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24/05/2014

VOILA POUR QUI VOUS ALLEZ VOTER, OU VOUS AUREZ VOTE !

TOUJOURS DANS LE CHAPITRE "VIGILANCE"

Pas étonnant que notre dette augmente à longueur de temps, pour pouvoir rémunérer tous ces représentants européens qui se contentent d'émarger sur un registre tous les matins. Heureusement qu'ils n'utilisent pas leurs sièges, car il nous faudrait encore payer l'entretien de ceux-ci.

Parlement européen en séance.....  
selon l'horloge pointeuse ils sont tous présents....

En réalité = ils sont venus pointer le matin et repartis aussitôt à leurs petites affaires personnelles !

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                                        Parlement européen en séance.

      Ces photos doivent circuler... une fois et une autre... et encore....

PRODUCTIVITÉ AU PARLEMENT EUROPÉEN...

         ET DES ÉMOLUMENTS DE 12.000 EUROS PAR MOIS !

 

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                                                                         12.000 PAR MOIS

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                                                                     12.000 PAR MOIS

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                                                                    12.000 PAR MOIS

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12.000 PAR MOIS

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 12.000 PAR MOIS

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 12.000 PAR MOIS

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 12.000 PAR MOIS

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                     12.000 PAR MOIS

 

 IL FAUT QUE CELA CIRCULE une fois,

mille fois,

des millions de fois !

ET ON NOUS INVITE AVEC INSISTANCE A VOTER POUR CELA !

CE NE SONT PAS EUX LES IDIOTS C'EST NOUS ...

14/05/2014

L’illogisme de la justice dans la sanction de la criminalité !

balance jutice.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je vous propose aujourd'hui un moment de réflexion sur un sujet grave ...

Au nom de la justice est-il "normal " que seul le criminel peut s'arroger la liberté de tuer alors que la société elle, se l'interdit ?

- Dans le secteur du crime, est-il admissible qu'un criminel qui assassine un individu soit plus condamnable qu'un autre, un serial killer, qu'on fait passer dans la catégorie des malades mentaux ?
- Est-il normal qu'un crime passionnel ait des circonstances atténuantes ?
- Est-il normal qu'un assassin mineur bénéficie, en fonction de son âge, lui aussi, de circonstances atténuantes avec des peines allégées

Meurtres: licites ou interdits ?

Pour tuer intentionnellement, il faut s'assurer au préalable, de prendre un certain nombre de précautions :
- Être  mineur pour atténuer la sanction,
- Tuer plusieurs personnes sans motifs rationnels, pour bénéficier d'un traitement psychiatrique temporaire et éviter ainsi la prison.
Ce n'est pas la mise à mort qui est sanctionnée: c'est son motif qui l'est !
Tuer un homme, on devient assassin, en tuer plusieurs en période de guerre et cette fois, le tueur est érigé en héros, admiré de tous et médaillé par nos institutions.
Et pourtant, le soldat prémédite son ou ses meurtres. Il devient un homme de main, qui exécute ses victimes qu'il ne connait pas et qui ne lui ont personnellement affligé aucun préjudice ! Ces meurtres sont curieusement exécutés sans problème de conscience. Tuer n'est rien: seuls semblent importer les référents moraux qui s'y rattachent et qui varient dans de larges mesures suivant le type de culture, de religion, le niveau culturel et intellectuel, le contexte historique, la situation du moment... etc.
Si la préservation de la vie n'est pas un principe absolu, alors nous sommes condamnés à l'arbitraire circonstanciel...

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En apparence, la Constitution reconnait le droit à la vie, et interdit la peine de mort:
Article II-61
1. Toute personne a droit à la vie.

