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16/11/2015

Grave malaise récurent dans la police !

Une Analyse ARC4... 
les policiers en colère.jpg

 

 

 

 

 

 

 



Une réaction salutaire…
 

 Mais que se passe-t-il donc quand on ne peut ni fuir, ni lutter, face à une situation conflictuelle ?

Réponse : il en résulte des répercussions mentales dont certaines très graves avec ses conséquences : professionnelles, familiales, sociales, jusqu'à des raptus suicidaires, par exemple chez les policiers désespérés...

suicide policier.2.png
Flash info du 07-01-2015

 Ce n'est pas par hasard s'il y a un taux de suicides record dans la police !

L’année 2014, voit une accélération du nombre de suicides puisque le chiffre atteint 47 au 10 novembre 2014 et que pour cette année, il apparait déjà nettement supérieur au chiffre à la date 31 décembre 2013 !


Voici l'explication que donne  Philippe Capon Secrétaire Général de l'UNSA Police.
"cette accélération est due à une accumulation d’un certain nombre de points avec une politique du chiffre toujours en place dans une volonté de performance exacerbée, liée à une intensification des missions et de la stigmatisation des policiers dans leur vie de tous les jours, aussi bien professionnelle que personnelle."

Quant aux pouvoirs publics : 
Le ministre de l’Intérieur notamment, semble n’avoir jamais pris la mesure de l’ampleur du phénomène, dit-on dans la presse !

NB : pour résoudre un problème aussi grave, il importe de le comprendre et malheureusement, ce n'est absolument pas le cas chez les responsables de la police, ni au gouvernement, où la mort d'un immigré semble sur le plan politique infiniment plus importante que la mort de policiers dont les manifestations peuvent être, elles, contrôlées aisément ! 
Tout se passe comme si l'important ce n'est pas de faire, mais de paraitre avec son slogan directeur stéréotypé : " surtout pas de vagues", cachons ces choses que la société ne saurait voir et accepter ! N'agissez pas, en raison du risque de provoquer les voyous et de faire des bavures, mais faites semblant et les apparences seront sauves l 

Une analyse d'une policière "suicidaire".  

 VIDEO> http://video.mediabong.com/videos/546070cf0a99e.mp4?ec_ra...

Un bon témoignage, un ressenti émouvant, mais là encore cette suicidaire et responsable par ailleurs d'une équipe, n'a certainement pas encore compris les causes réelles de sa tentative de suicide.   

 ANALYSE ARC4
Confronté à une épreuve, l'homme ne dispose que de trois choix : 

 1) Combattre...  

2) Ne rien faire... 

3) Fuir.... 

Nature de la pathologie  

D'un point de vue du diagnostic, la police est victime du syndrome d'inhibition de l'action décrit excellemment par le Prof Laborit. 
C'est à dire une pathologie qui se manifeste quand la police n'ose plus réagir contre des agressions ou fuir pour se préserver !

Cette pathologie est universelle et si la police est particulièrement touchée, tous les individus peuvent l'être également quand la situation environnementale ne leur permet pas de réagir en faisant front, ni de fuir... 
Cette pathologie générale aux effets permanents plus ou moins graves est d'abord d'origine psychologique et procède initialement d'une prise de conscience. Elle devient fonctionnelle par accélération des réactions physiologiques (tremblements halètements, tensions généralisées du corps, augmentation du rythme cardiaque, etc.  puis se termine faute de réponse adaptée, par des altérations structurales et lésionnelles de l'organisme ou encore, par des pathologies dites dégénératives ( ...cancers) ou encore auto-immunes ( quand l'organisme par ses mécanismes d'auto-défense, s'autodétruit en partie, pour préserver le reste de l'intégrité fonctionnelle de l'organisme. 

Quels sont les classiques moyens d'évitement ou de résolution de conflits  ?

-      Agressivité : (contre les autres ou contre soi-même.)

-      Fuite (moyen temporaire de régler un conflit)

-      Dépression. (Sidération ou chute des ressources énergétiques)

-      Toxicomanies (Fuite dans des paradis artificiels)

-      Psychose. (Fuite quasi irréversible d'un réel traumatisant par négation du réel)

-      Créativité. (Sublimation esthétique par l'art de son agressivité ou par l'innovation technologique socialement utile. Toutes deux ayant pour but la recherche d'une revalorisation personnelle sur un terrain d'expression choisi. 

Il est curieux de constater que les pathologies individuelles par l'inhibition, non de l'action, mais de la réaction, décrites par notre collègue et ami, Le Prof Laborit s'appliquent également au corps social et aux comportements de nos politiques qui, finalement sont victimes d'un jeu de rôle dont ils ne connaissent pas les règles ! 

En effet,  des processus abréactifs sont libérateurs de tensions, en s'exprimant par des manifestations sociales revendicatives ou accusatrices...  

De l'individu au collectif: les mêmes règles
Nous constatons que la pathologie individuelle de " l'inhibition de l'action" décrite chez un individu peut aisément se transposer au corps social et aux comportements de nos politiques, qui sont victimes, également, d'un jeu de rôle dont ils sont inconsciemment les marionnettes. 

Les dangers de la limitation du droit d'expression et d'opinion 

Les processus abréactifs sous forme individuelle ou collective, sont libérateurs de tensions, de stress cumulés, en s'extériorisant socialement. Il n'est donc pas étonnant que les manifestations se multiplient en période de crises sociales.

