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05/08/2013

TAPAGE NOCTURNE

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 DERNIERE HEURE :

Dans la nuit de samedi 3 au dimanche 4 Août, résidence BEATRICE, 88/92 avenue P. Vaillant Couturier à La Courneuve, un habitant a été l'auteur d'un tapage nocturne JUSQU'A 5h15 du matin.

Des courneuviens pourtant éloignés de cette résidence, ont appelé la police qui est intervenue, assez rapidement et avec succès, pour faire cesser ce tapage qui incommodait fortement les habitants du quartier, avenue P.V.Couturier, rue Colbert notamment.

Deux personnes du voisinage, à 4h30 du matin, dans un esprit de conciliation, ont tenté de ramener à la raison cet individu peu soucieux de la tranquillité de ses voisins, en l'appelant de la rue, car il était au 3è étage de l'immeuble donnant sur l'avenue.
Pour toute réponse, il a jeté par la fenêtre des capsules de bouteilles. Il y en avait une trentaine au sol quelques heures plus tard...

ARC4 est pour le dialogue et ne fait appel aux forces de l'ordre que lorsque ceux qui commettent ces exactions persistent dans leur attitude asociale.

Apparemment, d'après la personne du commissariat qui nous a répondu, c'était

UNE NUIT DE TAPAGES !

Les policiers sont intervenus et nous avons, enfin, peu avant 6h du matin, commencer une nuit bien courte !

31/07/2013

C'EST LA GUERRE ET ILS NE LE SAVENT PAS !

Jusqu'où les citoyens Français vont-ils reculer face aux délinquants, aux voyous, toute cette chienlit qui prospère en raison de leur impunité persistante ?

Trappes : quand ils appellent à égorger la police…

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Le 20 juillet 2013

La ville de Trappes aura rarement si bien porté son nom. Ce vendredi 19 juillet fut l’occasion de quelques festivités sous la lourde chape d’un été cuisant.

La veille, et d’après les sources officielles, la police entendait contrôler l’identité d’une femme en niqab, qui leur avait aussitôt rétorqué qu’elle ne reconnaissait pas la loi de la République, laissant à son mari le soin de s’occuper avec vigueur des agents ; il en frappa un (le procureur de la République fait même état d’une tentative d’étranglement) puis fut accablé d’un mandat de dépôt.

Le lendemain, à 20h30, c’est une foule hostile qui se massa autour du commissariat. De 200 à 400 individus qu’une dizaine de fourgons de CRS, un hélicoptère et de nombreux policiers tentèrent de contrôler. Caillassages, incendies de poubelles, tirs de mortier et de flash-ball se succédèrent durant cette soirée houleuse.

Une autre version des faits bien différente, celle de la femme contrôlée, est relayée par Marwan Muhammad du CCIF.

Une chose demeure toutefois aussi certaine qu’importante : sur Twitter, certains gamins se réjouissent sans complexe des tourments de Trappes, exprimant leur soutien au rassemblement ainsi que le regret de ne pas être eux-mêmes présents sur place afin d’attiser plus encore l’implacable feu de la violence quotidienne qui saisit chaque occasion de se faire plus dévorante qu’à l’accoutumée. Quelques jeunes hommes appellent à égorger la police, quelques jeunes filles déplorent de ne pas être là pour participer au caillassage.


Cette commune ancienne qui en a tant vu, et que Saint Louis honora plusieurs fois de sa visite, s’est muée en une banlieue sinistre où la délinquance s’épanouit comme l’abcès grandissant. Jules César saluait déjà de son temps le bellicisme de ses habitants. Le bougre n’en parlerait peut-être pas avec autant d’enthousiasme aujourd’hui.

Trappes est de ces villes de la « Ceinture rouge » 1 où les gares sentent la crasse et les rues le danger. Elle fait partie de ces lieux d’apparence irrécupérable où le conflit se dessine sous de tristes préludes, que les gens ont honte de craindre mais qu’ils contournent avec une timidité coupable et dans lesquels ils ne se rendent que lorsque l’impérieuse nécessité les y contraint. Précaution et profil bas en sont les règles terrifiantes. 61 % des habitants qui survivent dans cette commune mouroir sont issus de l’immigration et l’on n’y affectionne pas l’assimilation outre mesure. Un Bronx français comme l’Hexagone en compte de plus en plus et dont les quais imbibés de pisse sont les éternels spectateurs des bastons et des invectives.

Cette ville aussi séduisante qu’un gouffre sans fond était décrite par son maire Guy Malandain comme l’une des plus « difficiles de France », il y a quelques années déjà. On le croit volontiers. La plaie s’infecte et rien n’annonce des jours meilleurs.

08/07/2013

4200 RADARS SUR NOS ROUTES !

Enfin un motif de satisfaction pour le gouvernement ! ;-)
L'insécurité routière rapporte beaucoup d'argent, malheureusement malgré ces mesures coercitives drastiques, les accidents de nouveau, augmentent...  
En ce qui concerne les crimes et les délits il faut fournir un travail important sans compensations financières comme celles que fournissent les radars..
Encore de beaux jours en perspective pour les voyous !


RF
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Sécurité routière: 4.200 radars sur les routes françaises à la fin de l'année !

Créé le 21/06/2013 à 09h02 -- Mis à jour le 21/06/2013 à 11h17
 
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Un radar automatique sur une route nationale près de Nantes, le 6 novembre 2010. JS EVRARD/SIPA

ROUTES - Une centaine de radars routiers seront mis en service d'ici à la fin de l'année...

Une centaine de radars routiers seront mis en service d'ici à la fin de l'année pour atteindre un total définitif de 4.200 appareils, affirme Frédéric Péchenard, le délégué à la sécurité routière, dans un entretien publié vendredi par Aujourd'hui en France/Le Parisien. «D'ici la fin de l'année nous aurons atteint le chiffre de 4.200 radars», assure Péchenard. «Ce sera leur nombre optimum», ajoute-t-il.

Pour le délégué à la sécurité routière, l'objectif du gouvernement est de «passer sous la barre des 2.000 morts par an à l'horizon 2020», alors que «l'an dernier, 3.645 personnes ont perdu la vie» sur les routes. Frédéric Péchenard explique toutefois que les radars seront modernisés.

Plus d'un jeune sur deux utilise son portable au volant

«Les vieux modèles seront progressivement remplacés par des radars plus intelligents, plus efficaces», dit-il en citant notamment «les radars tronçons, qui permettent de calculer la vitesse moyenne d'un automobiliste sur une portion de 1 à 20 km». «Nous allons mener une campagne de prévention contre les distracteurs au volant, notamment l'envoi de SMS», a-t-il encore indiqué. «On estime que dans 10% des accidents mortels l'usage du téléphone a pu jouer un rôle».

Le quotidien précise que, selon la sécurité routière, plus d'un jeune sur deux utilise son portable au volant et que 63% d'entre eux affirment consulter ou rédiger des SMS en conduisant. Or, rédiger un SMS en conduisant multiplie par 23 le risque d'avoir un accident, estime la délégation à la sécurité routière.