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12/02/2014

NOTRE DEMOCRATIE...

 

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No comment ! ;-)

17:10 Publié dans SOCIALE | Lien permanent | Commentaires (0)

NE VOUS FAITES PAS CONFISQUER VOTRE LIBERTE DE PENSER !

Préambule:

Notre vigilance qui dépend essentiellement de nos sens ne suffit pas à la réussite de notre entreprise , encore faut-il exercer notre sens critique pour être plus pertinant dans nos actions. C'est pour cette raison que nous vous proposerons en plus des textes d'infos sur l'insécurité, d'autres textes qui font appels comme celui qui suit à votre sens critique...
  
 
 
 
Les politiques tentent de vous imposer ce que vous devez penser et la manière dont il convient de le faire. Ils essaient de vous imposer leurs convictions par tous les moyens, de manière à vous dominer et vous conformant à leurs buts.
Très fréquemment, ils n'essaient de vous convaincre que pour se convaincre eux mêmes du bien fondé de leurs convictions.
La source de votre liberté réside dans le doute, mais si celui-ci a l'avantage de vous rendre disponible à toutes informations, il génère, malheureusement, du même coup de l'indétermination, pouvant aller jusqu'à l'angoisse.
Il ne faut donc pas s'étonner, si nous avons une disposition naturelle à chercher à être convaincus et à ajuster notre comportement aux circonstances, aux évènements.
C'est sans doute, la raison pour laquelle nous courcircuitons notre conscience et ses délibérations anxiogènes pour prendre rapidement une décision qui nous libère de nos cogitations préoccupantes. Dès lors, cette réaction stéréotypée s'actualise dans toutes nos relations  et explique, sans que nous en ayons conscience, notre crédulité , notre naïveté, face par exemple aux bonimenteurs politiques, assez habiles, non pour régler des problèmes économiques ou de gestions, mais pour convaincre leurs auditeurs qui ne demandent pas mieux.
Pour être plus explicite, nous ne demandons qu'à être convaincus, pour notre confort personnel ou par paresse intellectuelle.  
Il est facile d'évaluer la valeur d'un individu, il reste disponible, alors que celui qui ne supporte pas les contradictions démontre lui, qu'il ne peut concéder du fait qu'il ne possède pas grand chose intellectuellement. Contredire son opinion, équivaut pour lui à la remise en question de la totalité de sa personne offensée.  
 
 

Le leader politique devient la conscience de son parti et les militants libérés du pouvoir de décision et de la peur de commettre des erreurs, se soumettent en s'imaginant, ô suprême illusion, que leur engagement est volontaire et l'expression même de leur conscience.
Les incarcérés politiques sont réfractaires à la réflexion pour les raisons sus-indiquées, par contre, ils régurgitent à tous propos des slogans éculés qu'ils vocifèrent lors des manifestations publiques. Ces manifestations de masse ont évidemment pour effet de normaliser sur un plan statistique les convictions de chacun. C'est aussi une explication de la grégarité politique et de la constitution de hordes contaminées par leurs émotions souvent maladives par leur caractère excessif.   

Il est plus facile de se libérer de chaines qui nous entravent que de nos propres convictions et pourtant, nous faisons tout pour être convaincus pour agir dans l'instant ou dans la durée, car nos convictions tendent à perdurer d'autant plus, qu'elles nous apportent un confort mental en nous libérant du doute, mais en sacrifiant du même coup notre sacro-sainte liberté.
"Je est un autre" disait Rimbaud : ce qui veut dire que notre comportement est généralement déterminé par des pulsions dont nous ignorons les causes originelles.   

Ecoutez nos politiques quand ils se vantent d'avoir des convictions... Se rendent -ils seulement compte qu'ils avouent de ce fait qu'ils sont bornés ? 
Oui, nos convictions sont nos prisons. Quand nous sommes convaincus, nous devenons réfractaires à toute hypothèse et notre conscience se ferme pour se protéger d'informations susceptibles de la déstabiliser en la remettant en question.
Bien sûr, il est plus facile de lutter contre des adversaires que contre soi-même ... Partant de cette évidence, on se demande pourquoi nos hommes politiques, au vu de leurs résultats ne pensent pas. Pourquoi le feraient-ils, puisque leur cerveau reptilien archaïque, suffit amplement à les maintenir au pouvoir ;-)

Terminons par cette affirmation justifiée scientifiquement de notre ami le Prof Laborit qui précisait: " que notre cerveau ne sert pas à penser mais à agir !"
Disparu trop tôt, je n'ai pas eu l'occasion de lui répondre que l'action sans la réflexion n'est que pure agitation et que la réflexion sans action, n'est que spéculation stérile;  mais là nous entrons dans le vaste domaine de la relativité que nous pourrions aborder prochainement si vous le souhaitez ...  
 
