28/01/2014
DU BIEN ETRE INDIVIDUEL AU BIEN ÊTRE COLLECTIF...
Mode d’emploi de la civilité…
Vision idéaliste pensez- vous ?
Certainement pas et nous allons tenter succinctement de vous démontrer le contraire.
Contrairement à notre habitude nous allons entrer sans préambule dans le sujet que nous entendons dénoncer ....
Le dynamisme associatif
Toute organisation ou association se maintient dans un équilibre instable en permanence entre les facteurs de cohésion qui maintiennent la viabilité d'une association et les facteurs de dissociation qui, au contraire, en menacent l'intégrité. Bien évidemment ce ne sont pas les critiques qui sont facteurs de progrès que nous dénonçons, mais uniquement la médisance insidieuse et les calomnies dont le but est de tenter de se revaloriser en dépréciant les autres...
ARC4 n'échappe pas à ce danger, mais elle possède les moyens de s'en prémunir en expliquant à tous nos membres comment identifier les agissements problématiques de certaines personnes et s'en prémunir efficacement.
Le paradoxe de la modernité
« Les sous hommes et les super machines » est un constat qui caractérise bien notre société dont une élite, très minoritaire, crée du progrès technologique alors que la grande majorité de nos concitoyens ne l'utilisent que très partiellement. Bien que faite par l'homme la société n'est pas faite à sa mesure (Alexis Carrel, Prix Nobel de médecine). Ce qui est inquiétant, c'est que cette sous utilisation de notre technologie est malgré tout trop en avance sur la maturité humaine et c'est là que réside le véritable problème.
L'agissement souvent stupide de nos « représentants politiques » illustre très bien nos propos.
Les hommes du 21ème siècle, en majorité, demeurent fixés dans une mentalité archaïque. Dans les phases d'alerte, ils réagissent par leur cerveau reptilien, ce qui explique leurs incohérences comportementales sur un plan relationnel.
C'est cet écart qui caractérise l'immaturité de nos concitoyens dont les conséquences n'épargnent personne.
Cliniquement elle s'objective
1) Par une grégarité moutonnière (identification à un groupe)
2) Par des réactions excessives incontrôlées, un manque de maitrise
3) Des jugements caricaturaux
4) Et surtout l'usage de médisances et de calomnies comme procédés de revalorisation personnelle, au détriment d'autres personnes. Cette tentative de s'élever en dépréciant les autres est une attitude malheureusement trop commune. Il suffit de l'observer autour de nous…
Alors comment espérer élever le niveau de maturité de notre société victime de l'opacité conjointe: de l'irrationalisme mystique et délirant et des idéologies politiques à la fois sclérosées et sectaires.
S'ajoutent à ces calamités un problème de fond de nos sociétés: l'ignorance et le manque de culture pour ne pas dire la bêtise qui se pérennise d'autant plus qu'elle s'appuie sur un « libéralisme démocratique » qui prône l'égalité des hommes (non des valeurs), sous peine de sanction relevant de la discrimination juridiquement condamnable, mais intellectuellement incontournable.
Nos démagos iront, si nous les laissons faire, jusqu'à condamner les statistiques scientifiques dont le jugement final ne repose que sur des discriminations ;-)
Nous nous efforçons dans ARC4 de renforcer notre efficacité commune. Elle ne va pas sans le renforcement des facteurs de cohésion de notre association et, dans le même temps, de lutte contre tous les risques de dissociation dont certaines personnes perturbées, fort heureusement très minoritaires, en sont des vecteurs permanents.
Le premier moyen de lutter contre cette contamination c'est, lorsqu'une personne vous exprime des médisances ou des calomnies, c'est d'inviter poliment, susceptibilité oblige, votre interlocuteur médisant à exprimer directement ses propos face à la personne concernée, qui se fera un plaisir de lui répondre.
Ainsi vous éviterez :
a) De servir de dépotoir à cancans, médisances et calomnies...
b) Vous vous préserverez vous- mêmes des délires qu'on vous impose
c) Vous ferez œuvre thérapeutique en incitant l'auteur de médisance à ne pas récidiver.
En conclusion, nous acceptons volontiers toutes critiques directes, face à la personne concernée, car elles sont facteurs de progrès. Il en va tout autrement pour les médisances et les calomnies qui sont des sentiments méprisables qui n'honorent pas leurs auteurs.
Elles dégradent ceux qui les écoutent en servant de poubelle au mal-être de personnes perturbées qui se soulagent ainsi, en déchargeant sur leurs interlocuteurs leurs rancœurs, dans le but de nuire à une personne, bien évidement absente.
Là encore, l'hypocrisie y trouve son compte ainsi que la lâcheté et ses sous entendus, qui consiste "à dire sans avoir à encourir le risque d'avoir dit".
