09/03/2015
COMPLICES DES SQUATTERS !
43 Kosovars s'installent dans votre maison de famille, avec l'aide d'associations subventionnées par l'Etat.
A la condition d’être prévenu à temps et d’avoir la chance de tomber sur des policiers (et des magistrats) respectueux de la loi, vous pouvez en principe (en principe !) requérir la force publique pour expulser les squatters SI VOUS INTERVENEZ DANS LES 48 HEURES DE L’OCCUPATION.
Mais sans parler de la mauvaise volonté ou de la négligence de l’autorité publique, les associations en question savent prémunir les squatters contre ce risque minime : elles demandent par téléphone l’installation de l’électricité ou du téléphone plusieurs jours avant l’invasion réelle (et cette demande "prouve" qu'ils sont déjà dans les lieux), font écrire aux squatters, plusieurs jours avant qu’ils s’installent, avec des enveloppes où l’adresse aura été inscrite avec une encre effaçable, remplacée par l’adresse du logement squatté. Le cachet de la poste faisant foi, ils « prouveront » qu’ils sont là depuis plus de 48 heures.
Car il existe en France une loi littéralement invraisemblable, dont on se demande quels sont les fous qui l’ont rédigée et votée : au bout de 48 heures d’occupation illicite d’un logement, ce sont les squatters qui en deviennent les occupants légitimes. Si le propriétaire ou le locataire légitime tente d’y pénétrer, c’est lui qui est passible des « foudres de la loi ». En outre, il reste responsable des consommations d’eau, électricité, téléphone et, quand après des années de procédures, interrompues chaque année par la période hivernale qui interdit les expulsions, ils auront pu reprendre leur logement, ils n’auront, évidemment, aucun recours pour la réparation des dégradations et vols, souvent extrêmement importants.
Amicalement. annelysdefrance@gmail.com
16:13 Publié dans ACTUALITE, INFORMATIONS, JURIDIQUE, SOCIALE | Lien permanent | Commentaires (0)
18/02/2015
LE FINANCEMENT DES ASSOCIATIONS
Pour y voir clair sur le financement des associations courneuviennes (1)
Les associations quel beau terme : il évoque la mise en commun des moyens, la solidarité, mais il évoque également, le communautarisme, la ségrégation, la corruption, etc.
Mais comment passe-t-on de l'un à l'autre ?
L'argent et le pouvoir sont les premières sources de corruption et les associations n'échappent certainement pas à la règle.
Précautions préalables pour la création d'associations subventionnées
1) Il faut d'abord prendre en considération les raisons de la constitution de ces associations et surtout leurs buts. Un rapide coup d'oeil sur la nature de ces associations courneuviennes n'a pas manqué de nous surprendre. (nous y reviendrons par le détail dans une prochaine intervention)
2) Vérifier l'efficacité des association par rapport aux buts poursuivis et là, il y a un gros problème à La Courneuve, car les subventions sont apparemment faites à fonds perdus, sans vérifications ultérieures de leur bon emploi !
3) Veiller à la probité de ces associations subventionnées par la ville pour qu'elles ne soient pas en fait, des courroies de transmission du pouvoir en place et des réserves de votes pour les élections futures !
4) Vérifier que les subventions publiques ne servent pas l'intérêt de personnes particulières, près du pouvoir en place, mais à l'intérêt général des Courneuviens .
Problème ARC4
Dans ce préambule sur les associations, les membres d'ARC4 ont réussi pleinement dans leur lutte contre l'insécurité, dans le renforcement des liens de solidarité entre les Courneuviens et pour la défense de leur milieu de vie. Malgré ses succès ARC4 se demande, au seuil de sa 4 ème année d'existence, donc après avoir fait ses preuves avec succès, si elle obtiendra une subvention de la Mairie.
ARC4 ne soutient personne politiquement, son objet est uniquement la résolution des problèmes au mieux de l'intérêt général.
ARC4 est indépendante de tous les partis politiques, elle est évidemment critique sur certains des choix sur la politique de la ville, tout en proposant d'autres solutions, elles aussi évidemment discutables. Encore faut-il avoir un interlocuteur comme dans une réelle démocratie. Or ce n'est pas le cas.