2. Nul ne peut être condamné à la peine de mort, ni exécuté 

Peine de mort en cas d'émeute, d'insurrection, ou de "menace de guerre"

Mais dans le paragraphe 3-a de l'article 2 de l'annexe 12 (intitulée "Déclaration concernant les explications relatives à la Charte des droits fondamentaux", section A de l'acte final de la partie IV), on peut lire une "explication" qui limite sérieusement la portée de l'article II-61: "Les définitions «négatives» qui figurent dans la CEDH doivent être considérées comme figurant également dans la Charte:

a) l'article 2, paragraphe 2 de la CEDH:

«La mort n'est pas considérée comme infligée en violation de cet article dans les cas où elle résulterait d'un recours à la force rendu absolument nécessaire:

a) pour assurer la défense de toute personne contre la violence illégale;

b) pour effectuer une arrestation régulière ou pour empêcher l'évasion d'une personne régulièrement détenue;

c) pour réprimer, conformément à la loi, une émeute ou une insurrection

b) l'article 2 du protocole n° 6 annexé à la CEDH:

«Un État peut prévoir dans sa législation la peine de mort pour des actes commis en temps de guerre ou de danger imminent de guerre; une telle peine ne sera appliquée que dans les cas prévus par cette législation et conformément à ses dispositions»."
Ces limitations contestables instaurées par la CEDH (Convention Européenne des Droits de l'Homme) se trouvent ainsi constitutionnalisées.

En clair, les droits fondamentaux établis par la Charte ne s'appliquent pas en cas d'insurrection ou d'émeute. Mai 1968, une grève générale, une occupation d'usine ou une manifestation peuvent être assimilés à une insurrection ou une émeute, et peuvent donc servir de prétexte à l'annulation des droits civiques.
La Charte ne s'applique pas non plus en temps de guerre ou en cas de "danger imminent de guerre", ce qui est une définition très subjective et qui ouvre la porte à tous les abus. Demain, un Bush européen (Hollande ?) pourrait utiliser comme prétexte une "guerre contre le terrorisme", ou un "danger de guerre" pour ne pas appliquer la Charte.

Après ce nouveau traficotage juridique de la CEDH !

Alors, quel serait le bon modèle pour la sanction criminelle
?

Celui de la nature ?

Faut-il se référer à la nature dont nous sommes issus ? Si oui, la condition de la vie d'organismes quels qu'ils soient, implique la mise à mort d'autres organismes. Cette nature tant vénérée est donc impitoyable, car la vie se nourrit de la mort.
Elle privilégie le plus fort, au détriment du plus faible car la finalité de la nature, c'est moins de protéger l'individu que l'espèce à laquelle il appartient, sacrifiant l'individu le plus faible au profit du plus fort, afin de renforcer dans cette compétition évolutionniste les espèces les plus performantes.
Le sport et sa compétition obéissent au même principe dans un canevas "moral" consensuel solidement établi.
Déjà, dès la fécondation, la compétition de millions de spermatozoïdes est sans "pitié" pour atteindre l'ovule,  seul le plus fort l'emportera, les autres mourront... De cette manière nous sommes tous des champions à la naissance, malheureusement la compétition sociale continue et le système se perpétue en victimisant des millions de personnes économiquement, pour qu'une minorité vive dans l’opulence et les privilèges.
Seule la mort rétablit le principe d'égalité absolu : tout le monde passe, sans exception, d'une vie au néant, sauf pour les croyants qui espèrent une compensation dans l'au-delà, à une vie de malheur !     

La bivalence morale ?

Les structures morales se renforçant avec l'éducation, elles favorisent une évolution vers l'humanisme, c'est à dire l'échappement à la puissance originelle des instincts primitifs, par la manifestation d'une certaine compassion pour autrui.
Il existe aussi un effet pervers de la morale, quand elle représente notamment la somme des préjugés du siècle passé. Un arbitraire conservateur qui s'oppose souvent par la violence, jusqu'à la mise à mort.
La théologie médiévale faisait un large usage des bûchers pour sauver l’âme des déviants ou des mécréants au nom d'un Dieu "miséricordieux ".
Quoi qu'il en soit, il est de bon ton "moralement" de condamner la peine de mort pour les assassins. De ce fait, cette crainte suprême n'existant pratiquement plus, les crimes tendent à augmenter. Cette fois encore la morale trébuche sur la tolérance et finit par se vautrer dans le laxisme.  Ce laisser faire, préserve la vie de l'assassin multirécidiviste, mais condamne à mort ses prochaines victimes. Un meurtre ou plusieurs, la sanction est plafonnée à plusieurs années de prisons, dont on déduira les remises de peines pour des raisons diverses. Certains plus habiles se feront passer pour des malades mentaux, promis à une sortie prochaine en cas de "guérison" Oh combien subjective ! Dans ce cas, la récidive ne vient-elle pas de l'insuffisance de la dissuasion de la sanction ?     