La médisance et la calomnie sont des instruments de destruction massive qui contaminent à la fois ceux qui écoutent, affectent les personnes visées et également les initiateurs de la calomnie, qui s'enfoncent toujours un peu plus dans l'indignité et la perversion, même si, malheureusement elles n'en ont pas toujours conscience.
La responsabilité des écoutants est aussi engagée, car sous le couvert de politesse, ils prêtent une oreille complaisante aux ragots, sans se douter qu'ils renforcent du même coup la pathologie de celui ou de celle, qui se sent à la fois crédibilisé(e) et gratifié(e) par une écoute attentive et trop complaisantes de propos calomniateurs ou de médisances.
La vigilance avec la solidarité de nos concitoyens sont des facteurs à la base de la réussite d'ARC4. Cette vigilance si souvent plébiscitée, doit également s'activer sur les personnes de volontairement ou non menaceraient par des propos injustifiés la solidarité et la cohésion de notre association. Il s'agit moins de les condamner pour leur affliction, que de les conduire par le dialogue à une prise de conscience salutaire sur la nocivité de leurs agissements qui plus est sont contraires à notre charte.
Cela dit, à quoi servent nos bonnes intentions, si nos interlocuteurs refusant tout effort de compréhension et de conciliation se complaisent au laisser aller, qui donne transitoirement l'illusion de liberté, jusqu'au moment de l'impact final sur le mur massif de la réalité !
RF.
18:33 Publié dans SOCIALE | Lien permanent | Commentaires (0)
19/01/2014
Remarques liminaires sur " le paradis des malfrats"
Ouvrir les yeux et être vigilant c'est une nécessité, mais ce n'est pas tout, il faut s'efforcer de comprendre notre situation pour mieux en assurer la maitrise !
De plus en plus d'adhérents nous posent la question de savoir si le Maire, dont c'est la principale fonction, est intéressé par la préservation de la sécurité des courneuviens ?
La démocratie ne consiste pas à compter des têtes, mais à se préoccuper de ce qu'il y a dedans, quelles sont leurs attentes prioritaires face à ce climat insécuritaire permanent .
Notre réussite ARC4 est généralisable à d'autres quartiers, d'autres communes, encore faudrait-il que la Mairie s'implique autrement qu'avec des mots et des promesses jusqu'aujourd'hui, toujours non tenues.
Quand à la délinquance, la question qui mérite d'être posée est de savoir si ce sont les voyous qui sont responsables de leurs méfaits ou nos institutions qui les laissent faire et les encouragent par leur impunité ?
Les élections reviennent: c'est à croire que la pagaille sociale est un terrain fertile aux guérillas politiques, pilotées par l'ambition hégémonique de petits chefs de tribus.
Vous pardonnerez mon indignation qui fait suite à l'article qui suit intitulé : " Le paradis des malfrats "
C'est un témoignage poignant d'une libraire victime 34 fois d'agressions... C'est aussi un témoignage de notre déchéance sociale due à l'indifférence et au laxisme grave de nos institutions censées nous protéger ! Elles sont pourtant financées par nos impôts mais démissionnent face au déferlement incontrôlé de communautés immigrées qui exigent toutes des privilèges, sans contrepartie réciproque de devoirs. Il faut les respecter telles qu'elles sont, y compris quand elles violent les lois qui régissent notre société sous peine d'être taxé de "racisme" : une arme de dissuasion massive au service de communautés étrangères dont beaucoup (pas tous) de leurs membres refusent toute intégration à notre culture déliquescente et pour cause
Une loi incontournable. Plus la densité humaine est forte localement, plus les risques de conflits, les dissensions, les crimes et délits sont fréquents. C'est mathématique !
Intégrer jusqu'à notre désintégration, est-il une fatalité irrémédiable ?
Gouverner c'est prévoir dit-on ?
Face à cette problématique inquiétante, que fait le Maire face à ces remarques ? Il bétonne et bétonne encore, jusqu'à la disparition de nos dernier espaces verts qui ne survivront atrophiquement que dans nos pots de fleurs sur nos balcons et dans les jardinières de nos cimetières ;-)
RF
Le paradis des malfrats !
Chers compatriotes,
Voici l'illustration d'une des raisons de notre colère, qui justifierait à elle seule la mise en accusation d'un pouvoir lâche et laxiste, qui, aux portes de Paris, a décidé d'abandonner l'une de nos plus courageuses compatriotes à la sauvagerie primitive d'une populace immigrée qui exige tout de la France mais ne se reconnait aucun devoir, se nourrissant d'une haine irrémédiable et totale des "souchiens".
