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19/01/2014

Remarques liminaires sur " le paradis des malfrats"

Ouvrir les yeux et être vigilant c'est une nécessité, mais ce n'est pas tout, il faut s'efforcer de comprendre notre situation pour mieux en assurer la maitrise !

ARC4 a plus de 2 ans et les citoyens ne doivent finalement leur sécurité qu'à eux mêmes, par leur solidarité face aux crimes et délits, qui ne cessent d'augmenter par ailleurs.
Nous n'avons toujours pas de financement pour nous aider, nous n'avons toujours pas d'information dans la revue communale "REGARD". 
De plus en plus d'adhérents nous posent la question de savoir si le Maire, dont c'est la principale fonction, est intéressé par la préservation de la sécurité des courneuviens ?

La démocratie ne consiste pas à compter des têtes, mais à se préoccuper de ce qu'il y a dedans, quelles sont leurs attentes prioritaires face à ce climat insécuritaire permanent .


Il est désolant que nos concitoyens effectuent gracieusement un travail de vigilance pour sécuriser nos quartiers, alors que ceux qui sont financés pour le faire ne le font pas ou ne parviennent pas à le faire. Nos concitoyens méritent donc autre chose que des promesses non tenues. Comment peut on dans ces conditions faire confiance à des représentants politiques qui se comportent ainsi ? 

Notre réussite ARC4 est généralisable à d'autres quartiers, d'autres communes, encore faudrait-il que la Mairie s'implique autrement qu'avec des mots et des promesses jusqu'aujourd'hui, toujours non tenues.

Quand à la délinquance, la question qui mérite d'être posée est de savoir si ce sont les voyous qui sont responsables de leurs méfaits ou nos institutions qui les laissent faire et les encouragent par leur impunité ?
 

Les élections reviennent: c'est à croire que la pagaille sociale est un terrain fertile aux guérillas politiques, pilotées par l'ambition hégémonique de petits chefs de tribus.

Nos représentants sont au service de nos concitoyens qui les élisent et les payent pour effectuer un travail administratif d'intérêt général.      

 Vous pardonnerez mon indignation qui fait suite à l'article qui suit intitulé : " Le paradis des malfrats "
C'est un témoignage poignant d'une libraire victime 34 fois  d'agressions... C'est aussi un témoignage de notre déchéance sociale due à l'indifférence et au  laxisme grave de nos institutions censées nous protéger ! Elles sont pourtant financées par nos impôts mais démissionnent face au déferlement incontrôlé de communautés immigrées qui exigent toutes des privilèges, sans contrepartie réciproque de devoirs. Il faut les respecter telles qu'elles sont, y compris quand elles violent les lois qui régissent notre société sous peine d'être taxé de "racisme" : une arme de dissuasion massive au service de communautés étrangères dont beaucoup (pas tous) de leurs membres refusent toute intégration à notre culture déliquescente et pour cause 

 Une loi incontournable. Plus la densité humaine est forte localement, plus les risques de conflits, les dissensions, les crimes et délits sont fréquents. C'est mathématique !

 Intégrer jusqu'à notre désintégration, est-il une fatalité irrémédiable ?

 Gouverner c'est prévoir dit-on ?

 Face à cette problématique inquiétante, que fait le Maire face à ces remarques ? Il bétonne et bétonne encore, jusqu'à la disparition de nos dernier espaces verts qui ne survivront atrophiquement que dans nos pots de fleurs sur nos balcons et dans les jardinières de nos cimetières ;-)

 RF

 

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 Le paradis des malfrats !

  Chers compatriotes, 

(... Introduction sur des considérations politiques annulées... )

Voici l'illustration d'une des raisons de notre colère, qui justifierait à elle seule la mise en accusation d'un pouvoir lâche et laxiste, qui, aux portes de Paris, a décidé d'abandonner l'une de nos plus courageuses compatriotes à la sauvagerie primitive d'une populace immigrée qui exige tout de la France mais ne se reconnait aucun devoir, se nourrissant d'une haine irrémédiable et totale des "souchiens".
 
Marie Neige Sardin n'est pas que "la petite libraire du Bourget". C'est le soldat isolé d'un des derniers bastions de la République, en territoire interdit. Seule, sans arme, sans défense, sans alliés, elle ne tient que par son courage et par sa force de caractère. Et par la certitude aussi, de la justesse de son combat. Comme un défenseur isolé encerclé par l'ennemi, elle tient bon, jour après jour, appellant à l'aide, espérant un hypothétique renfort qui ne vient jamais.


Voici son dernier post, que vous pouvez lire en direct en cliquant sur le lien ci-dessous ...

VIDEO --->
http://www.youtube.com/watch?v=H3mXqEFWHn0&feature=player_embedded

Prenez le temps de le lire et de visionner cette terrible vidéo.
C'est bien le moins que vous puissiez faire pour elle.
Faites circuler, faites connaître Marie Neige Sardin, c'est pour l'instant notre seul et bien dérisoire moyen de la protéger. Comme un otage, qu'il ne faut surtout pas oublier, pour l'aider à tenir, mais aussi pour empêcher ses bourreaux de commettre l'irréparable.

Un jour peut-être, la sauvage populace qui la martyrise pourrait bien finir par avoir raison de son courage. Maire, conseillers municipaux, député, sénateur, conseillers généraux et régionaux, tous les élus (et fonctionnaires) qui l'auront abandonné à son sort devront alors répondre de ce crime.

En attendant, nous le disons bien haut et fort : nous sommes tous des libraires du Bourget.

Marc Le Stahler

 

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Récit de Marie Neige Sardin : C'était pendant l'horreur d'une profonde nuit..