Alors, une association apolitique a-t-elle encore sa place à La Courneuve ?
Peut elle survivre dans le cadre d'une démocratie ou va-t-elle être contrainte d'entrer, elle aussi, dans la lutte politique, idéologique, pour être enfin entendue ?
Le refus du dialogue démocratique ouvre la voie au sectarisme et à la défense d'intérêts particuliers, communautaristes, où le plus fort, comme dans la jungle, s'impose.
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Jean Baptiste LEON
Rédacteur en chef des Enquêtes du contribuable
Exclusif : le financement des associations qui combattent vos idées |
Depuis 1997, Contribuables Associés passe à la loupe le financement public du monde associatif. Nombre d'associations sont devenues le bras séculier du secteur public, une émanation des collectivités qui les financent, d'autant plus aisément que nos élus cèdent, sans trop résister, à la tentation de cajoler les associations pour acheter la paix sociale et fidéliser leur électorat... Dans ce numéro spécial, vous découvrirez qu'une part importante des associations vit largement et souvent uniquement de subventions publiques. |
Chaque année, elles sont 550 000 à être arrosées par l'Etat et les collectivités locales et touchent au total plus de 40 milliards d'euros par an.
Les associations subventionnées sont un véritable fardeau pour le contribuable, d'autant qu'elles sont devenues une fonction publique bis avec leur contingent d'agents publics mis à disposition.
Un vrai racket pour les contribuables à découvrir ici !
La rédaction des Enquêtes du contribuable s'est également penchée sur ces associations qui manipulent les Français : Femen, RESF (Réseau éducation sans frontières), Fédération Léo Lagrange, Ligue de l'enseignement et toutes ces structures associatives politisées et donneuses de leçons qui nous pompent l'air à grand renfort d'argent public.
Retrouvez le classement exclusif des 10 associations qui ont reçu le plus d'argent de la part des ministères en 2013. On y retrouve, sans surprise, nombre de faux-nez de l'administration créés à l'initiative de l'Etat.
SOS Racisme : touche pas à mon pognon !
Document exclusif ! Sans adhérents, sans soutien populaire, l'association antiraciste a tout de même réclamé plus de 300 000 euros à une agence de l'Etat en 2013.
Clientélisme, quand tu nous tiens.
Du Nord au Sud, les élus sont atteints de subventionnite aiguë : il est si tentant de cajoler les associations pour acheter la paix sociale et s'assurer une base électorale solide.
19:32 | Lien permanent | Commentaires (0)
13/02/2015
COMME DANS TOUS LES CONFLITS IL EXISTE DES "COLLABOS"
Comme dans tous conflits, il existe des collabos qui se mettent au service de l' adversaire, y compris au sein du gouvernement. Dans ce conflit avec les musulmans, c'est encore le cas.
Une bien sinistre tradition !
Voyez ci-dessous par quel genre de personnages nous sommes représentés dans notre pays !
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11 JANVIER : AVANT OU APRÈS,
QUELLES DIFFÉRENCES ?
Il paraît qu’il y aura « un AVANT et un APRÈS 11 janvier 2015 » (M.Valls).
Voyons ! Le crime qui a provoqué le sursaut de la France s’est passé les 7 et 9 janvier.
Le 11 n’est qu’un épiphénomène consécutif.
Mais voyons quand même.
Avant, le 5 août 2014, il y a moins de 6 mois, B. Cazeneuve disait « Ce n’est pas un délit de prôner le djihad« . S’il le répétait aujourd’hui il tomberait sous le coup de la loi (si elle est votée !) et encourrait jusqu’à 7 ans de prison, comme les directeurs de magasins Carrefour et la FNAC qui vendaient des livres faisant la promotion du djihad.
Avant, Vincent Peillon, pour notre bonheur enfin disparu des écrans médiatiques, avait asséné à l’université de Neuchâtel, en Suisse, l’ineptie suivante montrant qu’il n’a jamais lu le coran ou le moindre hadith : « le catholicisme est incompatible avec la liberté, contrairement à l’islam« .
