SUR LE RACISME, LA SEGREGATION, LA DISCRIMINATION, LA TOLERANCE !

Le contexte social 

La structure permanente des scandales sociaux :

 

 

 

 

 

 

 

La  division de la société ou plutôt son éclatement par des divisions:

-  Politiques sciemment entretenues au bénéfice exclusif de politicards plus soucieux de leur carrière que du bien public,

-  Carriéristes antidémocratiques,

-  De religions qui traditionnellement se déciment les unes les autres, au nom de l'amour qu’elles portent à un Dieu hypothétique.-Les classes sociales où se constituent un fossé financier scandaleux entre les pauvres et les nantis,

-  La constitution de zones de non-droits où règnent les dealers et les trafics en tous genres, -l'insécurité permanente de nos quartiers par des cambriolages et des agressions sur les personnes les plus faibles,

-  La transgression notamment par des immigrés  de nos lois sur l'hygiène publique volontairement ou par ignorance:  crachats, urine contre les murs, déchets hors des poubelles affichage en langue étrangère  maculant le mobilier public et poteaux d'éclairage, etc.

L’ensemble de ces points finit par dégrader gravement notre cadre de vie et à rendre une ville invivable !           

Ce n'est pas tout !

Non seulement les politiciens ne règlent pas les problèmes, mais en créent volontairement d'autres par le traficotage de notre vocabulaire pour mieux abuser nos concitoyens ! Comme si cela ne suffisait pas, les politiques ne trouvent pas mieux que d'accentuer les divisions entres nos concitoyens.  Le "diviser pour régner" en est l'application directe : Le racisme,la ségrégation,la discrimination, l'intolérance, sont volontairement entretenus par ceux qui nous gouvernent ou nous dirigent, jusqu'aux communes. Partout la même obsession s'impose : diviser et diviser encore et toujours plus !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Remettons les mots à leur place pour sortir des confusions ourdies par les politiques 

La tolérance :
Trop souvent, l'appel à la tolérance condamne celui qui l'observe à la lâcheté. Il s'indigne de moins en moins, jusqu'à ce que les scandales lui paraissent normaux en raison de leur fréquence. Tolérer devient aussi "se soumettre" et tous les lâches défilent fièrement sous le drapeau de la tolérance !

La discrimination :
Elle devient un grave défaut et l'objet de condamnations. Il ne faut surtout pas discriminer puisqu'il n'y a pas de différences ou de nuances à observer. La discrimination est pourtant l'expression de la liberté de choix et de nos valeurs personnelles. Discriminer, c'est aussi percevoir avec minutie pour mieux distinguer. 
Voici la définition du Larousse : action de séparer, de distinguer deux ou plusieurs êtres ou choses à partir de certains critères ou caractères distinctifs ; distinction : Opérer la discrimination entre l'indispensable et le souhaitable. 

La ségrégation (bas latin segregatio, du latin classique segregare, isoler)
Distinguer les malades des biens portants, les femmes des hommes, les petits des grands, les personnes intelligentes de celles qui ne le sont pas, les jeunes des vieux etc. est chose naturelle. Avec la théorie du genre, il ne faut plus distinguer l'homme d'une femme. La différence de sexe n'est plus une donnée biologique, mais un déterminisme social. La vie ne cesse de se différencier sous toutes ses formes, seule la mort dans sa finalité sanctionne l'égalité finale de ce que nous devenons ! Alors doit-on prêcher l'égalité uniformiste ou la diversité solidaire, dans ses différents potentiels d'expression ?
L'amalgamisme débile, l'indifférenciation constituent la source inépuisable de nos problèmes, car on refuse de voir et d’accepter les différences et on juge autrui comme notre semblable, en lui refusant d'être ce qu'il est.
Aucun droit à la différence, la personnalité est prohibée comme facteur de discrimination, contraire à l’uniformisation sociale « égalitaire » du genre humain idéologiquement cloné !

