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07/09/2015

Vivre ensemble ou discrimination d'auto-préservation ?

Les règlements de comptes 

Le " vivre ensemble " ou la " discrimination d'auto-préservation ou encore "d'auto-défense " sont des notions singulièrement d'actualité dans la politique actuelle.

Ces 2 tendances sociales s'opposent et chacune d'elles cherche à s'imposer en permanence sur l'autre.

LE REGNE DES TRIBUS.jpg

 

 

 

 

 

Le règne des tribus.
LES EMEUTES.jpg

 

Les émeutes
LES BAGARRES.jpgLes bagarres.

Précisions liminaires :

Sur ces photos " le bien vivre ensemble"  n'est possible que par un processus discriminatoire ou ségrégationniste. L'un et l'autre sont des facteurs de cohésion interne d'une bande, d'une communauté,  d'une culture, etc.  
Chaque groupe se pose identitairement par opposition à d'autres, dont les codes distinctifs ; vestimentaires, culturels, communautaristes, religieux,  diffèrent et finissent par s'opposer pour la lutte pour la dominance d'un territoire ou de la société.
Ces distinctions identitaires sont à la fois source de conflits entre ces groupes, quels qu'ils soient, mais également contre la société qui tente d'établir une cohésion générale, bien souvent utopique en raison de l'immaturité de tous ces groupements constitués, en quête finalement de reconnaissances distinctives et revalorisatrices!
Seul un Etat fort peut établir des règles communes à tous. Si les Etats, notamment en Europe et particulièrement en France sont faibles, ce sont les groupuscules identitaires définis ci-dessus qui s'imposent dans la violence à la recherche d'une suprématie sociale.

Sur la directive du bien vivre ensemble amalgamiste ...

Les tenants de la thèse du " bien vivre ensemble" considèrent que tous les humains doivent cohabiter dans la solidarité et l'harmonie...
Cette conception idéalisée est malheureusement utopique et les règles de tolérance qui l'animent, buttent irrémédiablement sur des compromis
qui ne satisfont finalement personne. Les personnes qui se sentent brimées expriment alors leurs ressentiments s'actualisent dans des conflits. 
La cohabitation grégaire, amalgamiste, tend à l'homogénéisation des individus normés par une quasi religion basée sur les principes qui sus-énoncés.  
Les relations internes au groupe du "bien vivre ensemble" sont donc problématiques à de nombreux égards.    Les problèmes se compliquent singulièrement quand les adeptes du bien vivre ensemble deviennent prosélytes et cherchent à l'imposer par des décisions politiques coercitives, moralisatrices, etc. le "bien vivre ensemble" .Il devient ainsi une obligation de cohabitation par directive politique.
Que reste-t-il de la liberté de choix du citoyen dans ses relations sociales ?  Si la société est politiquement trop directive sur la conscience des
citoyens, comment un individu peut-il se sentir libre de ses choix dans ses relations interpersonnelles.

Quand un individu n'est qu'une partie d'un tout, il n'est pas grand-chose personnellement. 
Le bonheur est indissociable de la liberté de choix et quand une politique impose une
cohabitation avec des communautés, elle mêmes auto- clivées sur leur propre culture originelle la société française ne peut que se sentir soumise aux communautés d'origine étrangère.   
Ce sont aux citoyens d'imposer leurs volontés à leurs représentants politiques et non l'inverse. 
Les diktats des politiques qui entendent diriger la conscience des Français par un " bien vivre ensemble" d'autorité est inacceptable, car ce n'est pas aux politiques de nous dicter nos choix de vie  et surtout qui nous devons fréquenter! 


Sur le choix discriminatif ... 

Inévitablement certains mal intentionnés évoqueront évidemment de  la discrimination, jugée politiquement de manière très péjorative. Les politiques, par ignorance ou plus sûrement par malhonnêteté,  fausse le sens du vocabulaire pour lui faire dire le contraire de ce qu'il signifie réellement. Le terme " ségrégation " est un exemple parmi tant d'autres.

La discrimination est un choix minutieux entre plusieurs possibilités et tout choix, implique la mise à l'écart de ceux qui n'ont pas été choisis. 

La liberté de jugement est établie par la capacité de choix. Mais quand l'accusation de "discrimination" ne laisse aucune  possibilité de choix et se transforme en accusation à connotation morale, il y a là manifestement tentative de manipulation !
Toutes les activités humaines s'expriment par des discriminations précises, quand il s'agit du choix de sa compagne, de ses amis, de ses goûts, même nos sensations, nos perceptions sont discriminantes et plus encore notre intellect. 
Donc, condamner toutes discrimination, équivaudrait à ramener nos concitoyens à la condition de débiles influençables et soumis, incapable de s'auto déterminer personnellement dans ses choix. 
La discrimination se double d'un autre terme tout aussi arbitrairement condamné ; la ségrégation.

Sur la ségrégation ... 

D'après Larousse : " c'est l'action de mettre à part quelqu'un, un groupe, etc."
Là encore, la politique fonctionne aussi et surtout sur la ségrégation. Elle met à part et condamne tous ceux qui ne partagent pas ses convictions politiques.

Sur le plan relationnel, on met naturellement à distance ceux qui vous nuisent d'une manière ou d'une autre.
La ségrégation prend un sens si particulier, qu'elle devient prohibée par les manipulateurs politiques.

La politique est bien l'art d'empêcher nos concitoyens à s'occuper de leurs affaires et la meilleure façon est de tenter de contrôler leur mental par toutes sortes de subterfuges malhonnêtes.
Travestissement du vocabulaire, des faits, de leurs échecs et de leurs scandales politico-financiers. La finalité de toutes ces manœuvres est évidemment de s'approprier le pouvoir avec tous ses privilèges statutaires qui cumulent avec l'exercent une quasi dictature entre deux élections !
Une politique qui pilote des masses en méprisant les individus qui la composent !  
L'accession à la lucidité est un chemin chaotique et beaucoup de nos concitoyens finissent par décrocher en taisant leurs légitimes revendications et en s'enfonçant dans le fatalisme sous l'influence de la mentalité musulmane. 

On a du respect pour des personnes qui assument la responsabilité de ses actes, il en va tout autrement avec des musulmans, dont la religion préconise la "takiya", c'est à dire le mensonge envers les non musulmans.

Comment respecter les musulmans, quand ils affirment avec véhémence que tout ce qu'ils font, c'est Allah qui l'a voulu.  Ils ne sont donc responsables de rien !

Les politiques ne sont-ils pas déjà contaminés, car lorsqu’ils sont au pouvoir ils ne sont jamais responsables de leurs échecs. C'est invariablement les autres qui le sont !  Il est regrettable que la culture française soit de plus en plus contaminée par cette religion irresponsabilisante qui laisse toute liberté à nos représentants politiques pour nous imposer leur volonté !  

RF

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