Si des lois liberticides s'attaquent aux droits d'expression et d'opinion, ce facteur de régulation des émotions ne joue plus son rôle et les comportements asociaux se manifestent avec plus ou moins de violence.         

Face à l'injustice: l'affrontement ou la résignation ? 

Geronimo et Luc ci-dessous, sont les précurseurs, voire des inducteurs de changements salutaires dans l'organisation de la Police. 
En effet, les manifestations sociales revendicatives et accusatrices sont des processus abréactifs libérateurs de tensions individuelles... 

La marmite policière est en surchauffe et la plus grosse erreur que commettent les responsables gouvernementaux, c'est de s'asseoir sur le couvercle pour étouffer le mécontentement légitime des policiers. Ceux-ci sont à la fois des victimes expiatoires des voyous belliqueux et à l'occasion surarmés, et d'autre part de "responsables" politiques carriéristes, qui font tout, non pour régler les problèmes, mais au contraire pour les minimiser, voire les cacher aux citoyens. 
Ces citoyens sont par ailleurs de plus en plus insécurisés par l'inhibition chronique d'une police, voulue par des directives hiérarchiques et une Justice totalement démissionnaire, qui détient certainement un record de relaxes au tribunal de Bobigny.

Et pour faire le compte, une société qui subit en plus une crise économique sans précédent, en plus des déferlantes migratoires totalement incontrôlées. Ces nouveaux venus osent, en plus de leurs exigences impératives d'aides sociales, proclamer : "un toit est un droit prioritaire »De plus, ils se permettent plus de trois jours d'attaques violentes à Calais contre la police, interdite de riposte ! Tout est permis en France, pourquoi se gêneraient-ils puisqu'ils obtiennent pratiquement tout ce qu'ils veulent en culpabilisant les Français surexploités par une administration budgétivore ! 

En conclusion, ce ne sont pas ces immigrés qui sont victimes de pathologies de l'inhibition de l'action mais les policiers !

Le pouvoir de nuisance

Force est de constater que nous ne sommes plus réellement dans un Etat de Droit, puisque le gouvernement cède surtout au « pouvoir de nuisance » de menaces, alléguées par des manifestants. 
Si le gouvernement prime la violence, il n’est donc pas étonnant qu’elle se généralise dans la surenchère. ( Exemple des portiques sur autoroutes ) dont le retrait a coûté fort cher aux contribuables. Quand la Paix sociale s’achète par l’abdication du pouvoir, le bateau France n’a plus de moteur ni de gouvernail. 

Cumul social des injustices 

Pour éviter les mesures de rétorsion contre la pression continue des impôts l'Etat incapable de faire des économies, fait payer aux plus pauvres ses guerres à l’étranger et non aux puissances financières qui en tirent eux, directement profit.                 

Quand la liberté ne survit que dans la clandestinité : elle  devient un moyen désespéré de recouvrer moralement son estime, en mettant en actes ses convictions !

Un témoignage significatif en date du 11 novembre 2015, par un policier excédé par les incohérences de l'Etat.

Les nombreux points d'interrrogation démontrent la charge émotionnelle importante de Luc.

"Les Français doivent savoir que l’Etat Français ne les protègera jamais !!! L’Etat ne protègera que l’Etat et rien d’autre !!! La marque de fabrique de l’état français (politiciens et fonctionnaires) c’est la collaboration avec l'ennemi !!! Il faut bien être conscient de cela! Oui, les policiers sont des lâches qui exécutent les ordres! Ils ne défendront jamais le peuple, mais juste leurs petits intérêts !!!
De plus les Français n’ont aucun esprit communautaire ! Alors entre des citoyens individualistes et un Etat collabo, il n y a rien à attendre de ce pays! Hélas pour ceux qui aiment leur pays, mais croyez-moi, pour ceux qui le peuvent, je leur dit de quitter ce pays sans la moindre hésitation! La France est le pays le plus mal barré d’Europe et elle suivra le même chemin que la Syrie d’ici quelques années !"

Luc

Pour conclure:

1) Si COMBATTRE comporte des risques, il permet néanmoins en cas d'échec de renforcer l'expérience et contribue à être plus pertinent ultérieurement. Evidemment combattre peut mener directement dans les deux cas au succès directement ou indirectement ! 

2) Se résoudre à NE RIEN FAIRE conduit irrémédiablement à des pathologies mentales et physiques, souvent dramatiques par leur chronicité. Elles sont aussi redoutables sur une conscience dévoyée qui justifie ses motifs de démission, de laxisme, de tergiversation, d'irrespect des engagements et surtout la lâcheté qui se généralise, sous forme de tolérance. La tolérance est devenue dans notre société, un bouclier pour couvrir la lâcheté individuelle ou collective de ceux qui en font l'usage. Les personnes qui parlent souvent de tolérance sont donc très suspectes, elles se cachent derrière la tolérance pour s'éviter de réagir aux agressions et justifier leur fuite ! 

3) FUIR vaut certainement mieux que de ne rien faire et Le Prof. Laborit a lui-même fait dans un de ses ouvrages "l'éloge de la fuite" comme un moyen de se préserver d'une agression. Elle résout sans doute le problème d'auto préservation au moment où il se pose, mais si cette réaction devient fréquente sur un plan comportemental, elle invalide dans une large mesure les facultés d'adaptation d'un individu qui in fine, se dégrade mentalement et physiquement jusqu'au point ultime de la déchéance.  ,

RF

Annexe : video sur la dégradation de la Justice dans notre pays ---> http://petitions.institutpourlajustice.org/referendum/vid...

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