Le retour aux instincts
?
De nos jours, par un retour de balancier, toujours en quête d'un modèle idéal, on tend à considérer que notre sacro-sainte liberté doit s'identifier au retour au "naturel", entendez par là, la libre expression de nos instincts : agressivité relationnelle, sexualité tous azimuts, le retour à la "bouffe" avec ses innombrables émissions TV sur la cuisine. N'est-ce pas là le signe d'une société qui régresse au stade oral, une société qui compense ses problèmes existentiels par la satisfaction des plaisirs oraux, à l'image du bébé à qui on donne le biberon dès qu'il pleure ? Ce réflexe perdure et se réactive par conditionnement, à chaque fois que nos concitoyens plongent dans la morosité. C'est ainsi que le plaisir oral compense nos frustrations quotidiennes.  
La baisse de vitalité d'un instinct, par exemple sexuel, au cours du vieillissement est lui aussi, compensé par la suractivité d'un autre, comme celui de la quête du plaisir alimentaire...
Etonnez-vous donc, si nous avons autant d'obèses dans notre société et de personnes souffrant de pathologies dégénératives et de cancers...
  
En conclusion, la mince couche corticale du cerveau a la faculté de modérer les instincts destructeurs, de les atténuer, mais non de les faire disparaitre. L'individu surpris, menacé et en danger, revient immédiatement à la réactivité instinctive, violente, immodérée et destructive.
Le danger doit-il être réel ? Pas nécessairement,  la peur, la rancune, le besoin de vengeance conduisent également à la dominance instinctive.
La justice punit, considérant que chaque individu doit garder son libre arbitre en toutes circonstances. Il ne faut certes pas être en situation pour penser de manière aussi utopique.
Notre célèbre Arthur Rimbaud qui maitrisait parfaitement le langage et son mode d'expression littéraire avec talent, avouait qu'il était, notamment dans ses actes sadiques vis à vis de son ami Baudelaire, le jouet d'instincts irrépressibles. Cet aveu de lucidité éphémère se résume dans sa formule: "Je  est un autre " ... Il n'acceptait pas d'être ce qu'il était, mais il y cédait avec plaisir, même quand il avouait: "c'est plus fort que moi" en affectant par ce subterfuge, de passer à son tour pour une victime, pour réduire sa culpabilité.  

Que doit-on penser du manque de maitrise, chez certains, de leurs pulsions meurtrières ?.
..
Ce manque de maitrise et le passage à l'acte, soit impulsif ou longuement prémédité, par une juxtaposition continue de frustrations qui exige une vengeance, font que dans  ces deux cas les fonctions: cognitives, morales, intellectuelles, culturelles, etc.  sont incapables d'inhiber ou d'éviter par la compréhension l'acte meurtrier ...
Nos philosophes se sont penchés tout au long de notre histoire sur la maitrise de l'animalité qui séjourne dans tout humain.
Même Descartes, très rationnel dans son "Cogito Ergo Sum " je pense donc je suis... se disait pensant, sans dire pour autant ce qu'il entendait par: "je suis" ou par ce qu'il pensait être !  
Le connais-toi toi-même de Socrate demeure une fiction, car on ne peut à la fois être à la fenêtre et se regarder passer ....
Ce qu'on connait de soi-même, c'est finalement l'image que nous renvoient les autres, de la manière dont ils nous perçoivent ...  
Laissons donc conclure sur ce point Sartre, notre existentialiste démissionnaire:
" l'enfer...c'est les autres ! "

Confrontés à un meurtre les proches de la victime seraient pour la loi implacable du talion, alors que ceux qui ne sont pas concernés directement, font appel aux sentiments humanitaires et à une relative tolérance. Ceci est un dilemme permanent, qui fait que quel que soit le jugement, la justice ne pourra jamais satisfaire ni le parti des victimes, ni celui des assassins, puisque tous les jugements relèvent  du subjectivisme, une éternelle plate forme de la discorde humaine.
Le problème de la peine suprême, n'est pas prêt d'être réglé quand elle n'existe injustement que pour les victimes...
Pour conclure: nous sommes bien évidemment contre la peine de mort, quand ce ne sont pas nos proches qui sont les victimes d'un meurtrier multirécidiviste ...

