en plus, surtaxés par des impôts locaux scandaleux. Une ville déficitaire incapable de faire des économies, alors que La Courneuve est déjà très sérieusement surendettée !

Dans ce contexte kafkaïen, le Maire ne perçoit même pas les plaintes incessantes des courneuviens. M. Poux ne représente pratiquement que lui même face à la très grande majorité des courneuviens, qui se sentent floués par des dizaines d'années de promesses illusoires. 
Voilà pourquoi nous vous transmettons ci-dessous cette invitation pressante, inspirée par le congrès des Maires et qui est contraire à l'inspiration du Maire autocrate de la Courneuve !  

RF
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Congrès des maires : 

" Pensez donc moins aux équipements et plus aux gens ! "

À elles seules, les mairies ont aujourd’hui 65 milliards de dette !

Richard Hanlet

Médecin

La baisse des dotations de l’État est au centre de l’actuel congrès des maires de France, alors qu’ils sont confrontés par ailleurs à des charges supplémentaires, comme les conséquences de la réforme des rythmes scolaires.

Elles sont nombreuses « en régions » (il paraît que province est devenu une injure), ces villes moyennes où l’on est frappé par le grand écart entre la magnificence des équipements publics et les pauvres moyens des particuliers. Et elles se ressemblent.

Religion écologique oblige, on a banni les voitures : après une demi-douzaine de ronds-points plus fleuris que les serres d’Auteuil ou ornés d’œuvres « contemporaines », prière de se mettre au parking (payant) et d’emprunter des rues piétonnes. Mais alors… luxueusement piétonnes ! Bornes, potelets, poubelles et lampadaires dignes de la FIAC, on croirait accéder au palais de l’émir du Qatar… Sur les trottoirs dallés de porphyre ou de quartzite, deux fauteuils roulants peuvent se croiser sans peine, et il ne manque pas une bande podo-sensible pour malvoyants. On arrive devant une petite église – bien évidemment fermée -, mais où un détecteur à infrarouge déclenche pour vous seul une fugue de Bach !

Sympa, mais on se sent bien seul : on ne croise que de rares indigènes dans ces rues quasi désertes. Certaines sont encore accessibles aux voitures, mais sur une seule voie, et bordée de plots. Se garer brièvement en double file pour prendre une bouteille de propane… même pas en rêve ! Une livraison de piano à queue, c’est une demi-heure de blocage total. Et à onze heure du soir, tout est encore éclairé a giorno par des lampes à sodium tous les trente mètres. Mais surtout, à force de privilégier « les circulations douces, notamment la mise en place de rues et de cheminements piétons qui mettent en valeur le patrimoine et rendent la circulation en centre-ville plus agréable, conviviale et sécurisée », que de boutiques à vendre et de vitrines passées au blanc d’Espagne dans ces rues !

Et regardez les immeubles privés : les façades sont décrépies, les gouttières trouées et les volets de guingois. Visiblement, ces « salauds de propriétaires », eux, ne roulent pas sur l’or. On ne peut pas s’empêcher de penser que ça fait une moyenne avec l’hôtel de ville. Si bien qu’à elles seules, les mairies ont aujourd’hui 65 milliards de dette !

En URSS, trois familles s’entassaient dans 50 m2 tandis que les stations de métro avaient des allures d’Opéra de Paris. Nous sommes sur la même pente typiquement socialiste, grâce à notre délire fiscal. Car la devise de ceux qui gèrent l’argent des autres, c’est « Je dépense, donc je suis ».

Certes, la France est un pays superbe, mais à quel prix ? D’une part, nos administrations, villes, départements et régions ont dépensé sans compter (et à crédit) pour des équipements, certes charmants (mais qui les a vraiment demandés ?) ; d’autre part, nous avons de plus en plus de chômeurs et de clients des Restos du Cœur… N’y aurait-il pas un lien de cause à effet ?

 

28/02/2016

L’urbanislamisation courneuvienne ...

Un constat inquiétant ...

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La photo ci-dessus, devient-elle un modèle pour La Courneuve ? Une ville en cours de sur-bétonnage et dont les derniers espaces verts disparaissent... Consolez-vous, peut-être parviendrons nous, pour satisfaire nos préoccupations écologiques, à sauvegarder un peu de verdure dans des pots de fleurs sur nos fenêtres et nos balcons et évidemment au pied des pierres tombales dans nos cimetières ? 

Savoir vivre ensemble ne se décrète pas politiquement !

L'univers concentrationnaire est une sérieuse menace : l’anthropologue Edward T. Hall créateur de la proxémie ou l'espace de communication et de vivre ensemble, a scientifiquement déterminé que les distances interpersonnelles dans une communication entre des individus étaient codées dans une large mesure par sa culture et également par la nature de la relation.