Marie Neige Sardin n'est pas que "la petite libraire du Bourget". C'est le soldat isolé d'un des derniers bastions de la République, en territoire interdit. Seule, sans arme, sans défense, sans alliés, elle ne tient que par son courage et par sa force de caractère. Et par la certitude aussi, de la justesse de son combat. Comme un défenseur isolé encerclé par l'ennemi, elle tient bon, jour après jour, appellant à l'aide, espérant un hypothétique renfort qui ne vient jamais.
Voici son dernier post, que vous pouvez lire en direct en cliquant sur le lien ci-dessous ...
VIDEO ---> http://www.youtube.com/watch?v=H3mXqEFWHn0&feature=player_embedded
Prenez le temps de le lire et de visionner cette terrible vidéo.
C'est bien le moins que vous puissiez faire pour elle.
Faites circuler, faites connaître Marie Neige Sardin, c'est pour l'instant notre seul et bien dérisoire moyen de la protéger. Comme un otage, qu'il ne faut surtout pas oublier, pour l'aider à tenir, mais aussi pour empêcher ses bourreaux de commettre l'irréparable.
Un jour peut-être, la sauvage populace qui la martyrise pourrait bien finir par avoir raison de son courage. Maire, conseillers municipaux, député, sénateur, conseillers généraux et régionaux, tous les élus (et fonctionnaires) qui l'auront abandonné à son sort devront alors répondre de ce crime.
En attendant, nous le disons bien haut et fort : nous sommes tous des libraires du Bourget.
Marc Le Stahler
Récit de Marie Neige Sardin : C'était pendant l'horreur d'une profonde nuit..
19h30, pénètrent en la boutique une femme africaine et ses deux enfants d'environ 6 et 3 ans; elle désire faire un retour de colis pour la société free mais dans mon point relais, au moment des soldes, cette touche n'est pas disponible. Elle joint free qui lui confirme mes dires.
Ma fille agée de 27 ans est présente en l'échoppe avec son bébé chien, qui du haut de ses deux mois et demi, perçoit que quelque chose se dessine ...il se dresse comme pour nous protéger.
La femme appelle un ami au tel; celui-ci arrive très vite. Elle lui confit son colis .
Ma fille s'est accroupie pour calmer son chiot et là je vois la dite personne lui décocher un énorme coup de poing la touchant à l'arrière de la tête. Je me précipite, me glisse entre les deux pour faire bouclier. L'africaine hurle des menaces, des insultes raciales, me tire violemment par les cheveux, m'assène des coups partout où elle le peut, m’entraînant au fur et à mesure vers l'extérieur de la boutique.
Je résiste comme je peux mais je n'ai plus vingt ans face à ce mastodonte.
Auriane a pu déclencher l'alarme, elle vole à mon secours, tentant de me retenir à l'intérieur car dehors une meute d'hommes hilares sont là, encourageant cette haine, ce lynchage. Ils ont leurs portables en main, filmant et jubilant du spectacle. Elle leur demande de nous aider, la pauvre, elle va mesurer à quel point nous sommes seules et isolées, en entendant un "mais personne ne vous aidera jamais sale pute ".
La lutte se poursuit, je suis à cheval, un pied sur le trottoir, un pied dans la boutique, l'africaine me secoue en tous sens; mon corps hurle de douleur, mais protéger ce que j'ai de plus cher n'a pas de prix ....
Les policiers municipaux arrivent, les coups cessent enfin, Auriane ne se sent pas bien, moi guère mieux, les pompiers l'emmènent à l'hôpital; nous y passerons la nuit face à nos douleurs autant physiques que morales sans qu'aucune autorité, aucune institution ne s'inquiètent de notre devenir, libérant ainsi notre agresseuse qui a commis un tel acte sous les yeux de ses enfants, leur montrant comment l'on traite aujourd'hui deux blanches faisant juste leur travail.
Seul un élu UDI, attentionné, à l'écoute du peuple bourgetin, prévenu, viendra aux urgences, restant à nos côtés dans ces heures difficiles. Une présence simple, ne faisant pas dans le pathos mais dans la recherche d'une amélioration de nos conditions de vie, de notre sécurité et du devenir de l'échoppe.
Un immense réconfort pour la maman que je suis et sans doute la certitude désormais que mes dix ans de combat pour rester envers et contre tous, libraire en ma commune, est un bon choix.
Mes ennemis passent de plus en plus souvent à l'action, tentant de m'imposer qui leurs lois, qui leurs idéologies, faisant pression par la violence, via leurs femmes et leurs enfants désormais; sans doute dans l'espoir de me voir quitter la ville, que dis-je de la déserter . Un seul but en devenir les maîtres.
La qualité d'une vie ne se mesure pas au nombre de ses amis mais au nombre de ses ennemis.
Le maire actuel n'a pas daigné s'informer de comment nous allions, pas plus que les institutions policières qui ont gentillement pris nos plaintes, nous assurant que malheureusement, pour des violences simples, il y a peu de condamnations.
