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02/05/2014

ON VOUS VEUT DU MAL !

La vigilance c'est une bouée de sauvetage susceptible de nous préserver de gros ennuis...

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C'est nous qui finançons par ignorance notre euthanasie en achetant les produits de la multinationale MONSANTO.
Cette dernière par la contrainte de lois mondialisées faites votées par ses lobbys financiers, impose ces produits mortifères à des populations pauvres, naïves, pour ne pas dire illettrées, qui deviennent les otages passifs de leurs empoisonneurs avec bien sûr, la complicité de leurs gouvernements corrompus !

Tapez donc sur Google : " produits dangereux Monsanto  " vous serez édifiés... l'intox est générale, personne n'en réchappe pas même vous, qui me lisez présentement !

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 Même les insectes fuient ces fruits légumes et les cibles inratables deviennent les consommateurs !

Au fait, l'usage des pesticides cancérigènes sont interdits dans les plupart de pays européens, sauf en France.

Devinez à quel niveau se situe la corruption ?

Moins bêtes que les Français : 

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 MONSANTO CONTRE LES PEUPLES !

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Un peu de clarté dans le marécage

Auran Derien
le 27/04/2014
On se souviendra de la sentence d’Henry Kissinger : « Contrôlez le pétrole et vous contrôlerez les nations, contrôlez la nourriture et vous contrôlerez le peuple, contrôlez la monnaie et vous contrôlerez le monde. ». En contrôlant la nourriture, Monsanto veut contrôler les peuples. Le Chili comme le Mexique s’y sont opposés. Certes, quelques hirondelles ne font pas le printemps, mais une  résistance commence à germer en Amérique Latine.

Monsanto, bloqué au Chili 

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Le gouvernement chilien a l’habitude de s’aligner sur les Etats-Unis. Derrière le coup d’Etat de Pinochet, la trahison de l’Argentine dans son conflit avec la Grande Bretagne pour les îles malouines, et l’Alliance du Pacifique, on trouve toujours la tour noire étatsunienne. La Présidente Bachelet vient cependant, sur  Monsanto, de changer d’attitude. Le 17 mars de cette année, le gouvernement chilien a annoncé le retrait du projet connu sous la dénomination de « loi Monsanto » sur la privatisation des semences paysannes et la non adhésion à la Convention UPOV 91 sur la protection de l’obtention des végétaux.
  
Ce projet de loi avait été déposé au parlement en 2009 par la présidente elle-même au cours de sa précédente administration. Le mouvement Via Campesina qui a éveillé la population aux dangers des OGM a permis à de nombreux hommes politiques de comprendre enfin les méfaits du pillage de la nature et le « racket » des populations à partir de droits de reproduction forgés de toutes pièces, sans aucune légitimité.

Au Mexique, Monsanto veut liquider le juge qui lui déplaît 

La multinationale Monsanto, veut détruire les catégories de maïs qui poussent au Mexique, en répandant ses OGM stérilisateurs partout, de sorte qu’entre le hasard et la malveillance, tous les types de maïs soient finalement pollués, ce qui serait le pactole pour l’entreprise. Action Collective, composée de savants et de paysans, a obtenu que  Monsanto ne puisse continuer la culture des grains génétiquement modifiés. La décision des juges est honorable et juste: il y a un « risque de préjudices importants pour l’environnement ». 

La réaction des « monsantistes » a été de mettre en cause le juge. On reconnaît là une des méthodes d’un pouvoir totalitaire. Si un magistrat est indocile, on le le salit et on le remplace. C’est la situation que vient de connaître Mexico, où le juge Zaleta qui a confirmé l’interdiction des produits stérilisants Monsanto, est agressé par la firme qui a demandé, avec son impudence habituelle, de démettre le juge. Il se vérifie une fois de plus que l’investissement dans l’homme est ce qu’il y a de plus noble. le juge Jaime Manuel Marroquin Zaleta est un héros des temps modernes.
 