S’il se convertit un jour par lâcheté et opportunisme avec tous les universitaires, comme le prévoit Houellebecq, il apprendra qu’islam signifie « soumission » et que renier l’islam est passible de la peine de mort. Ce n’est pas le cas dans la chrétienté qu’il est permis de critiquer et de quitter.
Avant, le 16 décembre, le journaliste socialiste (un pléonasme) de L’Obs Bruno Roger-Petit a écrit : « Oui, il y aura un jour, avant la fin de ce siècle, un président de la République française dont le prénom sera Mohamed, ou Ahmed, ou Norredine, c’est une perspective formidable« . Félicitons-le d’abord de donner raison à Houellebecq, et conseillons-lui de quitter L’Obs, journal de la bobocratie friquée, pour Charlie Hebdo, journal critiquable mais où l’on prend des risques en caricaturant l’islam au lieu de lui lécher les babouches.
Avant, il y a le grand délateur, Edwy Plenel, qui a dit « c’est une immense chance pour la France d’être le premier pays musulman d’Europe« . Lui aussi lèche toujours l’islam dans le sens du poil et devrait faire un stage d’apprentissage du courage à Charlie ou à Valeurs Actuelles, un hebdo encore plus courageux que Charlie, et surtout beaucoup mieux écrit, gardé jour et nuit par la police.
Avant, revenons pour terminer « l’avant » à Cazeneuve, ministre des Cultes qui, tout aussi ignorant de l’histoire de France que Peillon l’est de l’islam, a déclaré : « Évoquer les racines chrétiennes de la France, c’est faire une lecture historique frelatée… qui a rendu la France peu à peu nauséeuse » .
Si la tradition chrétienne de la France qui a porté la liberté de penser, l’égalité des femmes avec les hommes, des pauvres avec les riches et la fraternité avec l’injonction divine de s’aimer les uns les autres lui donne la nausée, pourquoi ne quitte-t-il pas la France pour l’Arabie, Singapour ou les Iles Vierges ? Ce n’est pas nous qui le forçons à rester.
Un type qui a déclaré que « si je n’avais pas été ministre j’aurais été manifester à Barbès » à hurler avec les islamo-fascistes « Mort aux Juifs » a-t-il sa place en France ? Qu’il aille donc profiter de ses rentes de haut fonctionnaire sous les cocotiers.
Le conseiller financier de Hollande détenteur de comptes « légaux » aux Iles Caïman lui donnera des adresses, il s’y connaît en offshore.
Et si les Iles Caïman c’est un peu voyant, son associé n°1, Xi Shu, lui donnera de bonnes adresses aux Iles Vierges ou bien le n°2, Jacques Rougeaux, le conseillera pour se domicilier fiscalement à Hong Kong ou Singapour.
C’est qu’il en a de bons copains, Hollande, je ne parle pas de Macron de chez Rothschild ou de Laurence Boone de la banque Merrill Lynch, ses deux autres proches conseillers financiers, mais de Jean-Jacques Augier qui a racheté à Pierre Bergé le journal des pédérastes, Têtu.
Ça, c’était avant, mais après ? Après, il y a ceux à qui profite le drame.
Mix et Remix: À qui profite le drame ?
Contrairement à ce que l’on tente de nous faire croire, la plupart des Français qui ont manifesté le 11 janvier ne l’ont pas fait pour Charlie-Hebdo, bien que la presse dûment sermonnée n’ait montré que des gens portant le badge « Je suis Charlie« , mais contre l’islam meurtrier, comme il l’a toujours été depuis quatorze siècles, assassinant en France des journalistes, des policiers et des Juifs .
Après, les Français ne veulent pas que leurs rues, leurs villes, la France deviennent le champ de bataille où l’islam radical s’affrontera aux chrétiens, aux juifs et aux musulmans qui ne seront pas sunnites fondamentalistes.
Parce que, quoi qu’ils en disent, à l’exception du pape François qui reconnaît l’existence d’un djihadisme musulman planétaire et parle d’une « troisième guerre mondiale livrée par morceaux« , une autre façon de parler de la guerre « multipolaire » ou « hors limites » que j’ai mentionnée dans un précédent article, et à l’autre exception du président égyptien Al-Sisi pour qui placer la frontière entre musulmans modérés et fondamentalistes est une erreur parce qu’il faut la placer entre l’islam religieux et l’islam idéologique, politique et militaire, le djihad, cinquième pilier de l’islam, et l’islamisme SONT aussi l’islam.