Le racisme :
Nous finissons sur la plus grosse fumisterie inventée par les politiques pour asseoir leur pouvoir sur nos divisions !
Sur le plan médical et biologique, il n'y a qu'une seule race: la race humaine ! Les politicards inventent donc l'existence de races pour contrôler notre société, en les classant arbitrairement par "races" pour mieux les diviser et contrôler le mental de nos concitoyens et leur interdire d'émettre un jugement sur une personne de couleur, assimilé immédiatement à du racisme !
La création du "racisme " est finalement d'interdire progressivement le droit d'expression et d'opinion, en généralisant les formulations prohibées par une justice pilotée par le politique.  
Les politiques spécialistes de l'embrouille, ne distinguent même pas la race de l'espèce, mais par contre, ils font un usage intensif du communautarisme qui lui, est éminemment condamnable. Ce communautarisme sévit jusqu'à la tête de l'Etat, il n'est donc pas étonnant qu'il ne soit pas combattu contrairement au racisme, manipulation suprême du monde politique et de ses officines juridiquement répressives (---) ! 
Ce qu'on impose par la loi n'a de valeur que pour ceux qui  la promulguent et qui en tirent prioritairement profit !

Un dernier appel à la réflexion : la liberté, l'égalité et la fraternité ne sont pas des données qu'on impose politiquement de l'extérieur, mais l'expression profonde d'un ressenti intérieur, qui s'accorde très mal des diktats idéologiques de quelque nature qu'ils soient !
A ce niveau, tous les prêcheurs sont des dictateurs qui imposent leurs convictions, à seule fin  de croire à la véracité de ce qu'ils disent, par l'adhésion qu'ils entrainent chez les êtres faibles, gogotisés par des fadaises tout aussi utopiques que stupides...  

  
RF

 

ETES-VOUS RACISTE ?

Ne vous êtes-vous pas posé cette question ?

Avis du forum :

" Suis-je raciste ? "

 Je suis raciste.... et oui....enfin d'après d'autres car, personnellement, je ne pense pas l'être !!!

- Je n'accepte pas de voir des femmes portant la burka, dont je ne vois pas le visage.

- Je n'accepte pas, qu'en France, on puisse siffler "La Marseillaise", ou qu'on brûle le drapeau de mon pays.

-Je n'accepte pas qu'on puisse avoir "l'honneur" d'être capitaine de l'équipe de France de football, tout en refusant de chanter l'hymne du pays en prétendant avoir un autre pays de cœur.

- Je n'accepte pas qu'on puisse se prétendre français en raison de la possession de documents officiels, alors même que l'on ne sait pas parler le français.

- Je n'accepte pas qu'un immigré de 65 ans puisse toucher environ 760 € jusqu'à la fin de sa vie, sans avoir cotisé un seul  centime aux caisses de retraite, alors que de nombreux Français ont une retraite incomplète tout en ayant cotisé de nombreuses années ! 

- Je n'accepte pas que si on s'absente plus de 48 h, que des immigrés prennent possession de notre domicile et qu'on ne puisse pas les déloger sans un procès d'un an environ, très coûteux, sans que les squatters ne soient sanctionnés par la justice ! La violation du droit de propriété, durement acquis, est permise par des lois scélérates qui protègent les étrangers !    

- Je n'accepte pas qu'en 2015, un homme refuse de serrer la main d'une femme, en la faisant passer comme inférieure.

- Je n'accepte pas la polygamie et la paternité de 15 enfants à notre époque.

- Je ne crois pas à l'existence de race, car sous la peau nous sommes tous pareils.

Et ce n'est malheureusement pas tout ! ...

Et vous, vous pensez que je suis un raciste ?

La « fête » des repas de quartiers ratée ?

De mal en pis: un bien triste constat …

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une statue mortuaire qui caractérise La Courneuve 

Nous espérions une organisation cohérente, une mise en place structurée avec une surveillance des entrées pour que la fête puisse se dérouler dans l’esprit d’une fête conviviale de quartier :

Pour ce faire :

-          - Chacun devait apporter quelque chose à partager

-         -  Les enfants étaient sous la responsabilité de leurs parents ou de leurs accompagnateurs

-         -  Les participants des différentes associations étaient invités à aller les uns vers les autres pour favoriser les échanges, même à minima !.

 Ces conditions étant indispensables pour instaurer un véritable partage, ,tant au niveau relationnel qu’à celui du buffet…

Or, nous avons du supporter l’envahissement d’enfants et de familles (…) qui manifestement venaient uniquement pour profiter du travail d’autrui et des plats préparés, comme si tout leur étaient dû. Une ruée sur le buffet et autour du barbecue, par des « morfales » insatiables, mal élevés et terriblement bruyants, a sidéré et fortement indisposé les personnes adultes de notre association et d’autres également. En fait, ces personnes n’ont pu que récupérer les « miettes » laissées par cette déferlante de gosses incontrôlés par des parents indifférents, passifs, et des organisateurs complètement dépassés !