19h30, pénètrent
en la boutique une femme africaine et ses deux enfants d'environ 6 et 3 ans; elle désire faire un retour de colis pour la société free mais dans mon point relais, au moment des soldes, cette touche n'est pas disponible. Elle joint free qui lui confirme mes dires. 
Ma fille agée de 27 ans est présente en l'échoppe avec son bébé chien, qui du haut de ses deux mois et demi, perçoit que quelque chose se dessine ...il se dresse comme pour nous protéger. 
La femme appelle un ami au tel; celui-ci arrive très vite. Elle lui confit son colis . 
Ma fille s'est accroupie pour calmer son chiot et là je vois la dite personne lui décocher un énorme coup de poing la touchant à l'arrière de la tête. Je me précipite, me glisse entre les deux pour faire bouclier. L'africaine hurle des menaces, des insultes raciales, me tire violemment par les cheveux, m'assène des coups partout où elle le peut, m’entraînant au fur et à mesure vers l'extérieur de la boutique.
Je résiste comme je peux mais je n'ai plus vingt ans face à ce mastodonte.
Auriane a pu déclencher l'alarme, elle vole à mon secours, tentant de me retenir à l'intérieur car dehors une meute d'hommes hilares  sont  là, encourageant cette haine, ce lynchage. Ils ont leurs portables en main, filmant et jubilant du spectacle. Elle leur demande de nous aider, la pauvre, elle va mesurer à quel point nous sommes seules et isolées, en entendant un "mais personne ne vous aidera jamais sale pute ".

La lutte se poursuit, je suis à cheval, un pied sur le trottoir, un pied dans la boutique, l'africaine me secoue en tous sens; mon corps hurle de douleur, mais protéger ce que j'ai de plus cher n'a pas de prix ....
Les policiers municipaux arrivent, les coups cessent enfin, Auriane ne se sent pas bien, moi guère mieux, les pompiers l'emmènent à l'hôpital; nous y passerons la nuit face à nos douleurs autant physiques que morales sans qu'aucune autorité, aucune institution ne s'inquiètent de notre devenir, libérant ainsi notre agresseuse qui a commis un tel acte sous les yeux de ses enfants, leur montrant comment l'on traite aujourd'hui deux blanches faisant juste leur travail.
Seul un élu UDI, attentionné, à l'écoute du peuple bourgetin, prévenu, viendra aux urgences, restant à nos côtés dans ces heures difficiles. Une présence simple, ne faisant pas dans le pathos mais dans la recherche d'une amélioration de nos conditions de vie, de notre sécurité et du devenir de l'échoppe.
Un immense réconfort pour la maman que je suis et sans doute la certitude désormais que mes dix ans de combat pour rester envers et contre tous, libraire en ma commune, est un bon choix.
Mes ennemis passent de plus en plus souvent à l'action, tentant de m'imposer qui leurs lois, qui leurs idéologies, faisant pression par la violence, via leurs femmes et leurs enfants désormais; sans doute dans l'espoir  de me voir quitter la ville, que dis-je de la déserter . Un seul but en devenir les maîtres.

La qualité d'une vie ne se mesure pas au nombre de ses amis mais au nombre de ses ennemis.
Le maire actuel n'a pas daigné s'informer de comment nous allions, pas plus que les institutions policières qui ont gentillement pris nos plaintes, nous assurant que malheureusement, pour des violences simples, il y a peu de condamnations.
Une remarque qui me taraude. J'ai, dans mes chairs gravé le souvenir de vingt-quatre heures de garde à vue en 2010, pour avoir osé dire à une voisine antillaise "d'arrêter de faire la bamboula" à trois heures du matin. Cette dernière, partie depuis à la cloche de bois, aidée par un autre voisin, repris de justice, par ses mensonges et leurs faux témoignages, a donc permis à la justice de me condamner pour propos racistes à 600 euros d'amendes. C'est pour le coup que là,  j'ai un immense regret, celui de ne pas avoir commis le délit.
Comment respecter ceux qui pratiquent deux justices ? Je résume la situation:

- être noir ou étranger ou délinquant vous donne le droit en mon département de dénoncer de façon aléatoire et mensongère tout blanc tentant de vous faire respecter la loi française et de le faire condamner lourdement.

- être blanc vous donne le droit d' être violé, attaqué, battu, lynché à volonté par ceux cités précédemment; les crimes subis seront requalifiés et minimisés mais le plus souvent classés sans suite.
Entre 2010 et 2014 que s'est -il donc passé pour moi?
Un capitaine devenu depuis commandant au commissariat de La Courneuve a ouvert la boîte de Pandore, la justice a fait le reste, répendant ainsi sur moi tous les maux. Mes agresseurs ont des preuves "je suis raciste" j'ai été condamnée et donc JE MERITE.............les coups, voire pire. Une garde à vue et une condamnation qui sonnent comme un arrêt de mort, juste le droit de subir ou de partir; cela me rappelle un peu beaucoup "la valise ou le cerceuil".

J'ai le sentiment d'avoir trop vu, trop souffert, trop compris la nature humaine dans ce qu'elle a d'obscur.

Je me suis réfugiée tout au fond de la jarre dans laquelle se trouvaient tous les maux de l'humanité libérés par Pandore car seule l'espérance s'y love encore. 

Marie Neige Sardin

Marie Neige Sardin.jpeg

La seule contribution qu'on puisse apporter à son combat, c'est de relayer de temps en temps les articles qu'elle publie sur son blog http://le-bourget.over-blog.com/

19:05 Publié dans SOCIALE | Lien permanent | Commentaires (0)

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