31/07/2013
C'EST LA GUERRE ET ILS NE LE SAVENT PAS !
Jusqu'où les citoyens Français vont-ils reculer face aux délinquants, aux voyous, toute cette chienlit qui prospère en raison de leur impunité persistante ?
Trappes : quand ils appellent à égorger la police…
Le 20 juillet 2013
La ville de Trappes aura rarement si bien porté son nom. Ce vendredi 19 juillet fut l’occasion de quelques festivités sous la lourde chape d’un été cuisant.
La veille, et d’après les sources officielles, la police entendait contrôler l’identité d’une femme en niqab, qui leur avait aussitôt rétorqué qu’elle ne reconnaissait pas la loi de la République, laissant à son mari le soin de s’occuper avec vigueur des agents ; il en frappa un (le procureur de la République fait même état d’une tentative d’étranglement) puis fut accablé d’un mandat de dépôt.
Le lendemain, à 20h30, c’est une foule hostile qui se massa autour du commissariat. De 200 à 400 individus qu’une dizaine de fourgons de CRS, un hélicoptère et de nombreux policiers tentèrent de contrôler. Caillassages, incendies de poubelles, tirs de mortier et de flash-ball se succédèrent durant cette soirée houleuse.
Une autre version des faits bien différente, celle de la femme contrôlée, est relayée par Marwan Muhammad du CCIF.
Une chose demeure toutefois aussi certaine qu’importante : sur Twitter, certains gamins se réjouissent sans complexe des tourments de Trappes, exprimant leur soutien au rassemblement ainsi que le regret de ne pas être eux-mêmes présents sur place afin d’attiser plus encore l’implacable feu de la violence quotidienne qui saisit chaque occasion de se faire plus dévorante qu’à l’accoutumée. Quelques jeunes hommes appellent à égorger la police, quelques jeunes filles déplorent de ne pas être là pour participer au caillassage.
Cette commune ancienne qui en a tant vu, et que Saint Louis honora plusieurs fois de sa visite, s’est muée en une banlieue sinistre où la délinquance s’épanouit comme l’abcès grandissant. Jules César saluait déjà de son temps le bellicisme de ses habitants. Le bougre n’en parlerait peut-être pas avec autant d’enthousiasme aujourd’hui.
Trappes est de ces villes de la « Ceinture rouge » 1 où les gares sentent la crasse et les rues le danger. Elle fait partie de ces lieux d’apparence irrécupérable où le conflit se dessine sous de tristes préludes, que les gens ont honte de craindre mais qu’ils contournent avec une timidité coupable et dans lesquels ils ne se rendent que lorsque l’impérieuse nécessité les y contraint. Précaution et profil bas en sont les règles terrifiantes. 61 % des habitants qui survivent dans cette commune mouroir sont issus de l’immigration et l’on n’y affectionne pas l’assimilation outre mesure. Un Bronx français comme l’Hexagone en compte de plus en plus et dont les quais imbibés de pisse sont les éternels spectateurs des bastons et des invectives.
Cette ville aussi séduisante qu’un gouffre sans fond était décrite par son maire Guy Malandain comme l’une des plus « difficiles de France », il y a quelques années déjà. On le croit volontiers. La plaie s’infecte et rien n’annonce des jours meilleurs.
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08/07/2013
4200 RADARS SUR NOS ROUTES !

Enfin un motif de satisfaction pour le gouvernement ! ;-)
L'insécurité routière rapporte beaucoup d'argent, malheureusement malgré ces mesures coercitives drastiques, les accidents de nouveau, augmentent...
En ce qui concerne les crimes et les délits il faut fournir un travail important sans compensations financières comme celles que fournissent les radars..
Encore de beaux jours en perspective pour les voyous !
Sécurité routière: 4.200 radars sur les routes françaises à la fin de l'année !

Un radar automatique sur une route nationale près de Nantes, le 6 novembre 2010. JS EVRARD/SIPA
ROUTES - Une centaine de radars routiers seront mis en service d'ici à la fin de l'année...
Une centaine de radars routiers seront mis en service d'ici à la fin de l'année pour atteindre un total définitif de 4.200 appareils, affirme Frédéric Péchenard, le délégué à la sécurité routière, dans un entretien publié vendredi par Aujourd'hui en France/Le Parisien. «D'ici la fin de l'année nous aurons atteint le chiffre de 4.200 radars», assure Péchenard. «Ce sera leur nombre optimum», ajoute-t-il.
Pour le délégué à la sécurité routière, l'objectif du gouvernement est de «passer sous la barre des 2.000 morts par an à l'horizon 2020», alors que «l'an dernier, 3.645 personnes ont perdu la vie» sur les routes. Frédéric Péchenard explique toutefois que les radars seront modernisés.
Plus d'un jeune sur deux utilise son portable au volant
«Les vieux modèles seront progressivement remplacés par des radars plus intelligents, plus efficaces», dit-il en citant notamment «les radars tronçons, qui permettent de calculer la vitesse moyenne d'un automobiliste sur une portion de 1 à 20 km». «Nous allons mener une campagne de prévention contre les distracteurs au volant, notamment l'envoi de SMS», a-t-il encore indiqué. «On estime que dans 10% des accidents mortels l'usage du téléphone a pu jouer un rôle».
