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16/01/2015

L'ISLAM ILLEGAL ?

Précision liminaire

La barbarie Islamique de certains fanatiques et leurs crimes, nous incitent à aborder ce sujet ô combien d'actualité!

Contrairement aux politiques qui vous dictent ce que vous devez penser, ARC4 vous incite, au contraire, à une réflexion critique y compris contre nous-mêmes, afin que vous puissiez vous autodéterminer en toute conscience, en dehors des tutelles politiques ou religieuses traditionnellement aliénantes ....

 L’Islam au piège de la loi

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 L'ISLAM  ILLÉGAL ! 

... Non par sa croyance, car chacun a le droit de croire en ce qu'il veut, mais par ses prescriptions coercitives, en complète contradiction avec celles d'une démocratie !

Alors, que fait notre gouvernement laïc ?    
Il finance paradoxalement l'illégalité, alors que, déjà, la Cour Européenne des Droits de l'Homme a jugé le 13 février 2003 que la sharia est incompatible avec la démocratie ! 

Si les lois européennes s'imposent aux États, alors la France, encore une fois, viole ses liens de subordination politique à l'Europe qu'elle prétend respecter par ailleurs ! 

Deux vidéos, surtout, à ne pas manquer !  

VIDEO 1 ---->http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=ARpvVzXinqk

VIDEO 2---->http://lecoran.over-blog.com/

Des statistiques irréfutables qui servent d'avertissement contre le Multiculturalisme et Djihadisme.

Une information de Sylvio Le Blanc, concernant : Multiculturalisme et Djihadisme, signale que le Centre International pour l'Étude de la Radicalisation, analyse la progression de l'islamisme sous toutes ses coutures. Son directeur Peter Neuman a déclaré: 
" Aucun modèle d'intégration ne protège contre l'engagement djihadiste. Paradoxalement, les pays réputés les plus tolérants... La Norvège, Le Danemark, la Suède, les Pays- Bas, sont ceux qui produisent le plus de combattants islamistes, proportionnellement à leur population. C'est la Belgique avec 300 combattants et non la France qui est le pays le plus
touché ".   

Quand allons-nous comprendre que le communautarisme et le multiculturalisme font l'affaire des islamistes et des djihadistes dans les pays démocratiques ? "

Ils charrient sérieusement avec leur charia ! 

Les musulmans ont le droit de croire en ce qu'ils veulent, mais il est formellement interdit et condamnable qu'ils imposent leurs croyances aux autres...

Face à l'intolérance religieuse, cette vidéo constitue un vaccin radical pour les personnes non instruites sur les méfaits de la religion musulmane : sa violence, son rançonnage de la population par le halal, l'infériorisation de la femme, leurs rites barbares pour la circoncision et l'excision, ses incessants appel à la haine et aux meurtres. Ce sadisme sanguinaire concerne aussi la mise à mort des animaux lors des sacrifices rituels. La haine que véhicule le Coran, dégrade autant ses croyants que leurs victimes. Les laïcs considérés comme des mécréants sont relégués à des sous-hommes, qu’il faut soumettre ou éliminer ... etc.  Les autres religions sont des offenses pour les musulmans, car pour ces derniers, il n'existe qu'un seul Dieu : c'est Allah et Mohamed est son prophète, tout le reste n'est évidemment que fumisterie.   

 Et depuis que l'humanité existe les hommes s'entretuent sans pitié au nom de leur conception personnelle d'un Dieu plus qu’hypothétique. 
Pour un esprit rationnel, il est fort probable que c'est l'homme qui a défini Dieu à son image et non l'inverse !