Et cet islam-là, qui s’est manifesté bruyamment et violemment ces dernies jours dans tous les pays musulmans du Maroc à l’Afghanistan, en passant par les banlieues, les écoles françaises et par le Niger « allié » où dix chrétiens ont été massacrés et une cinquantaine d’églises brûlées pour Charlie, cet islam-là a désigné la France comme son ennemie et espère bien lui faire payer cher son engagement contre l’islam, car c’est ainsi qu’ils le voient, du Mali à l’Irak où Chirac avait eu l’intelligence de ne pas nous impliquer en supplétifs de Bush, ce que l’ignorant Fabius a fait.
Après, notre élite qui ayant « fait » deux ou trois grandes écoles se croit cultivée et compétente et pense avoir obtenu un brevet d’intelligence (ce qui n’a rien à voir avec l’instruction), va-t-elle maintenant comprendre qu’il ne suffit pas de dire que nos djihadistes « français » sont des « terroristes », mais qu’il faut les reconnaître comme nos ennemis, guerriers d’un islam qui veut venger – il ne s’en cache pas – ses échecs militaires historiques à Poitiers, Vienne et Cordoue ?
L’avenir nous le dira, mais je n’y crois guère. Le naturel reviendra vite au galop chez tous les politicards du royaume de France.
Après, il y a aussi le grand appel au respect de la liberté d’expression et d’opinion aussitôt contredit par Valls (inculper Dieudonné) et les associations relais du ministère de l’Intérieur qui continuent à harceler Zemmour, Houellebecq et Tesson. Puis dans les discussions pour, toujours sous couvert de liberté, dire ce qui « définit les limites du langage et de la pensée, décide du digne, de l’indigne et du tabou » (Éric Branca, V.A.).
Après, en même temps, et sans le moindre scrupule moral, l’Elysée mobilisait à son seul profit l’émotion légitime qui submergeait le pays, rameutait sous sa coupe l’opposition de droite tétanisée sous prétexte « d’unité nationale » et tous, de Bayrou à Sarkozy sont tombés dans le panneau, Marine Le Pen n’y ayant échappé que grâce à Hollande qui lui a interdit de participer à l’unité nationale républicaine où elle avait pourtant sa place.
Après, va-t-on enfin s’interroger sur ce qui se passe dans les mosquées françaises où des imams appellent en arabe au djihad et poussent de jeunes garçons désœuvrés à aller égorger les infidèles en Syrie et les filles à les rejoindre pour être les filles à soldats de l’islam ?
Après, va-t-on prendre conscience et arrêter de dire que « l’islam est compatible avec la République » alors que les plus hautes autorités religieuses de l’islam disent qu’il y a incompatibilité entre l’islam et l’a démocratie, entre l’islam et la laïcité, entre l’islam et la liberté, entre l’islam et l’égalité hommes-femmes, entre l’islam et les non-musulmans, entre l’islam et l’homosexualité, entre l’islam et la monogamie, entre l’islam et l’éducation des filles, entre l’islam et la liberté d’expression… parce que le prophète en a décidé ainsi ?
L’islam tel qu’il est actuellement est une théocratie à la fois religieuse, politique, sociale et militaire, il est forcément incompatible avec une République laïque, issue de la philosophie des Lumières et de la Révolution, il n’y a pas besoin d’avoir deux neurones pour le comprendre.
Recevant il y a quelques jours David Cameron, Barack Obama a souligné l’incapacité de la France à assimiler les musulmans, même ceux « de France ». La raison en est claire : nos élites, recrutées non en fonction de leur capacité à réfléchir, mais en fonction de leurs diplômes et de leur capacité à reproduire le système en psalmodiant « les sourates de la culture officielle » (Camille Pascal), dans un pays où les musulmans modérés font alliance avec le Parti socialise pour faire barrage au Front National.
Cela « rappelle avec cruauté que le suffrage universel peut, un jour, comme dans l’Allemagne de 1933, voter contre la démocratie » (Camille Pascal, V.A. du 22-01)
Maurice D.
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