 
* sphère intime (de 15 cm à 45 cm : pour embrasser, chuchoter)
* sphère personnelle (de 45 cm à 1,2 m : pour les amis)
* sphère sociale (de 1,2 m à 3,6 m : pour les connaissances)
* sphère publique (plus de 3,6 m : pour parler devant un public ou interpeller quelqu’un).

Sur un plan social, par exemple, un américain considère que sa sphère de sécurité est à environ 1m80, alors que pour un arabe elle se situe environ à 60 cm, ce qui veut dire que, quand l'un recherche de l'intimité, l'américain ressent une promiscuité trop proche comme une agression. Nous avons près de 120 nationalités différentes à La Courneuve, alors imaginez les problèmes qui peuvent en résulter dans une zone de vie concentrationnaire: l'insécurité et les risques d'agressions y sont permanents, d'autant que chaque personne ne se sent bien que dans la mesure où elle côtoie des personnes qui lui ressemblent, d'où l'enkystement communautaire et le mal être social.
Il est stupide de croire que des politiques puissent régler des problèmes de cette nature, en décrétant par slogan le " bien vivre ensemble" comme on décrète par voie d'
affichage que La Courneuve n'est pas une poubelle, sans prendre les mesures qui s'imposent !

Et comme le "pouvoir" ou plutôt l'impuissance publique sont aussi nuls en communication qu'en compréhension de la nature humaine, ils continuent leurs erreurs en se donnant malgré tout bonne conscience.
Dans les faits, il y a toujours plus d'immigrés prioritaires, toujours plus de constructions pour les loger, toujours plus de chômage, toujours plus de délinquance, de crimes et délits et surtout d'insécurité pour les courneuviens. Les risques de conflits augmentent bien évidement proportionnellement avec le nombre d'habitants au km2. 

Gouverner dit-on c'est prévoir !     

Alors, constatez objectivement si oui ou non, le climat social de notre ville se dégrade ou s'améliore. Vous connaissez notre avis ...
Faites connaitre le vôtre !

Quand on détourne l'attention des courneuviens sur des détails en évitant de faire l'essentiel ...

Une suggestion ARC4 

Le maire néanmoins déploie des moyens très importants et très couteux en matériel et en personnes pour assurer la propreté de la Ville . Il est même décidé de doubler le jour des enlèvements des encombrants qui s'entassent sur nos trottoirs pratiquement tous les jours.  Des poubelles, en sac plastique, disgracieuses se multiplient inutilement, puisque les détritus très divers continuent d'être jetés n'importe où.  

Malgré tous les moyens importants mis en œuvre pour lutter contre la réputation de notre "ville poubelle" la situation continue de se détériorer. Même les personnes employées au nettoyage des trottoirs se disent écœurées par le comportement peu civique, notamment des nouveaux courneuviens, aux us et coutumes très particuliers.

Un moyen efficace d'éducation sociale 

Encore une fois, nous insistons sur la nécessité de faire un livret éducatif consignant toutes les incivilités à ne pas commettre pour améliorer le climat social de notre ville qui ne cesse de se dégrader, faute de prendre les bonnes décisions.  Ce livret pourrait servir de référence éducative et chacun pourrait s'en prévaloir pour justifier les droits et les devoirs de chacun. Toutes ces incivilités explicitées sous forme de photos, pourraient être assorties en dessous, des textes de lois et des arrêtés communaux, ainsi que des sanctions encourues pour les contrevenants.
Sous forme d'un petit classeur avec un simple calendrier, il pourrait être réactualisé en début d'année par de nouvelles informations, en même temps que les vœux de l'administration communale.   

Il y a manifestement et c'est ce que nous avons constaté, une grande majorité de personnes, notamment immigrées, qui par exemple ne savent pas qu'il ne faut pas uriner contre les murs, cracher à terre et jeter ses détritus partout etc. 
Par contre d'autres, perverses, prennent plaisir à affirmer leur identité au risque de conflits, en transgressant nos lois et nos usages. Celles-ci demandent impérativement la justification des interdictions qu'on ne peut pour le moment leur fournir. Ces personnes transgressives ne comprennent que la sanction et comme il n'y a aucune sanction à la Courneuve, (entendez toutes les incivilités sont permises), elles continuent de dégrader notre ville en incitant au nom de "leur liberté" les autres à faire comme elles !

Remettre les choses à l'endroit  

Quelle éducation doit prévaloir ? Celle de la rue ou celle de la commune ? 
Nous ne sommes malheureusement pas en Suisse où les habitants sont éduqués et sévèrement sanctionnés pour les saletés jetées sur la voie publique et les trottoirs !   

Il ne suffit pas d'affirmer naïvement que " La Courneuve n'est pas une poubelle" pour que notre ville devienne enfin propre !

Dommage que le Maire affligé d’une surdité sélective n'écoute "démocratiquement" que lui ou évidemment ceux qui sont de son opinion !  

Pour les citoyens vigilants ARC4 

RF