RF

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 JUSTIFICATIF OFFICIEL

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COUR EUROPEENNE DES DROITS DE L'HOMME :
 
"LA LOI ISLAMIQUE EST INCOMPATIBLE AVEC LA DEMOCRATIE ET LES DROITS DE L'HOMME"


Nous produisons ci-après des extraits d’un arrêt de la Cour européenne des droits de l’homme du 31 juillet 2001 (texte intégral)dans lequel elle affirme que la loi islamique est incompatible avec la démocratie et les droits de l’homme. Cet arrêt a été confirmé par la grande chambre de cette cours le 13 février 2003 (texte intégral) 

SHARIA PLEIN LE DOS.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Extraits de l’arrêt du 31 juillet 2001

La Cour européenne des droits de l’homme a estimé que la Charia est incompatible avec la Convention européenne des droits de l’homme de 1950. Il s’agissait à cette occasion pour la Cour de juger si le gouvernement turc avait le droit de dissoudre un parti islamique turc, le Refah, en raison des valeurs prônées par ce parti (la Charia notamment). La Cour a validé la dissolution du Refah. Du jugement final, on citera essentiellement les extraits suivants :

• La Cour constitutionnelle a rappelé qu’un tel système (la charia), qui avait ses origines dans l’histoire de l’Islam en tant que régime politique, s’opposait au sentiment d’appartenance à une nation ayant une unité législative et judiciaire.

• Pour la Cour constitutionnelle, la Charia serait l’antithèse de la démocratie, dans la mesure où elle se fonde sur des valeurs dogmatiques et est le contraire de la suprématie de la raison, des conceptions de la liberté, de l’indépendance, ou de l’idéal de l’humanité développé à la lumière de la science.

• La Cour reconnaît que la Charia, reflétant fidèlement les dogmes et les règles divines édictées par la religion, présente un caractère stable et invariable. Lui sont étrangers des principes tels que le pluralisme dans la participation politique ou l’évolution incessante des libertés publiques.

• La Cour relève que (…) les références explicites à l’instauration de la Charia sont difficilement compatibles avec les principes fondamentaux de la démocratie, tels qu’ils résultent de la Convention, comprise comme un tout.

• Il est difficile à la fois de se déclarer respectueux de la démocratie et des droits de l’homme et de soutenir un régime fondé sur la Charia, qui se démarque nettement des valeurs de la Convention, notamment eu égard à ses règles de droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve aux femmes dans l’ordre juridique et à son intervention dans tous les domaines de la vie privée et publique conformément aux normes religieuses.

• La Cour constitutionnelle (fait également référence) à la notion de djihad, qui se définit, dans son sens premier, comme la guerre sainte et la lutte à mener jusqu’à la domination totale de la religion musulmane dans la société.

• La Cour constate également que les propos tenus par Xxxxx, le député d’Ankara, (…) traduisaient une haine profonde envers ceux qu’il considérait comme des opposants au régime islamiste. La Cour estime à cet égard que lorsque le comportement incriminé atteint un niveau élevé d’insulte et se rapproche d’une négation de la liberté de religion d’autrui, il perd pour lui-même le droit d’être toléré par la société. »

Extraits de l’arrêt du 13 février 2003

• La Cour rappelle que la liberté de pensée, de conscience et de religion représente l’une des assises d’une « société démocratique » au sens de la Convention. Cette liberté figure, dans sa dimension religieuse, parmi les éléments les plus essentiels de l’identité des croyants et de leur conception de la vie, mais elle est aussi un bien précieux pour les athées, les agnostiques, les sceptiques ou les indifférents.

• Il y va du pluralisme – chèrement conquis au cours des siècles – qui ne saurait être dissocié de pareille société. Cette liberté implique, notamment, celle d’adhérer ou non à une religion et celle de la pratiquer ou de ne pas la pratiquer.

• Par ailleurs, dans une société démocratique, où plusieurs religions coexistent au sein d’une même population, il peut se révéler nécessaire d’assortir la liberté en question de limitations propres à concilier les intérêts des divers groupes et à assurer le respect des convictions de chacun

• Selon la Cour, dans une société démocratique, l’Etat peut limiter la liberté de manifester une religion, par exemple le port du foulard islamique, si l’usage de cette liberté nuit à l’objectif visé de protection des droits et libertés d’autrui, de l’ordre et de la sécurité publique

• la Cour estime (…) qu’un parti politique dont les responsables incitent à recourir à la violence ou proposent un projet politique qui ne respecte pas la démocratie ou qui vise la destruction de celle-ci ainsi que la méconnaissance des droits et libertés qu’elle reconnaît, ne peut se prévaloir de la protection de la Convention contre les sanctions infligées pour ces motifs.

