07/07/2016
Les maires arriveront-ils enfin à entendre et à comprendre les plaintes de nos concitoyens ?
Christian de Portzamparc, l'architecte qui planche sur le Grand Paris, s'exprime en ces mots à l'adresse de certains maires bétonneurs !
" Si on se met à construire des logements n'importe où dès qu'on trouve un peu de terrain disponible, on est sûr d'y créer les ghettos de demain ! "
Le maire de la Courneuve ferait bien de s'en inspirer car gouverner, c'est prévoir !
Il est réconfortant que de plus en plus de nos concitoyens constatent et comprennent que le seul espoir qui peut survivre dans notre ville sinistrée ne peut venir que de nos concitoyens, enfin réunis au delà des divisions que nous imposent les partis pilotés par des carriéristes qui ne veillent qu'à la préservation de leurs privilèges ! Les politiciens ne comptent que des têtes sans se préoccuper de ce qu'il y a dedans. Si ce sont réellement les citoyens qui disposent de tous les pouvoirs, conformément à la constitution, ils sont donc légalement en droit de répudier pour insuffisances ou incapacités leurs pseudos représentants politiques, sectaires, qui après avoir surendetté nos concitoyens, entendent limiter, voire contrôler leur libre expression et le droit d'opinion, pour se maintenir au pouvoir. !
Le Maire de La Courneuve, entend cacher derrière des murs de béton, la misère des courneuviens, dans une ville au record de pauvreté en France. Une ville à la triste réputation et qui fait honte à ses habitants qui sont, en plus, surtaxés par des impôts locaux scandaleux. Une ville déficitaire incapable de faire des économies, alors que La Courneuve est déjà très sérieusement surendettée !
Dans ce contexte kafkaïen, le Maire ne perçoit même pas les plaintes incessantes des courneuviens. M. Poux ne représente pratiquement que lui même face à la très grande majorité des courneuviens, qui se sentent floués par des dizaines d'années de promesses illusoires.
Voilà pourquoi nous vous transmettons ci-dessous cette invitation pressante, inspirée par le congrès des Maires et qui est contraire à l'inspiration du Maire autocrate de la Courneuve !
RF
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Congrès des maires :
" Pensez donc moins aux équipements et plus aux gens ! "
À elles seules, les mairies ont aujourd’hui 65 milliards de dette !
Médecin
La baisse des dotations de l’État est au centre de l’actuel congrès des maires de France, alors qu’ils sont confrontés par ailleurs à des charges supplémentaires, comme les conséquences de la réforme des rythmes scolaires.
Elles sont nombreuses « en régions » (il paraît que province est devenu une injure), ces villes moyennes où l’on est frappé par le grand écart entre la magnificence des équipements publics et les pauvres moyens des particuliers. Et elles se ressemblent.
Religion écologique oblige, on a banni les voitures : après une demi-douzaine de ronds-points plus fleuris que les serres d’Auteuil ou ornés d’œuvres « contemporaines », prière de se mettre au parking (payant) et d’emprunter des rues piétonnes. Mais alors… luxueusement piétonnes ! Bornes, potelets, poubelles et lampadaires dignes de la FIAC, on croirait accéder au palais de l’émir du Qatar… Sur les trottoirs dallés de porphyre ou de quartzite, deux fauteuils roulants peuvent se croiser sans peine, et il ne manque pas une bande podo-sensible pour malvoyants. On arrive devant une petite église – bien évidemment fermée -, mais où un détecteur à infrarouge déclenche pour vous seul une fugue de Bach !
Sympa, mais on se sent bien seul : on ne croise que de rares indigènes dans ces rues quasi désertes. Certaines sont encore accessibles aux voitures, mais sur une seule voie, et bordée de plots. Se garer brièvement en double file pour prendre une bouteille de propane… même pas en rêve ! Une livraison de piano à queue, c’est une demi-heure de blocage total. Et à onze heure du soir, tout est encore éclairé a giorno par des lampes à sodium tous les trente mètres. Mais surtout, à force de privilégier « les circulations douces, notamment la mise en place de rues et de cheminements piétons qui mettent en valeur le patrimoine et rendent la circulation en centre-ville plus agréable, conviviale et sécurisée », que de boutiques à vendre et de vitrines passées au blanc d’Espagne dans ces rues !
Et regardez les immeubles privés : les façades sont décrépies, les gouttières trouées et les volets de guingois. Visiblement, ces « salauds de propriétaires », eux, ne roulent pas sur l’or. On ne peut pas s’empêcher de penser que ça fait une moyenne avec l’hôtel de ville. Si bien qu’à elles seules, les mairies ont aujourd’hui 65 milliards de dette !
En URSS, trois familles s’entassaient dans 50 m2 tandis que les stations de métro avaient des allures d’Opéra de Paris. Nous sommes sur la même pente typiquement socialiste, grâce à notre délire fiscal. Car la devise de ceux qui gèrent l’argent des autres, c’est « Je dépense, donc je suis ».
Certes, la France est un pays superbe, mais à quel prix ? D’une part, nos administrations, villes, départements et régions ont dépensé sans compter (et à crédit) pour des équipements, certes charmants (mais qui les a vraiment demandés ?) ; d’autre part, nous avons de plus en plus de chômeurs et de clients des Restos du Cœur… N’y aurait-il pas un lien de cause à effet ?