Une remarque qui me taraude. J'ai, dans mes chairs gravé le souvenir de vingt-quatre heures de garde à vue en 2010, pour avoir osé dire à une voisine antillaise "d'arrêter de faire la bamboula" à trois heures du matin. Cette dernière, partie depuis à la cloche de bois, aidée par un autre voisin, repris de justice, par ses mensonges et leurs faux témoignages, a donc permis à la justice de me condamner pour propos racistes à 600 euros d'amendes. C'est pour le coup que là, j'ai un immense regret, celui de ne pas avoir commis le délit.
Comment respecter ceux qui pratiquent deux justices ? Je résume la situation:
- être noir ou étranger ou délinquant vous donne le droit en mon département de dénoncer de façon aléatoire et mensongère tout blanc tentant de vous faire respecter la loi française et de le faire condamner lourdement.
- être blanc vous donne le droit d' être violé, attaqué, battu, lynché à volonté par ceux cités précédemment; les crimes subis seront requalifiés et minimisés mais le plus souvent classés sans suite.
Entre 2010 et 2014 que s'est -il donc passé pour moi?
Un capitaine devenu depuis commandant au commissariat de La Courneuve a ouvert la boîte de Pandore, la justice a fait le reste, répendant ainsi sur moi tous les maux. Mes agresseurs ont des preuves "je suis raciste" j'ai été condamnée et donc JE MERITE.............les coups, voire pire. Une garde à vue et une condamnation qui sonnent comme un arrêt de mort, juste le droit de subir ou de partir; cela me rappelle un peu beaucoup "la valise ou le cerceuil".
J'ai le sentiment d'avoir trop vu, trop souffert, trop compris la nature humaine dans ce qu'elle a d'obscur.
Je me suis réfugiée tout au fond de la jarre dans laquelle se trouvaient tous les maux de l'humanité libérés par Pandore car seule l'espérance s'y love encore.
Marie Neige Sardin
La seule contribution qu'on puisse apporter à son combat, c'est de relayer de temps en temps les articles qu'elle publie sur son blog http://le-bourget.over-blog.com/
19:05 Publié dans SOCIALE | Lien permanent | Commentaires (0)
17/01/2014
LA THEORIE DU COMPLOT !
La meilleure façon de comploter pour des comploteurs, c'est de tenter de ridiculiser ceux qui les suspecteraient, pour endormir leur vigilance et pour les discréditer dans l'opinion publique !
Une évidence :
Tout le monde "complote" à des degrés divers, il faut dénoncer ceux qui dénoncent la théorie du complot, car les complots et les comploteurs sont malheureusement chose courante.
Soyez attentifs: quand un groupe se constitue, le "complot" potentiel prend vite forme, tout d'abord sous forme de médisances, d'intrigues, contre un individu, un groupe ou une institution quelconque. Les bonnes raisons qu'ont les comploteurs de gagner leurs interlocuteurs à leur cause ne manquent certes pas et à plus grande échelle, la contamination médiatique fait le reste pour sa propagation.
La simple médisance, la calomnie, locale, les intrigues et la volonté de nuire, sont les racines à grande échelle du complot ou conspirationnisme ! Leurs finalités sont de satisfaire les intérêts personnels ou corporatistes de ceux qui intriguent.
En fait, il y a plusieurs types de complots: les gros et les petits, ceux qui réussissent et ceux qui échouent, mais dans tous ces cas, il s'agit toujours de complots. Il faut être frappé de cécité intellectuelle pour ne pas en prendre conscience ou pour dénoncer de telles évidences !
Quels moyens de défense ?
Il existe un moyen prophylactique de lutter contre les premiers sous entendus qui tentent de s'imposer comme des certitudes, afin de vous convaincre et de vous impliquer; ce moyen, c'est de demander préalablement des preuves de ce type de rumeur avant de vous risquer à une hypothèse, voire à une opinion...
C'est aussi d'éviter vous mêmes de colporter des informations sans fondement, ne fut-ce que pour justifier subjectivement vos craintes ou vos désirs, pour gagner finalement à votre cause ceux qui vous écoutent, dans le but, in fine, de vous convaincre vous-mêmes du bien fondé de ce que vous affirmez !
Le dialogue chez ARC4, que nous défendons à tout prix et à tous les niveaux, ne peut être effectif que dans un esprit de disponibilité, libéré de tous a priori vis à vis de nos interlocuteurs, car nous ne pouvons dans notre société avoir raison qu'ensemble et non les uns contre les autres pour satisfaire des intérêts: politiques, communautaristes, religieux, lobbyistes, etc. qui restent en permanence des facteurs de divisions et de conflits dans notre société !
La meilleure façon de vaincre l'auteur d'une opinion adverse, n'est-il pas de le convaincre au risque d'être convaincu soi même par le dialogue.
RF
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