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14/02/2013

SOIREE CREPES

 

CREPES PARTY 1.jpg Chers adhérents et Amis

Vous êtes invités, par ARC4, Citoyens Vigilants,
et                            

M. Abdel SAADOUNI, 
Chargé de mission sur les 4 routes

à partager un moment de convivialité


 le  mardi 19 Février 2013 - de 18h30 à 20h30
à la MAISON DE QUARTIER
des 4 routes, avenue P.V.Couturier.


La cuisson des crêpes sera faite sur place...avec la gentillesse de quelques personnes.

Cette rencontre amicale est aussi l'occasion d'échanger sur l'avancement des projets de notre association et du suivi de nos actions.

 

 

29/01/2013

ARC4 chez Radio-Courtoisie

Chez RADIO COURTOISIE

le 30 janvier à 20 h

Animateur Martial Bild

 
M. et Mme Féjan, représentant ARC4, exliqueront les moyens très efficaces mis en oeuvre pour mettre un terme à l'insécurité de notre société avec son cortège de vols, d'agressions, de meurtres, de viols, de trafics d'armes etc., ils démontreront que la gangrène insécuritaire n'est pas une fatalité et que les citoyens peuvent y mettre enfin un terme !


 
 
 

23:16 Publié dans ACTUALITE | Lien permanent | Commentaires (2)

20/01/2013

ACTE CITOYEN OU "OMERTA"

 

Rappel à la loi :
 Des personnes intéressées par le concept "voisins vigilants" craignent d'avoir a donner des informations aux autorités de police ou de justice, dans le cas où elles auraient été témoins d'actes délictueux tels : cambriolages, agressions, nuisances diverses... Ces personnes redoutent qu'il leur soit reproché un acte de "délation"

Or, si reproche il devait y avoir, cela serait pour le fait précisément de ne pas avoir agit en citoyen solidaire et responsable en cas de connaissance d'actes répréhensibles.

Le code pénal est très précis à ce sujet.

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LES PETITS CHATS ET L’INSTITUTRICE

Cette métaphore nous renvoie à notre problématique sociale.

Faut-il dénoncer ou laisser faire ?

Une institutrice s’est montrée offusquée à l’idée de pouvoir faire connaître aux autorités en droit et devoir d’agir, que des personnes  avaient développé une activité illégale : travail non déclaré, avec des clandestins surexploités, esclavagés, vivant dans des conditions déplorables. Elle refusait d’agir en citoyenne responsable, au prétexte que, dans son établissement scolaire, des enfants avaient pour parents certains de ces travailleurs illégaux. Elle disait que si ce réseau était démantelé, les personnes expulsées, les enfants le seraient également et en souffriraient.

Cette attitude m’a rappelé une histoire vécue quelques années auparavant :

Dans un immeuble voisin, quelques chats abandonnés avaient élus domicile et se reproduisaient de telle sorte qu’en peu de temps une petite colonie se développait sur les lieux.  Certains locataires les nourrissaient en disant « pauvres petits errants » mais ne prenaient aucune décision adaptée pour enrayer ce phénomène. D’autres locataires se plaignaient, sans rien faire d’autre.

La propriétaire de l’immeuble, lassée des plaintes de ses locataires, donna la responsabilité à un couple, sur place, de régler le problème au plus vite. Ces personnes, investies d’un « pouvoir d’autorité » ont alors agit d’une manière ignoble. Elles ont fait périr les jeunes chats en les enfermant sans eau ni nourriture et leur agonie a duré plusieurs jours.

Des voisins intrigués par les cris étouffés mais qu’ils ne pouvaient localisés précisément ont pris la décision d’alerter la police. Des policiers se sont déplacés sur les lieux et ont fini par découvrir le lieux d’infamie. Là, les langues se sont déliées et les auteurs de cette cruauté ont été désignés.

Au delà de notre peine et de notre colère, quelle ne fut pas notre surprise de constater que ce couple avait  un superbe chat angora, choyé, dorloté manifestement.

Comment pouvaient-ils être capables d’aimer « leur chat » et se faire les bourreaux de tant d’autres ?

Comment prétendre protéger un être en se faisant complice de la maltraitance de tant d’autres ?

Comment peut-on se donner bonne conscience en privilégiant une vie tout en sachant que le « laisser faire » permet à des exploiteurs d’étendre leurs basses œuvres en toute impunité ?

Rester dans son confort mental amène trop souvent à se faire complice des auteurs d’actions les plus répréhensibles.
Cette institutrice, probablement animée des meilleurs sentiments, ne se rend peut-être pas compte que le courage civique est une qualité que nous pouvons tous développé, dans un but véritablement humanitaire.
Les autorités en charge de faire respecter les lois ne peuvent pas, seules, connaitre tous les foyers délictueux. Elles ont besoin de la coopération bienveillante de tous si nous voulons une société moins barbare.

Entre l’acte citoyen et l’omerta : quelle option retiendrez-vous ?

 Chantal Féjan