17:45 Publié dans AVIS SUR LA MAIRIE, SOCIALE | Lien permanent | Commentaires (0)
21/06/2016
Vers la sagesse... Mais c'est où ?
18:46 | Lien permanent | Commentaires (0)
14/06/2016
Quand le ballon fait tourner la tête des fouteux !
Quand le ballon fait tourner la tête des fouteux et les fait régresser avec leurs supporters à un niveau de primarité extrême !
Les régressions sont souvent source de plaisir !
Le sport de masse: Instrument de manipulation du pouvoir politiqueDescription de la babalomanie
- L'objet de la convoitise : un ballon sphérique de cuir indispensable à la conquête d'une gloriole éphémère
- 20 joueurs millionnaires courent tous après le ballon pour le mettre au fond du filet de la partie adverse !
- 2 autres joueurs des goals, tout aussi riches, mais plus opportunistes, préfèrent attendre patiemment que la balle leur parviennent, calés dans leur surface pour empêcher à tous prix que le ballon entre dans leur cage. Quand enfin, ils la réceptionnent, curieusement ils la renvoient au milieu du terrain et nos 20 footeux continuent pendant 90 minutes et parfois plus, pour se disputer la possession du ballon, pour qu'enfin fatigués ils s'arrêtent en exultant dans la victoire ou déprimant dans la défaite.
Gratification sportive ou artistique usurpée des footeux
Contrôler au pied une balle en mouvement fait d'eux des millionnaires, aux comportements excessifs, délirants et pour certains, incultes et vulgaires.
Si c'est l'habilité qu'il faut gratifier, alors pourquoi les jongleurs qui font des prouesses très étonnantes vivent-ils difficilement de leur métier ?
Il est des célébrités usurpées qui n'honorent pas ceux qui les gratifient financièrement et c'est de cette manière que se pérénnisent les scandales, du financement très excessifs des footeux et si habituels, qu'ils paraissent normaux. Ce sont les supporters qui sont finalement les pompes à finance de ces millionnaires du foot.
Les spectateurs supporters
Le plus grave, ce sont les motivations souterraines de ces milliers de personnes: des spectateurs fauchés, qui enrichissent ces poussent ballon et hurlent comme des déments, chaque fois que le ballon change de camp où que le ballon entre dans le cadre.
L'immaturité des Français s'objective à l'occasion des jeux du stade.
Contre un billet d'entrée fort onéreux, ils peuvent enfin expurger leurs frustrations sociales avec violence, sans crainte d'être censurés comme dans la vie quotidienne où leurs attentes légitimes sont bafouées et particulièrement leurs droits d'expression et d'opinion qui sont réprimés rapidement par la menace de tribunaux. Se préservent ainsi le pouvoir gouvernemental, qui ne peut se maintenir que par la crainte qu'ils imposent aux Français par des lois de plus en plus liberticides !
Panem et circenses, criaient les Romains au temps des Césars, du pain et des jeux : un peu de pain trempé dans du sang, voilà tout ce que demandait à ses maîtres ce peuple si fier et si poli, qui avait conquis le monde ! Il restait donc à César à maitriser son propre peuple.
De nos jours, rien a fondamentalement changé.
Les jeux du stade sont donc toujours un lieu clos où peuvent s'exprimer les frustrations sociales, souvent avec violence, car dans le jeu sportif on connait l'adversaire et les deux clans peuvent donc s'opposer avec véhémence jusqu'à la déraison, de manière licite.
Le masque d'une lâcheté sociale
Quand on constate où s'exprime le patriotisme de millions de Français,, il y a de quoi être très inquiet sur le niveau mental de nos con-patriotes : immaturité, sectarisme, intolérance, violence, vulgarité, absence total du sens du ridicule et régression brutale à des réactions comportementales archaïques et surtout pour finir, la lâcheté. Une lâcheté qui s'accommode de transposer sur un terrain sportif une agressivité qui ne pourrait s'exprimer sans risque sur un plan social .
Plus un Etat est dictatorial plus la soupape du sport est importante !
Déviationnisme de l'agressivité
Les salles où se produisent des orchestres: rock, métal, Rapp, etc. tout comme les stades sont étroitement encadrés et surveillés. C'est sans doute pour cette raison que des Rev parties recherchent contre une liberté brimée un autre lieu, investissant sans autorisation un lieu en pleine campagne où la liberté redevient possible, jusqu'à l'usage des drogues, un passeport pour des paradis artificiels aux frontières de la mort génératrice de paix éternelle.
Rien n'est moins durable que la gloire d'une victoire sportive, car les performances se succèdent les unes aux autres. Plus éphémère encore, ce sont les satisfactions, même intenses que ressentent des spectateurs en s'identifiant aux sportifs qu'ils admirent.
Le sport est un facteur d'équilibre quand l'enjeu n'est pas la notoriété . Dès que l'appât de gain intervient avec la célébrité, nous entrons dans le secteur de la pathologie, car ces personnes sacrifient leur vie au profit d'une représentation fantasmatique de leur personne !
Il faut se faire remarquer même au prix d'une stupidité poussée à l'extrême !
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