• Nul ne doit être autorisé à se prévaloir des dispositions de la Convention pour affaiblir ou détruire les idéaux et valeurs d’une société démocratique.

• Dans ce contexte, la Cour considère qu’il n’est pas du tout improbable que des mouvements totalitaires, organisés sous la forme de partis politiques, mettent fin à la démocratie, après avoir prospéré sous le régime démocratique. L’histoire européenne contemporaine en connaît des exemples.

• la Cour partage l’analyse effectuée par la chambre quant à l’incompatibilité de la charia avec les principes fondamentaux de la démocratie,

• A l’instar de la Cour constitutionnelle, la Cour reconnaît que la charia, reflétant fidèlement les dogmes et les règles divines édictés par la religion, présente un caractère stable et invariable. Lui sont étrangers des principes tels que le pluralisme dans la participation politique ou l’évolution incessante des libertés publiques.

• La Cour relève que (…) l’instauration de la charia est difficilement compatible avec les principes fondamentaux de la démocratie

• Il est difficile à la fois de se déclarer respectueux de la démocratie et des droits de l’homme et de soutenir un régime fondé sur la charia, qui se démarque nettement des valeurs de la Convention, notamment eu égard à ses règles de droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve aux femmes dans l’ordre juridique et à son intervention dans tous les domaines de la vie privée et publique conformément aux normes religieuses.

• La Cour considère que, quelle que soit l’acception que l’on donne à la notion de djihad (dont le premier sens est la guerre sainte et la lutte à mener jusqu’à la domination totale de la religion musulmane dans la société), invoquée dans la plupart des discours mentionnés ci-dessus, une ambiguïté régnait dans la terminologie utilisée quant à la méthode à employer pour accéder au pouvoir politique.


http://blog.sami-aldeeb.com/

maires courtisants islam.jpg

13/01/2015

DEFENDEZ VOS DROITS

19/11/2014

La hausse préoccupante des violences contre les personnes !

Par Jean-Marc Leclerc, Service infographie du Figaro

Publié le 04/05/2014 à 19:27

 AGRESSION DE PERSONNE.jpg

 

INFOGRAPHIE - Le Figaro a décrypté les derniers chiffres de l'Observatoire national de la délinquance. À la ville comme à la campagne, la situation se dégrade : 76 des 96 départements métropolitains sont dans le rouge depuis le début de l'année.

Rien n'arrête le flot des violences en France. Les atteintes à l'intégrité physique ont encore augmenté au premier trimestre de 5,5 %. Du règlement de comptes entre malfaiteurs, en passant par les vols avec violence, les homicides, les vols à main armée ou les viols, pour les 30 index concernés, les faits sont passés de 118 000 au premier trimestre 2013 à plus de 125 000 pour les trois premiers mois de 2014.

Le mois d'avril ne fait d'ailleurs que confirmer la dégradation constatée. Le plus inquiétant: ce sont les violences «gratuites», celles des coups et blessures volontaires principalement, dans la rue, à l'école ou dans le cadre familial, qui portent ces évolutions, avec une hausse des violences non crapuleuses depuis le 1er janvier qui dépasse les 8 %, tandis que la violence dans le but de voler accuse une fragile diminution de 2 %, avec un niveau très élevé d'affaires, de l'ordre de 20.000 par mois en moyenne, contre 10.000 faits par mois en moyenne il y a dix ans.

Ce premier état des lieux pour l'année en cours n'est donc guère réjouissant. Le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, qui succède à un Manuel Valls en endossant l'habit de «l'homme de dossier», ne peut ignorer ces tendances. Il les voit se dessiner mois après mois dans son tableau de bord confidentiel qui révèle aussi, depuis un moment, qu'au-delà des effets d'annonce, il y a moins de patrouilles sur le terrain aujourd'hui qu'hier.