Le quotidien précise que, selon la sécurité routière, plus d'un jeune sur deux utilise son portable au volant et que 63% d'entre eux affirment consulter ou rédiger des SMS en conduisant. Or, rédiger un SMS en conduisant multiplie par 23 le risque d'avoir un accident, estime la délégation à la sécurité routière.
18:43 Publié dans ACTUALITE, AVIS SUR LA POLICE, INFORMATIONS | Lien permanent | Commentaires (0)
NOUVELLE FLAMBEE DES CAMBRIOLAGES
Rien ou pratiquement rien, car les crimes et les délits continuent d'augmenter !
RF
En douze mois, ce fléau a bondi de 6,8 % en zone police et de 14 % dans les secteurs contrôlés par la gendarmerie.
Le nombre des vols à domicile, dans les commerces ou les entreprises n'en finit plus de flamber. Alors que Le Figaro révélait en février dernier que la France était le théâtre d'un cambriolage toutes les 90 secondes, avec pas moins de 352.600 faits constatés en 2012, l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) enfonce le clou dans son dernier état des lieux. Ainsi, de juin 2012 à mai 2013, ce fléau, qui vire au casse-tête pour les forces de l'ordre, a bondi de 6,8 % en zone police et a même explosé de 14 % dans les secteurs ruraux et périurbains contrôlés par la gendarmerie.
Durant cette période, la police a constaté près de 140.000 cambriolages de locaux d'habitations principales. À titre de comparaison, ce nombre avait été mesuré à moins de 97.000 entre les mois de juin 2007 à mai 2008. «En cinq ans, il s'est élevé de plus de 43 %», établissent les criminologues de l'ONDRP.
Ces derniers chiffres sont d'autant plus inquiétants qu'ils ne décrivent que la partie émergée de l'iceberg. Celle qui est portée à la connaissance de la police et de la gendarmerie. Or, une enquête de victimation menée par l'ONDRP auprès de quelque 17.000 ménages français sur une période de cinq ans, entre 2007 et 2012, laisse apparaître que seuls 70 % à 80 % des cambriolages de résidences principales font l'objet d'une plainte. Ce taux atteint péniblement les 30 % lorsqu'il s'agit de vols avec effraction.
Plusieurs causes peuvent éclairer l'envol des cambriolages, qui ont pris une dimension industrielle. La première d'entre elles est certainement liée à l'activité frénétique de gangs internationaux spécialisés dans ce que les experts appellent des «raids éclairs» à travers le pays.
Clôtures découpées, portes-fenêtres levées à l'aide de tournevis, propriétaires de jolies voitures repérés sur les parkings et suivis jusqu'à leur domicile: les modes opératoires de ces petites mains venues des pays de l'Est sont devenus très variés. Capables de sévir dans un périmètre de plusieurs centaines de kilomètres en une seule nuit, ils commettent jusqu'à une demi-douzaine de vols avec effraction avant de se projeter à l'autre bout du pays. À cela se greffe une délinquance locale multipliant les irruptions dans les pavillons ou les appartements pour s'acheter de l'alcool ou des stupéfiants, mais aussi l'arrivée de certains groupes criminels dépêchés d'Italie pour écumer notamment le Rhône, le Vaucluse ou encore le Gard.
Plus aucune parcelle du territoire n'est sanctuarisée. Villas, résidences tout comme les commerces sont ciblés un peu partout. Ainsi, à Arc-et-Senans, bourg du Doubs peuplé de 1428 âmes, les commerçants, mais aussi les élus, les artisans et les habitants étaient descendus dans la rue au printemps dernier pour exprimer leur ras-le-bol après une surprenante vague de cambriolages, dont ils s'imaginaient jusqu'ici épargnés.
Selon l'ONDRP, le préjudice moyen d'un cambriolage s'élève à 3600 euros, sachant que 55 % des «visites» indélicates se soldent par la disparition des bijoux. Les autres biens le plus souvent dérobés sont le «matériel hi-fi, photo, vidéo» (47 %), de l'«argent liquide, des chèques, des cartes bancaires» (36,7 %) et du «matériel informatique» (26,1 %). Une fois sur deux, les voleurs passent à l'action entre 14 et 17 heures.
En attendant de consolider ses chiffres, l'Observatoire de la délinquance brosse au travers de sa dernière livraison un tableau assez sombre sur les tendances de la prédation. De fait, les vols contre des particuliers dans des lieux publics, commis avec ou sans violence, sont en hausse de 13 % en zone police entre juin 2012 et mai 2013. Avec notamment 9500 vols à la tire supplémentaires constatés en douze mois.
Dans le même temps, les autres vols simples contre des particuliers dans les lieux publics ont progressé de 6 % (+ 14.586 faits!). Et le nombre des vols violents sans arme contre des femmes a crû de 8 %. Soit une dizaine d'agressions de plus chaque jour !
18:14 Publié dans ACTUALITE, AVIS SUR LA MAIRIE, AVIS SUR LA POLICE, CONSTAT INSECURITE, INFORMATIONS | Lien permanent | Commentaires (0)