Au Vénézuela, le peuple vit mieux

Dernier exemple de rayon de soleil, le cas du Vénézuela ou l’influence de Monsanto fonctionne encore à plein rendement. Le Président Madero se flatte que, maintenant, 64% de la richesse produite soit distribuée au peuple. Il estime que depuis 1999, l’oligarchie alors en place n’a pu volé des sommes qui se chiffrent en billions et qui sont aujourd’hui distribuées au peuple Vénézuélien.

La finance mondialiste ne supporte plus que des pays réussissent leur développement en suivant une autre voie que la sienne. Pour cela aussi, la Russie est attaquée, et demain viendra le tour de la Chine si elle continue à progresser. L’Europe couchée est par contre applaudie. L’empire de la servitude est en même temps l’empire du néant. Là où passe ce pouvoir totalitaire, la stérilité s’installe…

24/02/2014

SOYEZ VIGILANTS et observez...

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Ce n'est pas parce que nous sommes indépendants des partis politiques, que nous devons ignorer des faits qui participent grandement à l'insécurité et au sentiment d'injustice de notre société ! 

 

Les responsables de la crise, de gauche comme de droite, font payer le prix de cette crise à ceux qui en sont déjà les premières victimes ...
Voyez avec quelle énergie ils se battent au moment des élections .
Est-ce pour servir nos concitoyens ou pour assurer leur carrière politique et tous les privilèges y afférents ?

Soyez sûr que si les hommes politiques payaient eux aussi le prix de la crise comme nos concitoyens, elle serait résolue depuis bien longtemps, mieux, elle n'aurait jamais eu lieu !
C'est un principe cardinal: ceux qui commettent des erreurs ne sont pas ceux qui les payent !

 

Donc, la crise n'est pas près de se terminer: voyez une des raisons dans l'info ci-dessous !

 

Cynisme, indignité, mensonges, antidémocratisme, autocratisme et mépris pour les citoyens voici la palette des sentiments dominants de notre société envers leurs politiques. Il n'est pas étonnant que le taux d'abstention ne cesse d'augmenter, à tel point, que tous nos politiques ne sont même plus légitimés par les urnes !

C'est sans doute pour cette raison qu'ils continuent d'ignorer les indépendants et les abstentionnistes qui en ont franchement marre de politicards sans scrupules, qui ne tiennent jamais leurs engagements ou leurs promesses.     

Il semblerait de la crise aurait pour effet de soigner la bêtise ambiante ?
Nous verrons aux prochaines élections si cette supposition optimiste est utopique ou non !

 

RF

VOTRE MAIRE EST-IL DEPENSIER ?

 
 
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Le 20/02/2014
 

Gestion des communes : les reproches de la Cour des comptes

argent © RFsole
Alain Mathieu poursuit son analyse du rapport de la Cour des comptes, en se penchant plus précisément sur la partie relative aux finances locales. Clarté des comptes, dépenses de personnel, intercommunalité... Profitez des prochaines élections pour interroger vos élus sur l'emploi qu'ils font de l'argent public !

Alain-Mathieu

Alain Mathieu est président d’honneur de Contribuables Associés.

A lire sur le même sujet : La Cour des Comptes peut mieux faire : Analyse générale d’Alain Mathieu sur le rapport de la Cour des comptes

 

En 2013, la Cour des comptes a donné dans deux rapports des recommandations sur la gestion financière des collectivités territoriales, estimant en effet que «le freinage de l’évolution des dépenses locales, notamment salariales, est nécessaire».

En effet : depuis 30 ans  les dépenses de fonctionnement des collectivités progressent de 1,4 % de plus par an que la hausse des prix !

Quels sont les reproches principaux de la Cour à l’égard des communes ?

A la veille des élections municipales, cette information pourra intéresser les électeurs. Ceux-ci peuvent bien entendu consulter l’Argus des communes publié par Contribuables associés. Mais les remarques de la Cour leur permettront aussi de poser aux élus sortants quelques questions pertinentes.

Le premier reproche de la Cour porte sur le manque de clarté des comptes.