Comme les nouvelles ne sont pas bonnes, l'Intérieur, qui prône souvent la «transparence» plus qu'il ne la pratique, se garde bien de faire le focus sur les violences, préférant se concentrer sur des actions de communication ciblées, ici sur la lutte contre le djihadisme, là sur l'expulsion d'un imam, ailleurs sur un déplacement ministériel en rapport avec le chassé-croisé des vacances sur les routes.

Mais les chiffres parlent d'eux-mêmes. Le Figaro a collationné ceux de l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), et ce, département par département, pour le premier trimestre 2014. Se procurant même la statistique du mois d'avril dans les zones où les atteintes à l'intégrité physique obéissent aux évolutions les plus significatives. Intégrées dans un tableur, classées par ordre, ces données irréfutables dressent le portrait de la France qui souffre.

Un tableau déformé? Loin de là. Car il ne détaille que les faits déclarés par la police et la gendarmerie. Toutes les enquêtes de criminologie conduites auprès des victimes attestent que ces chiffres officiels n'offrent qu'une vision a minima des phénomènes de délinquance.

Toutes les enquêtes de criminologie conduites auprès des victimes attestent que ces chiffres officiels n'offrent qu'une vision a minima des phénomènes de délinquance

Depuis le changement de majorité, dans ses bulletins mensuels, l'ONDRP met en garde sur le fait que les méthodes de comptage ont changé au ministère de l'Intérieur, et que «à partir du moment où les faits ne sont plus enregistrés dans les mêmes conditions que par le passé, les comparaisons en tendance ne peuvent plus être menées». La raison principale tient au fait que les gendarmes utilisent depuis 2012 un nouveau logiciel de saisie des faits qui empêcherait désormais de tricher.

Soit! Mais en comparant les trois premiers mois de 2013 à ceux de 2014, c'est à pratique de saisie comparable que les chiffres sont mis en regard. Et cela prend du sens. D'autant plus de sens que nous procédons à une analyse locale qui permet de constater que certains départements connaissent des embellies, comme celui des Bouches-du-Rhône et son emblématique Cité phocéenne, quand d'autres, à commencer par Paris et l'essentiel de la région parisienne, continuent de s'enfoncer dans le rouge. La situation se dégrade même, en ce début d'année, dans 76 des 96 départements métropolitains.

Qu'on le veuille ou non, la dégradation statistique reflète la réalité du terrain. C'est le sentiment des chefs de police dans les départements. Il est clair cependant que la réforme de l'outil statistique menée par Manuel Valls l'a été dans le but louable de faire ressurgir des éléments peut-être occultés jusqu'alors des bilans mensuels établis par les forces de l'ordre. C'est d'ailleurs ce que rappelle le criminologue Alain Bauer (notre entretien), qui laisse entendre également que la mise en place progressive d'un nouvel outil de saisie des faits dans la police, le Logiciel de rédaction des procédures de la police nationale (LRPPN), devrait encore amplifier la perception des phénomènes de délinquance.

Avant les municipales, sous la pression médiatique, l'Intérieur s'était beaucoup focalisé sur la lutte contre les cambriolages. Aujourd'hui, ce sont les violences qui interpellent. Quelles stratégies nouvelles Bernard Cazeneuve compte-t-il mettre en place pour les endiguer? En quoi les zones de sécurité prioritaire (ZSP), si chères à Manuel Valls, ont-elles été utiles? N'ont-elles pas plutôt déporté la délinquance en périphérie des zones concernées? La méthode gouvernementale, basée principalement sur la hausse des effectifs, a, pour l'heure, montré ses limites. Or toutes les villes n'auront pas la chance de bénéficier de l'attention particulière qui fut accordée à Marseille, à coups de renforts et de réformes chocs. «Évidemment, l'insécurité et le sentiment d'insécurité ne cesseront d'augmenter tant que la réponse collective à la délinquance ne sera pas adaptée», avait déclaré aux députés le général de corps d'armée Bernard Soubelet, numéro 3 de la maréchaussée, le 18 décembre dernier. Cet appel au bon sens est plus pertinent que jamais. Surtout à l'heure où le gouvernement s'apprête à faire voter la réforme Taubira qui aura pour effet - si ce n'est pour but - de vider les prisons.