RF

 

11/05/2014

Esbroufe, pub, superficialité ou naïveté ?

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 Une nouvelle escouade de la Courneuve pour la tranquillité publique !

" Regards" à sens unique !

 Cette photo s'apparente à la technique de M.kouchner en Somalie avec son sac de riz sur l'épaule devant les caméras des journalistes!

 

 
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Nous supposons que beaucoup de lecteurs de "regards" se poseront sans doute, eux aussi des questions, sur le sens de cette quête de problèmes par un maire vélocipédiste suivi de 5 ou 6 personnes. Heureusement qu'il n'a pas fait cette inspection dans sa luxueuse voiture de fonction ... Le vélo fait évidemment  plus populaire ;-) 

Si hors de toute démagogie, le maire cherche les problèmes à régler à la Courneuve, ce n'est pas à vélo qu'il les trouvera. C'est  en rencontrant notamment les citoyens d' ARC4 en dehors des fêtes de quartiers où ils sont abreuvés de bonnes intentions et de promesses très rarement tenues.  Ils lui fourniront d'innombrables exemples de cas à traiter d'urgence.
Donc inutile de pédaler sur un petit vélo pour donner l'apparence que le maire s'occupe de nos véritables problèmes, autrement plus importants que de montrer du doigt ce qui semble apparaitre un détail dans une façade, qui doit être très important pour faire l'objet d'une si grande photo !

ARC4 n'a jamais cessé de vouloir coopérer avec la mairie et la police. Si cette coopération est effective avec la police elle ne l'est toujours pas avec la Mairie !
- Est-ce parce que nous sommes indépendants des partis ?
- Que nous ne sommes pas encartés dans le parti conjoncturellement dominant dans les suffrages exprimés ?
Quand à la légitimité réelle, le maire devrait s'inquiéter, car le premier parti de La Courneuve est sans conteste celui
des abstentionnistes et des indépendants, qui ont bien signifié qu'ils en ont marre du sectarisme et de la ségrégation politique
!
Le taux des abstentionnistes majoritaires, illégitime donc statistiquement la représentativité du maire.
S'ajoute à cela, malgré les apparences, les dissensions politiques entre les socialistes et les communistes. Que dire encore de tous les autres partis qui font du tapissage au conseil municipal et qui servent de prétexte démocratique à la minorité qui dirige La Courneuve.
Que représente, stricto sensu, en pourcentage des inscrits, le maire, représentant le parti communiste qui tient son pouvoir, dit-on, surtout des associations qu'il finance ?...

La véritable démocratie impérative un choix, découlant d'arguments contradictoires et n'excluant personne quelle que soient les opinions politiques. Or ce n'est absolument pas le cas à la Courneuve ! Revoyez notre article dans ARC4.hautetfort.com sur la critique de la conception de la démocratie affichée au fronton de la maison de la citoyenneté. Il ne suffit pas d'afficher la définition d'un dictionnaire quelconque, encore faut-il la comprendre et mesurer ses conséquences !      

La question est d'urgence de savoir si le Maire est au service de son parti et de ses militants ou s'il est au service de tous les Courneuviens. Dans ce dernier cas, nous avons des propositions à lui faire pour qu'enfin le parti majoritaire de La Courneuve, les abstentionnistes puissent être aussi représentés et contribuer comme dans une réelle démocratie, dans les décisions qui sont faites abusivement en leurs noms, sans qu'ils en soient consultés que tous les 6 ans.         