«Les annexes aux documents budgétaires ne sont pas toujours correctement établies (…) et sont peu lisibles (….) La connaissance par les collectivités de leur patrimoine apparaît, le plus souvent, comme lacunaire (…), les effectifs employés pendant une année ne sont connus que deux ans et demi après la fin de l’année».

La Cour des comptes demande donc la «certification des comptes des grandes collectivités et des établissements publics de coopération intercommunale les plus importants». La Cour a pour mission de s’assurer de la fiabilité de tous les comptes. Il est donc étonnant qu’elle ne demande pas la certification annuelle des comptes de tous les organismes publics.  En attendant ces certifications, les électeurs peuvent dès maintenant demander à leurs élus le détail du patrimoine de leurs communes, des cautions qu’elles ont accordées, de leurs effectifs, etc.

A propos des dépenses de personnel

Celles-ci représentent plus de la moitié des dépenses de fonctionnement des communes ! La Cour signale que «les avancements d’échelon se font systématiquement à l’ancienneté minimale (sans prendre en compte la valeur professionnelle des agents, comme l’esprit de la loi le prévoit) (…), les collectivités choisissent fréquemment d’ouvrir les promotions à l’ensemble des agents susceptibles d’être promus».

Les primes sont souvent illégales,  les heures supplémentaires abusives et même fictives, la durée annuelle inférieure à la durée réglementaire de 1607 heures  («une remise en ordre s’impose en ce domaine»). La Cour constate « la multiplication des congés supplémentaires et des autorisations d’absence. A Béziers, une demi-journée de repos est accordée chaque semaine à tous les agents, y compris les cadres». Voilà des questions à poser aux élus. Il serait aussi souhaitable de comparer leurs dépenses de personnel à celles de communes de même importance. Trop souvent les effectifs s’accroissent d’abord dans le but d’augmenter le nombre d’électeurs favorables au maire.

Sur les intercommunalités

Les intercommunalités avaient été créées pour que plusieurs communes mettent en commun des services ou installations dont la gestion par une seule commune ne pouvait pas être efficace : transports en commun, ramassage des ordures, station d’épuration, zone d’activité, piscine, etc.  La Cour demande que cette mise en commun soit réelle, et notamment «un transfert de plein droit à l’établissement public de coopération intercommunale des agents communaux appartenant aux services concernés par un transfert de compétences».

D’après Didier Migaud, qui préside la Cour, «la rationalisation du patrimoine immobilier  et des interventions économiques (subventions aux entreprises), la professionnalisation des achats courants, mais aussi la réduction de postes de dépenses tels que la publicité et les relations publiques», ou celle des «déplacements et réceptions», permettraient de substantielles économies. Il aurait aussi pu mentionner les subventions aux associations.

En matière d’investissements, la Cour recommande d’éviter les cofinancements et, avant de décider d’un gros investissement, suggère d’étudier ses frais ultérieurs de fonctionnement.
«Le besoin de clarification des compétences  (…) est une condition essentielle de l’assainissement des finances publiques de la France» écrit la Cour. Mais elle ne fait malheureusement aucune proposition dans ce domaine.

Enfin elle propose de répartir 10 % de la dotation d’intercommunalité versée par l’Etat en fonction d’un « coefficient intercommunal de mutualisation ».  Cette proposition, qui va dans le bon sens, pourrait être moins modeste : que la principale dotation de l’Etat aux collectivités territoriales, la DGF (dotation globale de fonctionnement), soit directement liée aux dépenses par habitant de chaque collectivité, la DGF étant réduite pour les plus dépensières. Une proposition de loi déposée par le député  Hervé Mariton a proposé un mode de calcul à ce sujet.
Si cette proposition de loi était votée, le « nécessaire freinage des dépenses locales »  demandé par la Cour serait assuré. Les électeurs n’auraient plus autant besoin de mettre en cause le laxisme trop fréquent de leurs élus, dénoncé à juste titre par la Cour des comptes.