15/09/2015
De l'immigration à l'invasion submersive !
- Derrière l'apparence de bons sentiments, de sordides motivations ...
NKM disait, il y a un peu moins de huit jours, que l’ATA (allocation temporaire d’attente) dépassait les 200 millions. Sans compter l’AME (Aide Médical gratuite d’Etat) qui approche le milliard et la CMU qui suivra.
En attentant nos gouvernants trouvent toujours dans la poche des Français l'argent pour d'exprimer leur pseudo prodigalité. Il ne s'agit pas de leur argent mais toujours celui des classes moyennes. Ils sont pour l'égalité des Français dans la pauvreté. Ils aiment tant les pauvres qu'ils les importent et pire ils les fabriquent.
L'immigration est plus qu'encouragée dans notre pays en pleine crise et ce n'est certainement par hasard, car le coup de l'immigration est chiffré par
Jean-Paul Gourévitch, expert international en ressources humaines dans une étude que nous publions, dit que l’Etat consent pour les immigrés 71,76 milliards d’euros dont il faut déduire les recettes de 45,57 milliards d’euros, soit un solde négatif de plus de 26 milliards annuellement, auquel s'ajoutent plus 10,81 milliards d'euros pour faciliter l'intégration des immigrés et de leurs enfants !
L’immigration serait selon cet expert mondialement reconnu, responsable des trois quarts du déficit public de la France". À quand l’audit officiel ?
Pour faire le compte, les Français les plus entreprenants très inquiets de l'anéantissement de notre pays, s'expatrient avec leurs milliards d’euros.
Ces transferts de populations ruinent gravement notre pays et détruisent ce qui reste de notre culture.
Alors, pourquoi ce baratin continuel des politiques qui favorisent l'immigration néo-esclavagiste soit pour ne pas avouer leur impuissance à lutter contre, soit pour cacher leur collaboration servile avec un mondialisme sous l'égide US !
De l'immigration
Présentement subir l'immigration est une obligation d'Etat ...
Les immigrés sont devenus une source de profit sans fond pour les néo-esclavagistes du mondialisme financier, jusqu'aux petits potentats locaux qui spéculent, eux aussi, sur un nouveau potentiel électoral, inculte et plus malléable.
Voilà donc évidemment à terme, ce qui bouste l'immigration au détriment de la population française, progressivement minorée culturellement par plus de 110 nationalités différentes qui exigent les mêmes droits que les authoctones, pour finalement obtenir par un processus morbide de culpabilisation, plus d'avantages .
La peur d'accusation d'antiracisme en cas de protestation, baillonne et paralyse nos concitoyens qui pour tenter de se ré-estimer, qualifient leur lâcheté de tolérance.
Ce tripatouillage du vocabulaire est ourdit par des politicards sans scrupule, qui ont au moins compris que le contrôle d'une population passe invariablement par la falsification du vocabulaire.
Au début fut le verbe dit Dieu, ensuite vint la manipulation verbale par les politiques avides du pouvoir qu'ils confisquent à leurs électeurs !
Revenons aux faits aussi têtus que l'immigration est persistante.
La venue de 24 000 réfugiés en provenance de l’Allemagne a été actée par le président de la République. Mais quel sera l’impact économique d’une telle décision ?
Suivant une proposition de la Commission européenne, François Hollande a indiqué que la France allait accueillir 24 031 nouveaux migrants sur deux ans - des réfugiés en transit depuis l’Allemagne - en plus des 9 000 autres déjà prévus.
Pour Michel Sapin, le coût sera de "quelques millions" ???
Pour l’instant, le coût d’une telle décision n’a pas été arrêté et pour cause .
Le coût au quotidien d’un demandeur d’asile
Un migrant qui se dit persécuté dans son pays et qui fait une demande d’asile touche une allocation temporaire d’attente (ATA) de 11 euros par jour pendant un à deux ans en moyenne, soit le temps que l’OFPRA statue sur son sort. "Seuls les adultes peuvent en bénéficier", précise à Planet.fr une responsable du Centre d’accueil de demandeurs d’asile (CADA) de Montreuil (Ile-de-France).
"Une fois que les demandeurs d’asile sont hébergés dans un CADA, l’ATA est remplacée par une allocation mensuelle de subsistance (AMS)", d’un montant compris entre 91 et 718 euros, explique ensuite la responsable. "Si le demandeur justifie une présence d’au moins 3 mois sur le territoire, il a le droit à la CMU et une réduction sur les transports de 75 %.", nous explique encore cette membre du CADA de Montreuil. Dans l’attente de l’instruction de son dossier, le demandeur ne peut pas travailler (sauf dérogation spéciale) mais a le devoir de scolariser ses enfants.
A lire aussi - Allemagne : une agence veut convaincre les migrants de venir en France
"Une fois leur demande d’asile acceptée par l’OFPRA, les réfugiés ont les mêmes droits qu’un Français, c’est-à-dire qu’ils peuvent travailler, être éligibles aux HLM, etc.", nous explique Alain Enam, avocat spécialisé dans le droit des étrangers. Par ailleurs, les réfugiés, bénéficiaires de la protection subsidiaire et les apatrides peuvent toucher le RSA sans délai. Pour les autres, il faut obligatoirement un titre de séjour permettant de travailler depuis au moins cinq ans. D’après les chiffres de la Caisse d’allocations familiales (CAF), dont France Info se fait l’écho, 190 000 étrangers extra européens ont touché l’an dernier le "RSA socle", soit un peu plus de 13 % de l’ensemble des bénéficiaires.
En avril dernier, un rapport de la Cour des comptes indiquait que la politique d’asile de la France ne serait "pas soutenable à court terme" avec un coût avoisinant les 2 milliards d’euros par an ! Les magistrats estiment même qu’elle est "au bord de l’embolie". Selon le document, "la politique d’asile est devenue la principale source d’arrivée d’immigrants clandestins en France."
La Cour des comptes chiffre à 13 724 euros le coût par demandeur d’asile, et un peu plus de 5 500 euros pour un débouté, tout en indiquant que "malgré l’obligation de quitter le territoire français qui leur est notifiée, seuls 1% des déboutés sont effectivement éloignés", la majorité restant "en situation irrégulière en France." Dans ses recommandations, la Cour des comptes préconisait notamment de "réduire le montant des allocations mensuelles versées aux demandeurs d’asile."
Conclusion
Voilà comment procède un Etat malhonnête pour rouler les Français et leur faire accepter n'importe quoi et ce qui est précédemment dit au dessus, est certainement bien en deçà de la réalité, d'autant qu'il n'est nullement question de l'immigration illégale fortement majoritaire, dans un pays affligé d"un taux de chômage record !
Par la démagogie de nos politiques, nous passons rapidement d'une immigration, à une invasion submersive, qui entrainera rapidement la paupérisation accélérée de la population française.
Peu importe le "baratin" politique, les chiffres témoignent à charge contre ces pseudos représentants, qui ne sont finalement préoccupés que par leurs intérêts personnels et plus encore surtout par leur carrière !
Durer, durer encore à n'importe quelle prix est, il faut être réaliste, l'obsession primordiale des "politicards" qui ont beau jeu face à la léthargie comateuse de nos concitoyens !
Dernière heure : les politiciens au pouvoir ne cessent de dire " il faut faire bouger les choses ", cette chosification des Français, réduits à des objets jetables après usage, révèle bien la mentalité exécrable et scandaleuse de nos pseudos représentants politiques !
RF
15:18 | Lien permanent | Commentaires (0)
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