Seul le Maire parait satisfait de son sort à la Courneuve et ce n'est pas le cas de la majorité des Courneuviens réduits au silence face à ce maire qui semble faire la sourde oreille aux critiques que nous formulons. 
La Courneuve va très mal sur le plan, notamment de l'insécurité et nous attendons toujours une publication significative sur l'extension des zones de sécurité ARC4 dans Regards. Encore une promesse non tenue en public.
La sécurité est le premier besoin de notre société or, nous déplorons encore aujourd'hui un assassinat de plus dans notre ville...
C'est un fait difficilement supportable de voir le Maire s'exciter sur des détails, alors que tout se dégrade autour de lui !
Il faut également s'interroger sur l'utilité de ses visites de quartier avec sa petite cour, quand à titre d'exemple, il a fallu près d’1 an et demi pour évacuer  une camionnette volée le long du trottoir face au magasin Sakthi, qui fait de la résistance en continuant de s'approprier indûment le trottoir gratuitement, comme une zone de stockage annexe de son magasin.
Cette voiture bernique, collectait sur son pare-brise des quantités de PV en plus de bons d'enlèvements et les riverains étaient contraints de stationner sur des zones interdites et payaient des PV à cause d’une voiture épave qui prenait deux places de stationnement. Malgré d'innombrables plaintes elle n'était pas enlevée. La voiture a été finalement retirée, quand des riverains excédés, ont menacé, pour régler le problème, de la déporter sur la RN2 !
Décidément, le pouvoir de nuisance l'emporte sur la loi qui se fourvoie piteusement dans la tolérance, alors qu'il s'agit de laxisme et d'une véritable démission de l’autorité de notre ville. Vous savez où tout cela nous mène ?

 Quand on ne peut faire respecter l'interdiction de la drogue qui détruit ou tue, on la légalise !
 Idem pour des petits délits, certains policiers reculent dans l'application stricte de la loi et s'attribuent le privilège d'ignorer un délit en disant : " il faut être tolérant" et peu importe si la loi n'est pas appliquée de manière indifférenciée en toute justice.
 
Encore un exemple à titre indicatif, car ils sont très nombreux, concerne les barrières à l'angle de la rue  J.P.Timbaud au niveau du bar de l'Europe, qu'il suffisait d'avancer d'une vingtaine de centimètres sur le bord du trottoir, pour régler le chevauchement des voitures sur le trottoir qui gênaient en permanence la circulation importante à ce carrefour.  
Après le constat du maire lors de sa visite de quartier, il a fallu attendre encore, de nouveau plus d'un an, pour qu'enfin ce travail élémentaire soit fait, après d'incessantes sollicitations de nos concitoyens.

C'est un constat incontournable, l'administration ne bouge que si on la pousse et cette lourdeur administrative est pénible, car elle estime qu'elle fait son travail quand on ne lui demande rien. Mais quand elle doit faire son travail, les excuses pour rendre responsable leur hiérarchie ou pour ne rien faire ne manquent pas. Cette administration conservatrice, inertielle est vraiment un frein pour toutes initiatives nouvelles qui remettraient en question leur fonctionnement routinier. 

Certes, nous trouvons sympathique M. le Maire, mais est-ce une qualité suffisante pour gérer équitablement notre ville dans la diversité de ses sensibilités politiques ?
Nous l'invitons pour être plus crédible à parler un peu moins et d'agir plus concrètement en répondant davantage aux problèmes réels des Courneuviens. Que le maire souffre donc, que nous dénoncions ce qui nous parait comme superficiel, pour ne pas dire fallacieux à l'image de sa pérégrination publicitaire à vélo !
Ce qui parait important, ce n’est certes pas ce que dit le maire ou ses promesses souvent illusoires, mais ce qu'il fait de manière tangible pour les Courneuviens surtout contre l'insécurité, qui fort heureusement, semble plus préoccuper son rival M.Troussel .

N'est-il pas temps que notre ville s'ouvre enfin à la réelle démocratie, car présentement ce n'est pas du tout le cas.
Les abstentionnistes préfigurent la mort des partis traditionnels sectaires et l'avènement de personnes aptes à juger sur des faits en toute objectivité sans la tutelle aliénante d'un parti dictatorial. 

Les promesses des élus sont comme des bulles de savon qui sitôt gonflées éclatent, donc il est inutile que le maire cherche à se faire mousser par une recherche cycliste de problèmes, dans une comédie qui ne trompe personne,  en tout cas pas ceux qui s’inquiètent et réfléchissent  sur les raisons des problèmes Courneuviens !

RF