RF 
 

16:59 Publié dans SOCIALE | Lien permanent | Commentaires (0)

28/01/2014

LA DERIVE DU CONSENTEMENT !

SAINT AUGUSTIN.jpg

De Saint Augustin, 430 après JC :

A force de tout voir, on finit par "TOUT SUPPORTER"
A force de tout supporter, on finit par "TOUT TOLERER"
A force de tout tolérer, on finit par "TOUT ACCEPTER"
A force de tout accepter, on finit par "TOUT APPROUVER"

...Alors ne lâchez rien !

La sagesse Augustienne a des limites, car il y manque une conclusion explicite qui aurait pu être celle-ci :
Quand on finit par tout approuver, on est plus rien ! On a perdu jusqu'au respect de soi-même et on se vautre, in fine, dans l'indignité avec d'autant moins de scrupules, qu'on estime que tout le monde est ainsi ! Cette "normalité" statistique justifie de manière perverse notre lâcheté travestie avec ostentation en tolérance, comme c'est si souvent le cas de nos jours.

La seule réussite qui vaille pour un homme ou une femme, c'est d'avoir des motifs réels de s'estimer, de jouir de son libre arbitre, pour faire résistance aux bonimenteurs politiques ou autres. Ceux-ci utilisent l'insécurité qu'ils entretiennent sciemment, pour mieux abuser notre crédulité par un catalogue de promesses qui  seront rarement tenues. Il s'agit bien là d'un processus manipulatoire dont le but n'est certes pas de servir notre société, mais uniquement leur carrière. Il suffit de constater avec quelle hargne ils luttent pour accéder à un poste dispensateur de privilèges et de glorioles pendant 5 ou 6 ans ! 


Après la médecine , les politiques ont compris tout ce qu'ils pouvaient tirer de l'ignorance et de la souffrance humaine.
Alors n'écoutez pas ce qu'ils disent, par contre fiez-vous uniquement à ce qu'ils font réellement !

Il y a loin de l'étiquette au produit et les consommateurs ou des citoyens gogotisés, avalent n'importe quoi en accordant trop facilement leur confiance à des personnes ambitieuses sans scrupules.   

C'est un fait, une médecine très efficace concourt à sa ruine. Les politiques de leur coté, n'ont pas ou très peu de prises sur une société sans problèmes. Alors, faites preuve de sagacité et concluez vous-mêmes...       
La première des libertés, c'est de dire non... Cette négation distanciatrice par rapport à une sollicitation pressante, préserve un espace de réflexion salutaire... C'est la frontière d'une prise de conscience délibératoire valorisante.

Notre société est littéralement éclatée:
Par des divisions politiques sectaires, des religions plus ou moins délirantes, d'innombrables communautés prosélytes, des classes sociales auto clivées, etc. Tous génèrent de l'inquiétude jusqu'à l'angoisse face à l'insécurité. Si les politiques ou les communautés savent s'unir pour satisfaire leurs intérêts spécifiques, nos concitoyens doivent s'unir au delà de ces divisions pour défendre globalement leurs propres intérêts, qui coïncident par ailleurs rarement avec ceux de l'administration à tous les niveaux de notre organisation sociale.   
ARC4 démontre quotidiennement que nos concitoyens peuvent s'assumer dans un prototype de société qui privilégie la vigilance et la solidarité de tous au delà de toutes nos divisions sociales.

Nous sommes sur la bonne voie, alors poursuivons, car nous sommes porteurs d'espoir pour ceux qui à La Courneuve et dans d'autres communes, ne bénéficient toujours pas des avantages de tranquillité sociale dont bénéficie notre association ARC4.

RF.

19:07 Publié dans SOCIALE | Lien permanent | Commentaires (0)