D’autre part, les tablées étaient « communautaires » et personnes ne s’intéressait aux autres.

L’animation musicale, pour se faire entendre, montait le niveau sonore à la limite du supportable.

Le taux de participation assez faible finalement, hormis les « braillards » laisse penser que certains se sont abstenus en imaginant, à juste titre le fiasco de cette « fête »

Nous avons remarqué que des associations habituellement participantes n’étaient pas présentes ce jour là…
Le Maire, se sentant  probablement obligé de venir a fait une courte apparition de courtoisie et est reparti assez vite et pour cause !.

Les organisateurs n’ont pas été à la hauteur de leur tâche. Dès le départ, nous avions eu l’impression que cette fête, organisée au dernier moment, dans l’urgence, aurait quelque chose de bâclé, à l’image de l’affiche qui n’en précisait pas les éléments indispensables au bon déroulement. S’ajoutait à cela une faute dans l’intitulé du lieu (Maurice au lieu de Marcellin Berthelot) et l’illisibilité sur les tracts, des associations participantes, etc.

Si les organisateurs ne tiennent pas compte des conseils ou observations de ceux qui ont l’expérience des comportements sociaux et des écueils à éviter, ce genre d’évènements est voué à l’échec. Le taux des participants et leur niveau de satisfaction ne peuvent être qu’au plus bas.

ARC4 était à l’initiative de ce regroupement des associations dans un contexte de fête générale, mais certainement pas de la manière dont elle a été « organisée ».   

Les bonnes intentions sont fort louables, mais elles ne suffisent pas !
Désolé de dénoncer les insuffisances des organisateurs.

Certains membres d'ARC4 qui ont fait des efforts importants pour faire des plats variés n'ont même pas pu se servir un morceau de gâteau qu'ils avaient eux-mêmes cuisiné..

A peine ouvert le buffet, les plats et les desserts étaient pris d’assaut par des volées de "moineaux" sans éducation qui ne laissèrent guère que quelques reliefs  sur la table.

A ce propos, quel est le sens de la participation quand des familles très nombreuses (…) n’apportent qu’un modeste paquet de gaufrettes et font en contrepartie littéralement la razzia sur le buffet.
Il faut croire que le manque d’éducation et l’égoïsme sont très gratifiants, car ils se servent autant qu’ils peuvent sur les tables, sans qu’il leur soit reproché quoi que ce soit, tant par leur famille que par les organisateurs !

Frustration, déception, sentiment d’avoir été encore une fois floués, regrets …furent les réactions dominantes des participants que nous retenions  au maximum et leur demandant de patienter sans succès ! 

Non seulement les organisateurs de cette « fête » se sont décrédibilisés, mais ARC4 également en conseillant à ses membres de participer. Fort heureusement, nombre d’entre eux précédemment déçus par l’amateurisme organisationnel de ces fêtes ne sont pas venus.   
Il convient de remarquer ou outre, que certaines associations communautaires et politiques qui figuraient en minuscule au bas de l’affichette, (graphiquement complètement ratée), étaient absentes, certainement échaudées, elles aussi, par les échecs précédents ?
Errare humanum est, persevare diabolicum !

L’orchestre ne parvenait même pas à égayer les participants dans une ambiance tonitruante et mortifère, où les tablées s’ignoraient les unes les autres !

Créer de l’unité sociale dans un évènement festif c’est bien, mais certes pas quand on renforce la mentalité clanique des participants, qui se regroupent à de rares exceptions près par communautés distinctes.(…)  

Le seul objet de convoitises commun fut le buffet et dès qu’il fut vide, les participants critiques, partaient et jurant qu’on ne les y prendrait plus !
C’est également le cas des membres d’ARC4 qui espéraient à plus de dialogue que l’ambiance plombée d’une sinistre gargotière !

Nous avions des suggestions pratiques pour faire de cette journée une réussite, mais les organisateurs pleins de certitudes n’ont pas jugé utile de nous consulter…

Résultat : nous ne participerons plus à ce genre de manifestations traditionnellement ratées, car, apparemment, les responsables des organisations sont incapables de tenir compte de leurs erreurs passées ! 

Triste fête !

Chantal et René Féjan